Début de la construction du temple de la vallée de GilaElder Neil L. Andersen, de la présidence des soixante-dix de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, présidera les services de début de construction pour le Temple de la vallée de Gila en Arizona, qui se tiendra le samedi 14 Février 2009. Ceci lancera officiellement la construction du temple, qui a été annoncé par le Président de l'Eglise Thomas S. Monson, le 26 avril 2008.
Le Temple de la vallée de Gila sera le troisième temple dans l'Arizona et servira environ 32 000 membres de l'Église des congrégations dans les environs. Le premier temple d’Arizona, à Mesa, a été achevé en 1927 et n'était que le septième temple construit par les Saints des derniers jours, après leur migration vers l'ouest. En 2002, quelque 100 temples plus tard, le Temple de Snowflake Arizona a été consacrée. Apres être devenu président de l'Eglise en Février 2008, Président Monson a annoncé trois nouveaux temples en Arizona. D'autres temples dont la construction sera située dans le nord-ouest de Gilbert et a Phoenix.
Pour les quelque 13 millions de Saints des Derniers Jours à travers le monde, le Temple de la vallée de Gila sera une « maison du Seigneur » sacrée où les familles peuvent être unies pour l'éternité. (…)Une fois la construction terminée, une journée portes ouvertes est prévue et sera annoncée.
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«Elever vos enfants judicieusement dans un 'monde-de-beaucoup-trop-de-choses'»
Le Dr William J. Doherty, un thérapeute familial, un éducateur et un chercheur, a déclaré dans un discours donné à BYU le 12 février que le temps en famille et les repas familiales, sont deux facteurs qui peuvent contribuer à sauver des parents et des enfants; et à lutter contre « une combinaison toxique » d'excès provenant des cultures de la société actuelle.« Il est bon de passer du temps en tant que famille et il est bon de manger ensemble –notez bien ce que je viens de vous dire ici », a insisté M. Doherty, prenant un plaisir apparent à mettre l'accent sur des valeurs anciennes comme étant de nouvelles trouvailles. « Les chercheurs montrent que cette sorte de «sagesse d'antan» est vraiment très importante - et les jeunes parents qui élèvent des enfants y croient; mais il leur est difficile de la mettre en pratique. Lorsque vous perdez vos repas en famille, il est difficile de les récupérer. »
Dr. Doherty, directeur du programme de thérapie conjugale et familiale à l'Université de Minnesota, a parlé d' «élever des enfants judicieusement dans 'un monde-de-beaucoup-trop-de-choses' à BYU dans le bâtiment nommé après Président Gordon B. Hinckley. Parmi l'assemblée étaient présent les cinq enfants de président et de sœur Hinckley ainsi que ses trois frères et sœurs, Elder Richard G. Scott du Collège des Douze, Elders Cecil O. Samuelson et Paul V. Johnson du Collège des Soixante-dix – respectivement, président de BYU et responsable d'éducation de l'Eglise, - et Sœur Silvia H. Allred, première conseillère de la présidence générale de la société de secours.
Antérieur à l'adresse de Dr. Doherty, les 10-minute d'une vidéo honorant Sœur Hinckley ont été montré en soulignant plusieurs déclarations et observations faites par cette dernière.
Aujourd'hui, la société doit faire face a des cultures « relevées »--c'est a dire des cultures excessives orientés vers l'individualité, la concurrence, la surconsommation et la pensée thérapeutique que « les enfants sont fragiles », dit-il.
« Je pense que nous croyons que nous avons besoin de beaucoup pour être heureux », a déclaré M. Doherty, ajoutant qu' «il y a tant à offrir à nos enfants que la sagesse et l'équilibre sont difficile ... et au milieu de toutes ces influences, les enfants grandissent trop vite. »
Aujourd'hui, la société doit faire face a des cultures « relevées »--c'est a dire des cultures excessives orientés vers l'individualité, la concurrence, la surconsommation et la pensée thérapeutique que « les enfants sont fragiles », dit-il.
« Je pense que nous croyons que nous avons besoin de beaucoup pour être heureux », a déclaré M. Doherty, ajoutant qu' «il y a tant à offrir à nos enfants que la sagesse et l'équilibre sont difficile ... et au milieu de toutes ces influences, les enfants grandissent trop vite. »
Au cours de son discours, il a présenté un passage de vidéo montrant l'équipe d'une émission télévisée qui a suivit une famille pendant une semaine chaque après-midi et le soir. Dans un délai de cinq heures, les trois enfants réussissaient à participer a un total de huit activités extrascolaires, aussi bien que des snacks, des repas séparés et des devoirs, sans parler du temps dépensé en allant d'une activité a l'autre.
Soulignant les paroles des parents interrogés disant qu'ils étaient « contents » de la participation de leurs enfants et qu'ils étaient «bien occupés», M. Doherty a dit qu'un manque de temps en famille dans « un monde axé sur les adultes est une norme culturelle ».
A cause de cela, les enfants et les adolescents ne parviennent pas à bénéficier de compétences sociales développé au cours d'expériences non structurées, non surveillée et non officielles avec des frères et sœurs ou des pairs - « Autrefois, on appelait ça 'aller jouer dehors' », dit-il – ou l'enfant doit trouver quelqu'un avec qui jouer, le convaincre de jouer, négocier un jeu, apprendre ce jeu a d'autres, appliquer des règles et décider de quand on arrête de jouer.
Soulignant les paroles des parents interrogés disant qu'ils étaient « contents » de la participation de leurs enfants et qu'ils étaient «bien occupés», M. Doherty a dit qu'un manque de temps en famille dans « un monde axé sur les adultes est une norme culturelle ».
A cause de cela, les enfants et les adolescents ne parviennent pas à bénéficier de compétences sociales développé au cours d'expériences non structurées, non surveillée et non officielles avec des frères et sœurs ou des pairs - « Autrefois, on appelait ça 'aller jouer dehors' », dit-il – ou l'enfant doit trouver quelqu'un avec qui jouer, le convaincre de jouer, négocier un jeu, apprendre ce jeu a d'autres, appliquer des règles et décider de quand on arrête de jouer.
Bien que des études ont montrés que les activités extrascolaires ont un certain impact positif sur le plan académique, social et psychologique d'un enfant, le Dr Doherty a cité d'autres études qui disent qu'une surcharge de ces activités a un impact beaucoup plus négatif.
Il a également cité des études nationales et multinationales qui montrent que le temps des repas en famille est un indice majeur de l'adaptation scolaire et psychologique chez les enfants et les adolescents. Meilleur encore que le temps passé à l'école, aux sports, ou aux arts culturels, le temps passé dans les repas familiaux contribue à réduire la consommation future de l'alcool et de drogues, la promiscuité, la dépression et les troubles de l'alimentation.
Parents, limitez les emplois du temps et éliminez les surcharges, formez et enseignez vos enfants avec un résultat final à l'esprit. « Je pense que nous, en tant que parents, devons déterminer notre succès quand ils atteignent l'âge de 25 ans - et non pas par combien ils nous apprécient en chemin. »
Il a également cité des études nationales et multinationales qui montrent que le temps des repas en famille est un indice majeur de l'adaptation scolaire et psychologique chez les enfants et les adolescents. Meilleur encore que le temps passé à l'école, aux sports, ou aux arts culturels, le temps passé dans les repas familiaux contribue à réduire la consommation future de l'alcool et de drogues, la promiscuité, la dépression et les troubles de l'alimentation.
Parents, limitez les emplois du temps et éliminez les surcharges, formez et enseignez vos enfants avec un résultat final à l'esprit. « Je pense que nous, en tant que parents, devons déterminer notre succès quand ils atteignent l'âge de 25 ans - et non pas par combien ils nous apprécient en chemin. »
Faires les modifications pour renforcer le temps en famille ainsi que les repas en famille est difficile - mais réalisable, a déclaré le Dr Doherty.
« Dans une société de consommation, soyez prêts à fixer un cap qui signale que :« Nous avons des valeurs fondées sur la famille, une famille avec de la perspective, et nous traçons le cap », a-t-il exprimé, ajoutant « ça demande du courage ainsi qu' une vision et des valeurs, et cela demande aussi une communauté avec la même vision, des valeurs, et du courage pour élever des enfants judicieusement dans un 'monde-de-beaucoup-trop-de-choses '»,
(Publié par LDS Church News – traduit par Ambre)
« Dans une société de consommation, soyez prêts à fixer un cap qui signale que :« Nous avons des valeurs fondées sur la famille, une famille avec de la perspective, et nous traçons le cap », a-t-il exprimé, ajoutant « ça demande du courage ainsi qu' une vision et des valeurs, et cela demande aussi une communauté avec la même vision, des valeurs, et du courage pour élever des enfants judicieusement dans un 'monde-de-beaucoup-trop-de-choses '»,
(Publié par LDS Church News – traduit par Ambre)
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Vendredi 13 Février 09, j’ai assisté dans un grand hôtel de Genève, à un coin de feu en présence d’Elder Bednar (membre du collège des douze), d’Elder Kopischke (soixante-dix) et d’Elder Paya (soixante-dix). Les pieux de Genève et de Lausanne étaient invités.
Elder Bednar a proposé, tout de suite en début de réunion, une séance de questions réponses. Il choisissait des frères et des sœurs dans la salle, on leur apportait un micro, il posait une question à David A. Bednar. La réunion a durée 2 heures.
J’ai assisté à un gros déversement de l’Esprit ! Un apôtre du Seigneur Jésus-Christ m’a enseigné et m’a fortifié. J’ai ressenti l’Esprit immédiatement dès qu’il a ouvert la bouche. Je témoigne de cela et de plus je témoigne de l’Esprit de discernement qu’il avait en lui. J’ai levé plusieurs fois la main pour avoir l’honneur de l’interroger. J’étais bien placé dans la salle et il ne pouvait pas ne pas me voir. Il m’a regardé à plusieurs reprises mais a toujours interrogé quelqu’un d’autre.
L’Esprit m’a enseigné après qu’il connaissait la question que je voulais lui poser. C’était une question, qui, je pensais, pouvais aider tout le monde à mieux comprendre ce qu’était la prêtrise. Mais l’Esprit m’a soufflé que dans la salle, il y avait beaucoup d’amis de l’Eglise et que le sujet, ou plutôt ma question, était trop « technique » en présence de non-membres de l’Eglise.
Je sais et je témoigne que cet homme est appelé de Dieu pour être un témoin spécial de Jésus-Christ. Ce fut encore, une fois de plus, un témoignage de la véracité de l’appel divin de ces dirigeants.
Christophe Pascaud - Paroisse de Genève Salève - Pieu de Genève
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Pensée du Jour
« Rappelons-nous que le plus souvent le besoin d’aide se trouve dans notre propre foyer, notre quartier, notre commune. Une parole gentille d’encouragement, un mot de remerciement, un appel téléphonique, un sourire aimant, une aide et un rappel que Dieu nous aime sont souvent ce qui est le plus nécessaire. Nous pouvons élever autrui et être une bénédiction de bien des manières.
La Société de Secours n’est pas simplement une classe le dimanche. Ce n’est pas simplement un endroit où aller si nous n’enseignons pas à la Primaire ou aux Jeunes Filles. C’est l’organisation du Seigneur pour les femmes. Pouvoir participer à la Société de Secours fait partie du patrimoine glorieux et de la bénédiction des femmes de l’Église du Seigneur.
Témoignage – Visite d’Elder Bednar à Genève
Vendredi 13 Février 09, j’ai assisté dans un grand hôtel de Genève, à un coin de feu en présence d’Elder Bednar (membre du collège des douze), d’Elder Kopischke (soixante-dix) et d’Elder Paya (soixante-dix). Les pieux de Genève et de Lausanne étaient invités.
Elder Bednar a proposé, tout de suite en début de réunion, une séance de questions réponses. Il choisissait des frères et des sœurs dans la salle, on leur apportait un micro, il posait une question à David A. Bednar. La réunion a durée 2 heures.
J’ai assisté à un gros déversement de l’Esprit ! Un apôtre du Seigneur Jésus-Christ m’a enseigné et m’a fortifié. J’ai ressenti l’Esprit immédiatement dès qu’il a ouvert la bouche. Je témoigne de cela et de plus je témoigne de l’Esprit de discernement qu’il avait en lui. J’ai levé plusieurs fois la main pour avoir l’honneur de l’interroger. J’étais bien placé dans la salle et il ne pouvait pas ne pas me voir. Il m’a regardé à plusieurs reprises mais a toujours interrogé quelqu’un d’autre.
L’Esprit m’a enseigné après qu’il connaissait la question que je voulais lui poser. C’était une question, qui, je pensais, pouvais aider tout le monde à mieux comprendre ce qu’était la prêtrise. Mais l’Esprit m’a soufflé que dans la salle, il y avait beaucoup d’amis de l’Eglise et que le sujet, ou plutôt ma question, était trop « technique » en présence de non-membres de l’Eglise.
Je sais et je témoigne que cet homme est appelé de Dieu pour être un témoin spécial de Jésus-Christ. Ce fut encore, une fois de plus, un témoignage de la véracité de l’appel divin de ces dirigeants.
Christophe Pascaud - Paroisse de Genève Salève - Pieu de Genève
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Pensée du Jour
« Rappelons-nous que le plus souvent le besoin d’aide se trouve dans notre propre foyer, notre quartier, notre commune. Une parole gentille d’encouragement, un mot de remerciement, un appel téléphonique, un sourire aimant, une aide et un rappel que Dieu nous aime sont souvent ce qui est le plus nécessaire. Nous pouvons élever autrui et être une bénédiction de bien des manières.La Société de Secours n’est pas simplement une classe le dimanche. Ce n’est pas simplement un endroit où aller si nous n’enseignons pas à la Primaire ou aux Jeunes Filles. C’est l’organisation du Seigneur pour les femmes. Pouvoir participer à la Société de Secours fait partie du patrimoine glorieux et de la bénédiction des femmes de l’Église du Seigneur.
Mes chères sœurs, plus que jamais nous avons besoin que les femmes agissent et soient fortes. Nous avons besoin de femmes qui déclarent la vérité avec force, foi et audace. Nous avons besoin de femmes pour montrer l’exemple de la droiture. Nous avons besoin de femmes qui œuvrent « avec zèle à une bonne cause». Nous devons mener une vie qui témoigne que nous aimons notre Père céleste et le Sauveur Jésus-Christ et que nous ferons ce qu’ils nous ont demandé de faire. Nous devons sauver « tout ce qui est le plus raffiné tout au fond de [nous-mêmes] » afin qu’en tant que filles de Dieu nous puissions faire notre part pour édifier le royaume de Dieu. Nous aurons de l’aide pour le faire. Joseph a déclaré : « Si vous vivez à la hauteur de ce à quoi vous avez droit, on ne pourra empêcher les anges d’être avec vous. »
Barbara Thompson Deuxième conseillère dans la présidence générale de la Société de Secours
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