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« Avec Dieu, tout est possible »

Le 13 Août 2013 



« Là où le Seigneur nous place, c’est là que nous devons nous tenir ; quand il nous demande de faire des efforts pour soutenir ces principes sacrés, nous devons le faire ; c’est tout ce dont nous devons nous soucier ; notre Père céleste s’occupera du reste. »


Nous devons prendre conscience des relations que nous avons avec le Seigneur, notre Dieu, et de la position particulière que nous occupons. Pour nous acquitter convenablement des obligations qui nous incombent, nous avons besoin d’un appui surnaturel…

Il nous est impossible de respecter par nous-mêmes tous les commandements que Dieu nous a donnés. Sans l’aide divine de son Père, Jésus lui-même ne pouvait pas accomplir son œuvre. Il dit un jour : « Je ne puis rien faire de moi-même : selon que j’entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé. » [Jean 5:30.] Si lui, notre Seigneur, avait besoin de l’aide divine, à plus forte raison en avons-nous besoin aussi. Quelles que soient les situations et les circonstances dans lesquelles ils se trouvent, les saints des derniers jours en train d’accomplir leur devoir ont droit à l’appui surnaturel du Saint-Esprit pour les aider dans ces diverses situations et dans l’accomplissement de leurs devoirs…

Je ne peux rien imaginer d’aussi important que d’œuvrer pour obtenir l’exaltation et la gloire à titre personnel. C’est indubitablement un but important pour lequel nous sommes venus au monde… Personne ne doit se décourager en pensant qu’il ne parviendra pas à réaliser ce qu’il aimerait accomplir, mais nous devons tous faire notre possible pour mener à terme l’œuvre immense pour laquelle nous sommes ici.

Cette œuvre dans laquelle vous et moi sommes engagés ne peut prospérer et aller de l’avant que si les bénédictions de Dieu accompagnent nos efforts fidèles et sincères et si nous sommes déterminés à accomplir le travail pour lequel nous sommes venus au monde. Quand nous repensons aux expériences que nous avons vécues, nous comprenons facilement que notre prospérité a été liée à nos efforts honnêtes pour accomplir l’œuvre de Dieu, pour œuvrer dans l’intérêt du peuple et pour nous débarrasser autant que possible de notre égoïsme. Puisque cela s’est produit dans le passé, nous pouvons croire, à juste titre, que nos progrès à venir dépendront de notre détermination à faire la volonté de Dieu en toute circonstance et avec le soutien qu’il nous donnera.

Lorenzo Snow

Être le meilleur possible

Publié le 8 Août 2012

 


Au cours de son ministère terrestre, le Maître a indiqué comment nous devons vivre, comment nous devons enseigner, comment nous devons servir, et ce que nous devons faire pour être le meilleur possible.

L’une de ces leçons est rapportée dans le livre de Jean, dans la sainte Bible :

« Philippe rencontra Nathanaël, et lui dit : Nous avons trouvé celui de qui Moïse a écrit dans la loi et dont les prophètes ont parlé, Jésus de Nazareth, fils de Joseph.

« Nathanaël lui dit : Peut-il venir de Nazareth quelque chose de bon ? Philippe lui répondit : Viens, et vois.

« Jésus, voyant venir à lui Nathanaël, dit de lui : Voici vraiment un Israélite dans lequel il n’y a point de fraude. »

Dans notre séjour dans la condition mortelle, le conseil de l’apôtre Paul nous apporte une direction céleste : « Que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l’approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l’objet de vos pensées. » Puis il termine par une recommandation : « Ce que vous avez appris, reçu et entendu de moi, et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous. »

Dans nos efforts pour être le meilleur possible, plusieurs questions nous guideront : Suis-je ce que je veux être ? Suis-je plus près du Sauveur aujourd’hui qu’hier ? Serai-je encore plus près de lui demain ? Ai-je le courage de changer pour m’améliorer ?


Je témoigne que tout est possible à Dieu. Il est notre Père céleste ; son Fils est notre Rédempteur. Si nous nous efforçons d’apprendre ses vérités et de les vivre, notre vie et celle d’autres personnes seront abondamment bénies.


Par Thomas S. Monson - Prophète de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours





La foi malgré l’adversité

Publié le 2 Août 2012

Howard W. Hunter a dit : « Si notre vie est centrée sur le Christ, rien ne peut aller mal en permanence. Je sais que la vie comporte beaucoup de difficultés mais, avec l’aide du Seigneur, nous ne devons pas craindre. Si notre vie et notre foi sont centrées sur Jésus-Christ et sur son Évangile rétabli, rien ne peut aller mal en permanence. D’autre part, si notre vie n’est pas centrée sur le Sauveur et ses enseignements, aucun autre succès ne peut être juste en permanence » (The Teachings of Howard W. Hunter, édités par Clyde J. Williams. (1997), p. 40).

Le Sauveur a dit :« C’est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.

« Et la pluie est tombée, et les torrents sont venus, et les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison ; et elle n’est point tombée, parce qu’elle était fondée sur le roc.

« Et quiconque entend ces paroles que je dis et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.

« Et la pluie est tombée, et les torrents sont venus, et les vents ont soufflé et ont battu cette maison ; et elle est tombée, et sa ruine a été grande » (3 Néphi 14:24-27).

Il est intéressant de noter que la pluie est tombée, que les torrents sont venus et que les vents ont soufflé et se sont jetés contre les deux maisons ! Le fait que nous vivons conformément à l’Évangile ne signifie pas que nous échapperons éternellement à l’adversité. Mais cela signifie que nous serons prêts à l’affronter et à l’endurer avec davantage de confiance.

Jésus est le Christ, notre Sauveur et notre Rédempteur. Il dirige son Église par l’intermédiaire de son prophète actuel, Thomas S. Monson. Si nous vivons conformément aux enseignements du Sauveur, nous trouverons sûrement la paix et la consolation que seul Dieu peut donner (voir Philippiens 4:7).


Rafael E Pino du collège des soixante dix de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours





Trois témoignages séparés de Dieu

Publié le 20 Juin 2012


Par Linda et Richard Eyre


Parlons un peu aujourd'hui de ce à quoi nous devrions tous, peut-être, penser davantage et quelque chose que nous devrions essayer d'enseigner vraiment très fort à nos enfants.



Il n'y a pas si longtemps, s'est initiée une conversation intéressante dans un conseil de prêtrise au sujet des trois personnages de la Divinité.
Après avoir commenté le fait que nous étions tellement uniques dans notre théologie Saint des Derniers Jours de croire en trois membres séparés et distincts de la Divinité, l'instructeur a posé une question intéressante : "Lequel des trois pensez-vous connaître le mieux et duquel vous avez le plus fort témoignage?


Beaucoup ont répondu qu'ils avaient une foi plus forte et un témoignage plus profond de Père Céleste, simplement parce-que nous sommes littéralement Ses enfants et que c'est Lui que nous prions. Comment ne pas se sentir près d'un père avec lequel on communique chaque jour ?
D'autres, comme on pouvait s'y attendre, ont dit qu'ils se sentaient plus près du Christ parce-qu'Il a expié pour nos péchés, qu'Il est notre médiateur avec le Père, et parce-que c'est en Son nom que nous prions. De plus, beaucoup basaient leur croyance davantage en la personne du Christ, du fait que c'est Lui qui a vécu sur la terre et qui a expérimenté tout et plus qu'aucun d'entre nous l'a fait.


Le dernier groupe a émis l'hypothèse, que peut-être celui que nous connaissions le mieux était le Saint-Esprit, parce-que c'est Lui qui nous réconforte, nous guide et nous touche avec son esprit. Nous connaissons mieux ce que nous ressentons le plus et nous ressentons le Saint-Esprit dans nos coeurs. Qu'auriez-vous dit ?


Quelle que soit notre réponse, le fait est, qu'il est merveilleux que non seulement nous croyions en trois membres de la Divinité distincts et séparés, mais qu'en plus, nous ayons une conviction individualisée et une relation avec chacun des trois.


Quand nous témoignons  "que Dieu vit" ce que nous disons en réalité, c'est que nous savons que chacun des trois membres de la Divinité vit, mais encore que nous croyions et avons foi en eux, collectivement et individuellement. Comme il est important de témoigner de chacun des trois à nos enfants afin de les aider à développer une croyance forte en chacun d'eux, un sentiment personnel  et une compréhension de chacun!


Il y a des parents qui diront :"Bon, je ne veux pas embrouiller mes enfants. N'est-ce pas suffisant de juste essayer de les aider à croire en Dieu ?"


En vérité, ce qui embrouille le plus les enfants, c'est le concept du trois-en-un. Les enfants peuvent accepter d'emblé qu'il y a Dieu le Père, qui est notre Père Céleste mais aussi le père physique et spirituel du Christ. Et ils peuvent clairement comprendre, que le Saint-Esprit est le troisième membre distinct de la Divinité, qu'Il est un personnage d'esprit avec un pouvoir spécial pour nous guider et nous réconforter. Finalement, ils peuvent comprendre que les trois sont un, en but, et que leur finalité et leur plan pour nous c'est de réussir notre mortalité et revenir en Leur présence dans les cieux.


Une des meilleures histoires de la Bible pour illustrer les trois réalités séparées des membres de la Divinité aux enfants, est le baptême de Jésus quand le Christ était dans l'eau, Dieu dans les cieux disant "Celui-ci est mon Fils Bien-aimé", et le Saint-Esprit descendant des cieux sous la forme d'une colombe au-dessus du Christ. Nous pouvons enseigner à nos enfants que Père Céleste est le père de nos esprits et qu'Il écoute nos prières. Nous pouvons leur enseigner que le Saint-Esprit peut demeurer avec nous et nous donner des sentiments chaleureux de vérité, d'amour et de croyance.


Et nous pouvons leur enseigner que Jésus est littéralement notre frère aîné spirituel et qu'Il est aussi notre Sauveur et un être si grand et impressionnant que, selon les mots de Elder Neal L. Maxwell : " Plus nous pensons où nous nous tenons debout par rapport au Christ, plus nous nous rendons compte que nous ne tenons pas debout du tout, nous nous agenouillons seulement".   


(Publié par DeseretNews – Traduit par Angélique)

La communication avec notre Père céleste

Publié le 4 Juin 2012


Pourquoi le Seigneur veut-il que nous le priions et que nous demandions? Parce que c’est de cette façon que l’on reçoit la révélation.


Le Saint-Esprit communique des informations importantes dont nous avons besoin pour être guidés dans notre voyage dans la condition mortelle. Lorsqu’elles sont extrêmement claires et essentielles, elles méritent le titre de révélation. Lorsque c’est une série d’incitations qui sont souvent là pour nous guider pas à pas vers un objectif louable, il s’agira, d’inspiration.


Notre Père céleste ne nous a pas mis sur la terre pour que nous échouions mais pour que nous réussissions glorieusement. Cela peut paraître paradoxal, mais c’est pour cela qu’il peut parfois être très difficile de reconnaître les réponses aux prières. Parfois, nous essayons imprudemment d’affronter la vie en ne nous appuyant que sur notre expérience et sur nos capacités. Il est beaucoup plus sage de rechercher dans la prière l’inspiration divine pour savoir comment agir. Notre obéissance nous assure, lorsque c’est nécessaire, que nous pourrons nous qualifier pour recevoir le pouvoir divin d’atteindre un objectif inspiré.


Comme beaucoup d’entre nous, Oliver Cowdery n’avait pas reconnu les réponses que le Seigneur avait déjà faites à ses prières. C’est pour lui ouvrir les yeux, et les nôtres, que cette révélation a été donnée par l’intermédiaire de Joseph Smith :

« Tu es béni pour ce que tu as fait, car tu m’as interrogé, et voici, toutes les fois que tu m’as interrogé tu as reçu des instructions de mon Esprit. S’il n’en avait pas été ainsi, tu ne serais pas venu là où tu te trouves en ce moment.
« Voici, tu sais que tu m’as interrogé et que j’ai éclairé ton esprit ; et maintenant je te dis ces choses pour que tu saches que tu as été éclairé par l’Esprit de vérité. »
Si vous avez le sentiment que Dieu n’a pas exaucé vos prières, méditez sur ces Écritures, puis recherchez soigneusement dans votre vie les signes indiquant qu’il vous a peut-être déjà répondu.


Les deux indicateurs qu’un sentiment vient de Dieu sont la paix qu’il produit en votre cœur et la douce sensation de chaleur qu’il vous donne. En suivant les principes dont j’ai parlé, vous serez prêts à reconnaître la révélation à des moments critiques de votre vie.


Plus vous suivrez fidèlement l’inspiration divine, plus votre joie sera grande ici et pour l’éternité, et plus vos progrès et votre capacité de servir seront abondants. Je ne comprends pas totalement comment cela s’accomplit, mais cette inspiration dans votre vie ne vous prive pas de votre libre arbitre. Vous pouvez prendre les décisions de votre choix. Mais souvenez-vous que la disposition à faire le bien apporte la paix de l’esprit et du cœur.


La communication avec notre Père céleste n’est pas une chose anodine. C’est un privilège sacré. Elle est basée sur des principes éternels immuables. Nous recevons l’aide de notre Père céleste en réponse à notre foi, à notre obéissance et au bon usage du libre arbitre.
Que le Seigneur vous inspire pour comprendre et appliquer les principes qui mènent à la révélation personnelle et à l’inspiration.


Par Richard G. Scott du Collège des douze apôtres de l’Église de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours




L'évangile et le pouvoir de la limitation des choix dans la vie

Publié le 11 Mai 2012


Je n'oublierai jamais la première fois lorsque, adulte accomplie, je suis allée acheter un aspirateur.


Nous avions un seul carré de moquette bleue dans notre notre T1 de Miami-Plage qui nécessitait quelque entretien. J'ai conduit loin de la ville jusqu'à un entrepôt géant spécialisé en n'importe quel gadget ayant une prise ou un moteur. Le magasin avait une origine discutable et une plus encore discutable clientèle.


J'ai zigzagué entre les synthétiseurs, les stéréos, les téléviseurs à écran plat et les mixers jusqu'à trouver le rayon des aspirateurs. Et juste là, au milieu des modèles sans sacs et auto-propulsés, j'ai eu une crise de panique.  C'est qu'il y avait trop d'aspirateurs ! Comment pourrais-je en choisir juste un ?


Ayant savamment repéré toute ma naïveté en la matière, les vendeurs m'ont rebattu les oreilles avec des histoires d'argent gaspillé et de trombones qui pouvaient détruire un aspirateur ordinaire dès la première utilisation. Ils m'ont conduite vers les modèles high-tech, avec leurs 17 hauteurs d'ajustement et leurs lumières éclairant le sol, des aspirateurs si perfectionnés qu'ils pouvaient me brosser les dents si je le désirais.
En fin de compte, je me suis adressée un petit laïus, un simple rappel comme quoi un aspirateur, c'était un aspirateur !


Un mouvement de succion basique était tout ce dont j'avais besoin pour ma petite moquette bleue. J'ai acheté un Hoover à 30$ qui a fonctionné comme un champion pendant des années. Dans notre monde développé, et aux Etats-Unis en particulier, nous avons une gamme massive de choix : quelle auto conduire (et de quelle couleur), quelle marque de gel utiliser pour les cheveux, quel type de yogourt manger et, exactement quel genre d'étagères IKEA conviendrait le mieux dans notre salon. Nous avons tendance à penser que le plus large éventail de choix fera notre bonheur.


Pour les amoureux de la liberté, la religion peut donc, quelquefois, sembler étouffante. La religion enferme notre vie dans certains paramètres. En d'autres termes, elle limite nos choix !

Prenez la Parole de Sagesse par exemple. Parce-que, il y a longtemps, j'ai fait le simple choix de ne pas boire d'alcool ou de caféine, je n'ai plus jamais à décider quel vin je boirai au dîner, ou quel café crème je prendrais chez Starbucks. A la place, je bois de l'eau!
En 2001, l'auteur Yann Martel a publié une nouvelle  "la vie de Pi", l'histoire d'un jeune Indien bloqué dans un bateau en mer. Dans le livre, le personnage Pi est fasciné par la religion et les zoos.


Le rapport paraît bizarre jusqu'à ce qu'on réalise où Martel veut en venir : à savoir, que les deux représentent un lieu où quelque chose de très animal peut être contenu dans des limites définies.
La différence, bien entendu, réside dans le fait que nous, Mormons, ne voyons pas les commandements comme une mise en cage, mais plutôt comme des paramètres sur lesquels baser nos vies.


Je pourrais utiliser plusieurs exemples pour illustrer cela, mais le seul qui me vienne sans cesse en tête, c'est le commandement des dirigeants de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours de se marier et fonder une famille sans délais inutiles. (Sans aller plus loin, voir le tout dernier discours de Président Thomas S. Monson d'avril 2011 aux détenteurs de la prêtrise). C'est un conseil qui va à l'encontre de la norme sociale qui décourage le mariage et la famille. Après tout, selon la pensée moderne, se marier jeune et fonder une famille limitent nos choix. Une fois ces deux étapes qui changent la vie franchies, les portes commencent à se fermer. Et, à bien des égards, c'est vrai! Encore que, en limitant nos choix, le mariage et la famille nous apportent d'involontaires tributs de clarté.


Je connais tout un tas de jeunes adultes sans but et qui en sont encore à se demander ce qu'ils pourraient bien faire de leurs vies. Je vois cette tendance chez les missionnaires mormons qui servent dans notre paroisse (ce sont des sœurs missionnaires, déjà plus âgées de quelques années que les anciens) ainsi que chez leurs voisins de la vingtaine et quelque, vivant au sous-sol chez leurs parents, jusqu'à ce qu'ils trouvent leur voie. Ils ont à leur portée un choix illimité de futurs parmi lesquels choisir, et ils sont là, coincés, un tant soit peu incapables de choisir. Un petit peu d'enseignement supérieur, un job ici où là, mais beaucoup d'errance à la recherche d'un but.


Quand vous êtes marié, vous éliminez beaucoup de choix, à savoir, qui fréquenter et comment entretenir votre vie sociale. Quand vous avez des enfants, cela limite encore plus vos choix et ajoute le poids supplémentaire d'avoir à pourvoir aux besoins d'une famille. Plus question de se tourner les pouces à se demander quoi faire de sa vie. Vous allez juste de l'avant!


Réfléchissez à ce que dit Barry Schwartz de la Harvard Business Review :
"Il y a une diminution de l'utilité des marges quand il y a des alternatives; chaque nouvelle option soustrait un peu de sentiment de bien-être, jusqu'à ce que les marges des avantages du choix supplémentaire stabilisent le niveau. Qui plus est, les psychologues de même que les écoles de commerce, ont largement ignoré le résultat du choix, et de l'auto-critique si les choix ne marchent pas."


J'examine cette liste - anxiété, regret, espérances démesurées et auto-critique - et je pense à ces jeunes célibataires aujourd'hui qui, d'après certaines informations, sont plus déprimés qu'aucune autre géneration précédente, en dépit d'avoir un buffet de choix sans précédent.
Quand j'habille mon jeune enfant le matin, je ne lui demande pas quelle couleur de T-shirt il veut porter : on y serait encore à midi !


A la place, je lui dit :"Rouge ou bleu, ce sera quoi ?" Il est évident qu'il pourrait en être de même avec Père Céleste : voilà vos choix, mais s'il vous plaît, faites-en un !
C'est un exemple des plus simplifiés. Quelques-uns des choix que nous faisons sont énormes, même éternels, et méritent une soigneuse considération.


Mais la vie n'est pas un aspirateur. Choisissez et allez de l'avant !


(Publié par DeseretNews – Traduit par Angélique)

Comme le Seigneur aime le travailleur !


Publié le 1er Mai 2012

C’est souvent dans l’adversité que nous apprenons les leçons les plus essentielles qui forment notre personnalité et façonnent notre destin.



Je suis encore impressionné aujourd’hui par la façon dont ma famille a travaillé après avoir tout perdu après la Deuxième Guerre mondiale ! Je me rappelle que mon père, qui était fonctionnaire de formation et d’expérience, s’était lancé dans plusieurs emplois difficiles dont mineur de charbon, mineur d’uranium, mécanicien et conducteur de camion. Il partait tôt le matin et rentrait souvent tard le soir pour subvenir aux besoins de notre famille. Ma mère avait ouvert une blanchisserie et travaillait des heures innombrables à des tâches serviles. Elle nous a enrôlés, ma sœur et moi, dans son entreprise. Avec mon vélo, je suis devenu le service de collecte et de livraison. J’étais content de pouvoir aider la famille si peu que ce soit et, bien que je ne l’aie pas su alors, le travail physique s’est également avéré être une bénédiction pour ma santé.


Ce n’était pas facile, mais le travail m’a empêché de trop m’appesantir sur les difficultés de notre situation. Celle-ci n’a pas changé du jour au lendemain, mais elle a changé. C’est cela, la vertu du travail. Si nous nous y tenons tout simplement, de manière régulière et constante, les choses commencent à s’améliorer inévitablement.


Comme j’admire les hommes, les femmes et les enfants qui savent travailler ! Comme le Seigneur aime le travailleur ! Il a dit : « C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain1 », et « l’ouvrier est digne de son salaire ». Il a aussi promis : « Lance ta faucille de toute ton âme, et tes péchés te sont pardonnés. » Les gens qui n’ont pas peur de remonter leurs manches et de se lancer à fond dans la quête de buts de valeur sont une bénédiction pour leur famille, leur ville, leur pays et l’Église.

Le Seigneur n’attend pas de nous que nous travaillions plus dur que nous le pouvons. Il ne compare pas (et nous ne le devrions pas non plus) nos efforts à ceux des autres. Notre Père céleste demande seulement que nous fassions de notre mieux, que nous travaillions au maximum de nos capacités, aussi grandes ou petites soient-elles.

Le travail est un antidote à l’anxiété, un onguent pour la douleur et une porte qui s’ouvre sur des possibilités. Quelle que soit notre situation, faisons de notre mieux et tâchons de mériter une réputation d’excellence dans tout ce que nous faisons. Soyons prêts, d’esprit et de corps, à saisir la magnifique possibilité de travailler que nous offre chaque nouvelle journée.Quand un chariot s’embourbe, il y a beaucoup plus de chances pour que Dieu aide l’homme qui descend pour pousser que celui qui se contente d’élever la voix en prière, aussi éloquent soit-il. Le président Monson l’a dit comme ceci : « Il n’est pas suffisant de vouloir faire l’effort et de dire que nous le ferons. C’est en agissant, pas seulement en pensant, que nous atteignons nos objectifs. Si nous remettons sans cesse nos objectifs à plus tard, jamais nous ne les atteindrons. »

Le travail peut-être ennoblissant et enrichissant, mais souvenez-vous de la mise en garde de Jacob : « Ne dépensez pas… votre labeur pour ce qui ne peut pas satisfaire. » Si nous nous consacrons à la quête de la richesse profane et du clinquant des louanges publiques aux dépens de notre famille et de notre progression spirituelle, nous ne tarderons pas à nous apercevoir que nous avons conclu un marché de dupes.

Le travail de justice que nous effectuons au sein de notre maison est le plus sacré ; ses avantages sont de nature éternelle. Il ne peut pas être délégué. C’est la base de notre travail de détenteurs de la prêtrise.


Rappelez-vous que nous ne sommes que des voyageurs de passage dans ce monde. Ne consacrons pas les talents et l’énergie que Dieu nous a donnés uniquement à édifier des ancrages terrestres. Passons plutôt nos journées à faire pousser nos ailes spirituelles. Car nous qui sommes fils du Dieu Très-Haut, nous avons été créés pour nous envoler vers de nouveaux horizons.


Dieter F. Uchtdorf
Deuxième conseiller dans la Première Présidence - Octobre 2009
Extrait d'un discours durant la réunion de la prêtrise intitulé : Deux principes valables pour toute économie

Le Seigneur de la vigne est toujours là et vous appelle

Publié le 16 Avril 2012




.....Aussi tard qu’il soit pour vous dans votre esprit, quel que soit le nombre d’occasions que vous pensez avoir manquées, quel que soit le nombre d’erreurs que vous pensez avoir commises ou les talents que vous croyez ne pas avoir ou la distance que vous croyez avoir mise entre vous et votre foyer, votre famille et Dieu, je témoigne que vous n’êtes pas hors de la portée divine de son amour. Il ne vous est pas possible de tomber plus bas que là où brille la lumière infinie de l’Expiation du Christ.

Que vous ne soyez pas encore de notre religion ou que vous l’ayez été mais n’êtes pas resté, dans les deux cas, il n’est rien que vous ayez fait qui ne puisse être défait. Il n’est aucun problème que vous ne puissiez surmonter. Il n’est aucun rêve qui, dans le déroulement du temps et de l’éternité, ne puisse être réalisé. Même si vous avez l’impression d’être le dernier ouvrier perdu de la onzième heure, le Seigneur de la vigne est toujours là et vous appelle. « Approchez-vous donc avec assurance du trône de la grâce » et tombez aux pieds du Saint d’Israël. Venez et faites-vous un festin « sans argent [et] sans rien payer » à la table du Seigneur. (...)


Mes frères et sœurs bien-aimés, à ceux d’entre vous qui ont été bénis par l’Évangile pendant de nombreuses années parce qu’ils ont eu assez de chance pour le trouver de bonne heure, à ceux d’entre vous qui sont venus à l’Évangile par étapes et phases successives, et à ceux d’entre vous, membres et non-encore membres, qui pourraient encore rester en arrière, à chacun de vous, à tous, je témoigne du pouvoir de renouvellement de l’amour de Dieu et du miracle de sa grâce. Sa préoccupation est la foi que vous acquerrez à la fin, pas l’heure du jour à laquelle vous y arriverez.

Si donc vous avez fait des alliances, respectez-les. Si vous ne les avez pas contractées, faites-le. Si vous les avez faites et ne les avez pas respectées, repentez-vous et réparez. Il n’est jamais trop tard tant que le Maître de la vigne dit qu’il y a du temps. Écoutez, je vous en prie, les chuchotements du Saint-Esprit qui vous dit, en ce moment même, que vous devriez acceptez le don expiatoire du Seigneur Jésus-Christ et bénéficier de la participation à son œuvre. Ne différez pas. Il se fait tard.

Par Jeffrey R. Holland du Collège des douze apôtres de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours - Avril 2012

Une vie humble

Publié le 11 Avril 2012

Sommes-nous enseignables ?

Un jeune homme plein de foi et prêt à conquérir le monde, a terminé ses études au collège et rejoint une société financière. L’environnement de l’entreprise l’a obligé à se battre afin d’atteindre le haut niveau de performance qu’exigent les départements de ressources et les dirigeants. Il voulait réussir brillamment mais a concentré ses efforts dans de mauvais domaines. Au milieu de ces défis, un dirigeant sage et inspiré lui a donné une seconde chance. Pour tester son désir de surmonter ses épreuves, le dirigeant inspiré lui a posé une simple question, êtes-vous enseignable ?

Après avoir écouté attentivement, travaillé plus intelligemment et plus diligemment en suivant le conseil, le jeune homme s’est attaqué à ses défis. Cela lui a pris deux ans pour comprendre, mais le jeune homme a réalisé que la capacité d‘être guidé, avait la même formidable application qu’un principe de l’évangile. C’était la clé pour réussir quelle que soit ce que nous faisions.

Le livre de Matthieu raconte que quelques disciples étaient curieux au sujet de qui pourrait être le plus grand dans le monde futur : « jésus ayant appelé un petit enfant, le plaça au milieu d’eux, et dit : Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. C’est pourquoi, quiconque se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux » ( Matthieu 18 :2-4)

Quelle qualité spécifique, le Seigneur voulait signaler qui rendait cet enfant plus grand ? l’humilité. Qui y a t-il dans l’humilité qui est si important pour que cela nous rende grand dans le royaume de Dieu ? La réponse à cette question et la question que le jeune homme a reçue de son chef avec lequel il travaillait, est la même. Lorsque vous êtes humble, vous êtes enseignable. La progression, la lumière et l’évolution peuvent se produire. La confiance peut se développer. Nous pouvons être ramenés à notre foyer céleste par la foi ,quelque soit le terrain par lequel nous devons passer. N’est-ce pas le but de notre mise à l’épreuve mortelle ?

Le défi pour les Saints des Derniers Jours et pour ceux qui pensent comme eux est de vivre dans un monde qui épouse des objectifs et des traits qui s’opposent à l’humilité : la richesse et les plaisirs impudiques auxquels s’ajoutent la colère, l’égoïsme et l’orgueil. Voir que les méchants semblent récompensés et restent impunis, alors que l’on est humble et soumis, rend l’humilité extraordinaire. Certains pourraient se demander si cela est réellement possible d’être humble dans un monde qui a déjà établi comme règle générale, la célébration des riches, de la beauté et du pouvoir.

Un disciple du Christ doit regarder la vie et les enseignements du Sauveur pour reconnaître l’exemple parfait de l’humilité. Voici celui qui vint sur terre et remplit parfaitement sa mission terrestre. « car je suis descendu du ciel pour faire non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé » (Jean 6 : 38). Combien de fois dans notre vie, avons nous fait face à quelque chose de difficile et notre réponse a été « je ne suis pas capable de le faire ». Combien de fois dans nos vies avons-nous pensé à nous avant de penser aux autres ? Le Sauveur était quelqu’un Qui ne faisait rien pour Lui-même. Il était humble, doux et soumis, dont le seul désir était de faire la volonté du Père. Le Sauveur a utilisé ce désir pour réellement faire tout ce que son Père demandait.

Tout comme le Sauveur, peu importe le degré de notre obéissance, nous serons confrontés à des épreuves. Quand on traverse un moment difficile de notre vie, nous pouvons faire preuve d’humilité et nous tourner vers le Père ou bien nous tourner vers la perspective d’un monde d’amertume et de désespoir. Pour ceux qui choisissent l’humilité, il y a une promesse incroyable – la délivrance.

Le Président Henry B . Eyring, actuellement premier conseiller dans la Première Présidence, a dit : « Il y a un guide, dans la vie, pour recevoir le pouvoir de délivrance face à l’opposition. Il a été donné à Thomas B . Marsh, alors Président du Conseil des Douze Apôtres. Il se trouvait dans des moments difficiles et le Seigneur savait qu’il pouvait y faire mieux face . Voici le conseil qu’il lui a donné, que je prends pour moi et que je vous offre : « Sois humble, et le Seigneur ton Dieu te conduira par la main et te donnera la réponse à tes prières. » (Doctrine et Alliances 112 : 10)

« Le Seigneur a toujours voulu nous guider vers la délivrance afin que nous devenions plus vertueux. Cela requiert la repentance. Et cela nécessite l’humilité. Ainsi le chemin vers la délivrance requiert toujours l’humilité pour que le Seigneur puisse nous guider par la main là où Il veut nous amener à travers nos difficultés et vers la sanctification » (Henry B. Eyring « Le pouvoir de la délivrance » BYU Devotional Jan 15/2008)

Même lorsque toutes les choses semblent aller dans le sens que nous avons planifié pour notre vie, nous devons rester humbles. Ce peut être le défi le plus difficile en ce qui concerne l’humilité. Le Président Ezra Taft Benson nous a averti : « L’orgueil se caractérise par la question : « qu’est-ce que je veux de la vie ? » plutôt que par « Qu’est-ce que Dieu veut que je fasse de ma vie ? » L’orgueil tourne vers sa propre volonté plutôt que celle de Dieu . c’est l’amour de l’homme avant l’amour de Dieu » (avril 1986- conférence générale- Ensign, may 1986)

L’humilité est un attribut du Sauveur , celui que nous devons rechercher et désirer si nous voulons survivre aux défis de la vie et atteindre une place dans le monde à venir. Ces fruits ne viennent pas du jour au lendemain. Etre humble demande des mises à l’essai et de la consistance. Lorsque nous nous sentons poussés, abandonnés, non aimés ou oubliés, il est difficile de se tourner vers le Seigneur pour recevoir des instructions, dans nos épreuves, tandis que nous plaidons pour la délivrance, peut-être devrions-nous nous demander : « suis-je enseignable ?»

Le Président Monson a dit : « Les principes d’une belle vie incluent la capacité de faire face aux difficultés avec courage, à la déception avec bonne humeur, et à l’épreuve avec humilité »(Church educational system devotional nov. 6/2005)

(Publié par LDSChurchNews – Traduit par Claudie)

Un principe simple mais profond qui englobe la totalité de l’Évangile de Jésus-Christ

Publié le 9 Avril 2012

« C’est par des choses petites et simples que de grandes choses sont réalisées. »…

« et c’est par de très petits moyens que le Seigneur… réalise le salut de nombreuses âmes » (Alma 37:6-7).





L’Évangile de Jésus-Christ est simple, quels que soient nos efforts pour le compliquer. Nous devons nous efforcer de garder notre vie aussi simple, libre d’influences extérieures, concentrée sur les choses qui ont le plus d’importance.

Quelles sont les choses simples et précieuses de l’Évangile qui apportent de la clarté et un but à notre vie ? Que sont ces paillettes de l’or de l’Évangile dont l’accumulation patiente tout au long de notre vie nous récompensera par le trésor suprême, le don précieux de la vie éternelle ?

Je crois qu’il y a un principe simple mais profond, sublime même, qui englobe la totalité de l’Évangile de Jésus-Christ. Si nous adoptons ce principe sans réserve et en faisons le centre de notre vie, il nous purifiera et nous sanctifiera de sorte que nous pourrons vivre à nouveau en présence de Dieu.

Le Sauveur a parlé de ce principe quand il a répondu au pharisien qui demandait :
« Maître quel est le plus grand commandement de la loi ? »

Jésus lui répondit : « Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. « C’est le premier et le plus grand commandement.

« Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 22 :36-40).

Ce n’est que lorsque nous aimons Dieu et le Christ de tout notre cœur, de toute notre âme et de toute notre pensée que nous pouvons exprimer cet amour à nos voisins par des actes de gentillesse et de service, la façon dont le Sauveur nous aimerait et nous servirait s’il était aujourd’hui parmi nous.


Quand cet amour pur du Christ, la charité, nous enveloppe, nous pensons, nous ressentons et nous agissons davantage comme notre Père céleste et Jésus penseraient, ressentiraient et agiraient. Notre motivation et notre désir sincère sont identiques à ceux du Sauveur. Il a parlé de ce désir à ses apôtres la veille de sa crucifixion Il a dit :

« Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres ; comme je vous ai aimés…

« À ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres » (Jean 13:34-35).
L’amour que le Sauveur décrit est un amour actif. Il ne se manifeste pas par de grandes actions héroïques, mais par des actes simples de gentillesse et de service.

M. Russell Ballard du Collège des douze apôtres

La course de la vie

Publié le 3 Avril 2012


Durant son discours de la conférence dimanche matin, le Président Thomas S. Monson à parlé de vérités éternelles « ces vérités qui enrichiront notre vie et qui nous ramènerons sains et saufs à notre foyer. »

Notant que partout les gens sont pressés, se précipitant dans leurs affaires de la journée, il a demandé, « Dans ce rythme de vie frénétique, marquons-nous jamais quelques instants de pause pour méditer - surtout les vérités intemporelles ? »

Il a dit que par rapport à des vérités éternelles, la plupart des questions et des préoccupations de la vie quotidienne sont plutôt futiles. Les questions par rapport à ce que nous allons manger ce soir, de quelle couleur va-t-on repeindre le salon ou dans quelles activités va-t-on inscrire nos enfants « perdent leur signification lorsque les jours de crise arrivent, quand les êtres chers sont blessés, quand la maladie frappe le foyer en bonne santé, quand la chandelle de la vie faiblie et que l’obscurité menace. Nos pensées alors se concentrent, et il nous est facile d’être en mesure de distinguer ce qui est vraiment important de ce qui est simplement futile. »

« Dans nos moments de profonde réflexion ou de grand besoin, l'âme de l'homme atteint les cieux, la recherche d'une réponse divine à de grandes questions de la vie: d’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ? Où irons-nous quand nous quitterons cette vie ?

On ne trouve pas les réponses à ces questions dans les livres scolaires ni sur l'Internet. Ces questions transcendent la condition mortelle. Elles englobent l'éternité. »

Découvrez la réponse à ces questions en regardant son discours ci-dessous…..


Devenir comme un petit enfant est la porte conduisant aux cieux

Publié le 30 Mars 2012

Jésus a enseigné :"Si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux" (Matthieu 18:3). Quelles sont les vertus propres aux petits enfants?


Dans le Livre de Mormon, Un Autre Testament de Jésus-Christ, le roi Benjamin nous conseille de se "dépouiller de l'homme naturel" (Mosiah 3:19). Puis, il détaille les qualités d'un enfant que nous devons imiter : "soumis, doux, humble, patient, plein d'amour" (Mosiah 3:19).


Pour beaucoup de croyants, développer ces qualités de l'enfant est un défi dans un monde dont la caractéristique est l'égoïsme. Examinons chacune de ces qualités mentionnées par le roi Benjamin.

Soumis

Le dictionnaire Webster donne la définition suivante de soumis :"en conformité avec la gouvernance ou l'autorité". Ma petite-fille se soumet à ses parents, non pas, parce-qu'ils forcent sa soumission, mais parce-que, être conciliante avec eux est une réponse naturelle à leur amour, confort et sécurité.


Nous cédons devant ce que nous aimons: Le Sauveur a mis en garde : "Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l'un, et aimera l'autre; ou il s'attachera à l'un et méprisera l'autre" (Matthieu 6:24). La loyauté partagée divise notre amour. Ceux qui se soumettent à Dieu centrent leur amour sur Lui.

Doux

Doux n'est pas faible. La douceur divine commande le respect par l'exemple. Le débonnaire n'est pas concerné avec la poussée en avant pour la première place. Ils élèvent ceux qui sont à leur charge et sont véritablement heureux quand les autres réussissent. Du reste, ceux qui amassent les bénédictions de la terre les perdront, tandis que les débonnaires "hériteront la terre" (Matthieu 5:5).

Humble

Remarquez la vitesse avec laquelle un enfant pardonne et oublie. Un cœur miséricordieux est le trait principal de l'humilité. Considérez comment une personne humble se libère en pardonnant, tandis qu'une personne orgueilleuse devient l'esclave de ses rancunes. Les chaines d'un cœur impitoyable ligote notre capacité à aimer inconditionnellement


"Quand l'orgueil a prise sur nous, nous perdons notre indépendance vis-à-vis du monde et nous aliénons notre liberté et devenons esclaves du jugement du monde" a dit Président Erza Taft Benson dans son discours intitulé "Prenez garde à l'orgueil" (voir l'Ensign de mai 1989).

Patient

Dans le Guide des Ecritures, la patience est définie comme étant "la capacité d'endurer les afflictions , les insultes ou les blessures sans se plaindre ni user de représailles". Certains argueront que la patience n'est pas une vertu de l'enfant, cependant les petits enfants sont déterminés. Dans ce sens, ils sont spirituellement patients.


L'apôtre Paul déclare que "l'affliction produit la persévérance" (Romains 5:3). La mesure sur le baromètre de notre proximité avec Dieu est la clé de notre réponse à l'affliction. La question n'est pas de savoir si l'adversité va frapper, mais quand elle va frapper. Notre réponse à l'adversité détermine largement notre croissance spirituelle quant à la patience divine.

Plein d'amour

S'il y a quelque chose qui définit le mieux le ministère du Sauveur, c'est l'amour. Jésus aimait les petits enfants et souvent, les prenait dans Ses bras pour répondre à leurs besoins.


Quand je me représente l'amour, je me souviens de notre fils premier-né, de sa frimousse de bambin tachée de sauce spaghetti et de son sourire édenté qui faisait fondre nos coeurs ; qu' importait les pâtes festonnant sa tête ou les boulettes de viandes collées sur le mur!


En tant que parent avancé en âge, j'ai appris à aimer plus et à critiquer moins. Vos jeunes enfants quitteront bientôt votre charge pour faire leur chemin dans le monde. Réfléchissez à ce conseil d'Elder Neal A. Maxwell :"Nous guettons en vain la voix des enfants, des voix que nous trouvions parfois trop fortes et trop continuelles, voire irritantes. Mais cette cacophonie d'enfants, que nous appelions du bruit, était en réalité un doux bruit, un bruit que nous aimerions entendre à nouveau, s'il nous était possible" (Elder Neal A. Maxwell, "La précieuse promesse" Liahona avril 2004).

Conclusion

Les vertus enfantines ne sont pas puériles, car pour les chrétiens, devenir "comme un petit enfant" est la porte conduisant aux cieux.


L'humilité n'est pas de la faiblesse, la soumission n'est pas la capitulation - du moins, pas au sens où le monde l'entend. Mais nous reconnaissons que devenir comme un petit enfant, est le premier pas vacillant en apprenant à marcher sur la route du disciple.

(Publié par DeseretNews – Traduit par Angélique)


Un domaine d’action considérable

Publié le 20 Mars 2012


Comme vous le savez nous sommes dans une église vivante. C’est-à-dire une église où chacun à un rôle à jouer dans la mesure de ses capacités physiques et morales. Mais même si nous sommes écrasées par la douleur, les soucis, nous pouvons nous tourner vers les autres afin de soulager leur cœur et de les accompagner afin que leur fardeaux soit allégé.


Le Seigneur nous a enseigné de rire avec ceux qui rient et de pleurer avec ceux qui pleurent. Bien entendu il ne demande pas que nous souffrions les souffrances des autres mais qu’il suffise parfois qu’on ait une oreille attentive et discrète pour aider les personnes dans la tristesse. Nous pouvons aider les membres et ceux qui ne sont pas membre de notre Eglise autour de nous chaque jour de notre vie.

Je me souviens il y a des années j’étais entrée à l’hôpital pour me faire opérer de la colonne et on avait anesthésié la partie qu’on avait radiographié donc la souffrance avait disparue à tel point que je me demandais, si au lieu de me faire opérer le lendemain je ne devais pas rentrer chez moi. Le soir, en allant faire ma toilette je chantais des chansons d’Edith Piaf dans la salle de bain commune avec la chambre voisine et là, une personne de la chambre à côté est entrée et m’a dit « oh c’est vous qui chantez si bien ; cela nous fait tant de bien. » Puis elle a dit : « surtout pour une dame qui est là depuis six mois et ne peut plus sortir du lit car ses os risquent de casser tant on lui a donné de la cortisone. » J’ai ressenti une profonde tristesse pour cette personne et j’ai dit à la dame : « Ce soir je passerai dans votre chambre et je viendrai chanter afin de vous consoler de vos souffrances. »


Il est certain qu’il m’était impossible de leur enlever la douleur mais j’apporterai un peu de baume au cœur à ces personnes d’un certain âge. Le soir venu, mon dos ne me faisait toujours pas souffrir alors je suis entrée par la salle de bain afin que les infirmières ne me voient pas quitter ma chambre et j’ai mis une chaise au milieu de la chambre. Là j’ai commencé à chanter sur un répertoire de chansons anciennes car les personnes étaient d’un certain âge. La dame qui était depuis tant de temps à l’hôpital s’est mise à pleurer mais c’était de joie. Elle m’a dit que c’était la première fois qu’elle ressentait ce bonheur depuis si longtemps. Croyez-moi frères et sœurs, son bonheur je le ressentais encore plus au fond de moi car j’avais fait ce jour là une chose que le Seigneur attendait de moi. Ensuite après un peu de temps, la porte de la chambre s’est ouverte et un médecin à dit « mais que faites vous là, demain on vous opère ? J’ai répondu que j’avais envie de pousser la chansonnette et il m’a sommé de retourner au lit. Ce que je fis après avoir embrassé les quatre dames. Jamais je n’oublierai la lumière dans leurs yeux et cela m’a tellement rendu heureuse.

Tout ceci pour vous dire que où que nous soyons, quoi que nous fassions nous pouvons apporter de l’amour dans le cœur des gens. C’est ce que le Seigneur attend de nous. Eliza Snow (1804-1887) qui était deuxième présidente générale de la Société de Secours à dit : Il n’y a pas une seule sœur, si isolée et si limitée en champs d’action soit-elle, qui ne puisse contribuer de façon important à l’établissement du royaume de Dieu ici bas, Sœur Snow à aussi enseigné que la Société de Secours a été organisée pour l’accomplissement de toute tâche bonne et noble.


Aux sœurs et aux frères qui se demandent si ces contributions apparemment discrètes servent à quelque chose, frère Ballard répond : « chaque sœur (et frère) qui défend la vérité et la justice atténue l’influence du mal. Chaque sœur qui fortifie et protège sa famille fait l’œuvre de Dieu. Chaque sœur qui vit comme une femme de Dieu devient un phare qui peut guider les autres et plante des graines d’influence juste qui produiront des fruits pendant des dizaines d’années.


Je rends enfin témoignage que chaque fois que vous faites quelque chose pour le plus petit d’entre vous qu’ils soit membre de l’Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours ou non, c’est au Seigneur que vous le faites.

(Article partagé par Eliane Charles)



L’appétit détermine le festin

Publié le 19 Mars 2012

Un vrai festin n’est pas uniquement le menu, mais l’appétit.

Les écritures sont pleines de références sur l’appétit. Pour les Chrétiens, notre responsabilité est d’avoir « faim et soif de justice » (Matthieu 5 : 6) et de se faire « un festin de la parole du Christ » (2 Néphi 31 :20)

Lorsque nous fortifions l’esprit, il nous nourrit. Inversement, lorsque nous nourrissons l’homme naturel, il nous cannibalise.

Une voiture de course nommée désir.

Tout comme l’appétit produit la fidélité pour l’objet désiré, un appétit débridé divise notre loyauté. Lorsque cela arrive, nous atermoyons souvent avec des activités plus dignes.

Il y a quelques années, j’étais l’instructeur au foyer d’un homme que nous appellerons Ted. Il avait une femme adorable et une petite fille très douce. La faim de Ted était la course automobile. Ce qui avait commencé comme un passe-temps les week-ends, avait tourné à l’obsession. Plus Ted nourrissait sa faim pour la course automobile, plus il négligeait sa famille et ses responsabilités dans l’église.

Ted avait toujours l’intention de revenir à l’église après la saison de stock-car, d’enseigner sa fille au sujet de Dieu lorsqu’il aurait raccroché son casque ; de devenir une famille éternelle lorsque…

Malheureusement, la vie de Ted s’est finie au troisième tour de sa course finale. Le temps avait manqué, la mortalité était finie et ce détour de diversion était marqué par le drapeau à damiers du non-retour.

Dans le Livre de Mormon, autre témoignage de Jésus Christ, le prophète Amulek a déclaré : « Car voici, cette vie est le moment où les hommes doivent se préparer à rencontrer Dieu ; oui, voici, le jour de cette vie est le jour où les hommes doivent accomplir leurs œuvres. » (Alma 34 :32)

Se nourrir ou mourir de faim.

Au-delà de l’atermoiement, est la question du désir en lui-même. Tout le monde a des appétits ; sans eux, nous sommes confrontés à l’extinction. Pour ceux qui sont spirituellement astucieux, le jardin nourricier de Dieu est plus facile à cultiver et à digérer quand on a développé un appétit pour le don de soi.

Notre choix n’est pas entre un désir débridé à la seule fin d’assouvir nos appétits et une vie monacale pour une autre fin. En nourrissant nos âmes par l’alimentation équilibrée de foi, de service, de travail et de loisirs sains, nous privons l’homme naturel à dessein.

Puisque tout le monde a reçu les précieux dons du temps et du choix, nous devons décider par nous-mêmes quand et comment nous allons utiliser ces dons précieux.

« Le véritable succès dans cette vie vient par la consécration de nos vies – c’est notre temps et nos choix - aux desseins de Dieu « (Elder D. Todd Christopherson « Réflexions sur une vie consacrée » Ensign, Novembre 2010)

L’appétit spirituel

Lorsque nous développons du goût pour la douceur des choses spirituelles, nous ne faisons pas seulement un festin, mais nous avons l’énergie de nourrir les autres.

Par contraste, lorsque nous nourrissons nos appétits naturels au-delà d’une saine nécessité, nous confondons quelquefois l’égoïsme réel avec la préservation de soi.

Ce qui est vrai pour notre appétit spirituel est également vrai de la foi : « : « Et voici lorsque l’arbre commencera à pousser, nourrissons-le avec grand soin, afin qu’il prenne racine, afin qu’il pousse et nous donne du fruit… » (Alma 32 :37) Par expérience avec Dieu, foi et festins vont main dans la main.

(Publié par DeseretNews – Traduit par Claudie)

La méchanceté de l’Homme

Publié le 24 Février 2012

Il fut un temps, il y a longtemps, « la méchanceté de l’homme était grande, » si grande en effet que « chaque jour son cœur ne concevait que des pensées mauvaises » (Genèse 6 :5)

Le Seigneur affligé par cette méchanceté, dit, « J’effacerai l’homme que j’ai créé de la surface de la terre » (Genèse 6 :7) car la terre est pleine de violence » (Genèse 6 :13)

Mais un homme, Noé et sa famille étaient différents. Ils « marchaient avec Dieu" (Genèse 6:9).

Alors le Seigneur avertit Noé que les eaux du déluge allaient bientôt monter et lui donna des instructions particulières pour le protéger lui et sa famille. « Et Noé fit tout ce que l’Eternel lui avait commandé » (Genèse 7 :5)

Tout comme Noé, nous vivons en un temps de méchanceté, une époque où les pensées de beaucoup d’hommes sont continuellement tournées vers le mal. Les eaux du déluge de l’iniquité montent autour de nous.

" Nous vivons au jour où l’influence de Lucifer est plus grande qu’elle n’a jamais été depuis notre naissance, » a dit Elder Joseph B. Wirthlin du collège des Douze lors du discours qu’il prononça à la conférence générale d’octobre 1993. « En matière de péchés, de maux et de méchanceté répandus sur la terre, nous pouvons comparer notre époque à celle de Noé avant le déluge. »

L’un des plus grands maux de notre époque est la pornographie. Tout comme les eaux montantes du déluge du temps de Noé, elle remplit la terre et s’infiltre dans les lieux que nous avons toujours cru à l’abri du désastre : nos foyers.

Le 30 octobre dernier, la moralité dans les média donna le coup d’envoi de la 24ème semaine du ruban blanc contre la pornographie. Les experts de lutte contre la pornographie des services familiaux de l’Eglise ont été enrôlés en tant que principaux collaborateurs de l’évènement.

On n’a jamais eu autant besoin de personnes de bonne volonté travaillant ensemble pour combattre la pornographie.

Aujourd’hui, 47 pourcent des familles aux Etats-Unis rapportent que la pornographie est un problème dans leur foyer, selon la Coalition Nationale pour la Protection de l’Enfant et de la Famille ; une organisation à but non lucratif basée en Ohio qui travaille à promouvoir des valeurs chrétiennes.

Ce n’est pas une surprise, en considérant l’ampleur et la portée de la pornographie, selon l’organisation à but non lucratif de Virginie créée en 1994 « Trop c’est trop »- dont le but est de rendre Internet plus sûr pour les enfants et les familles. Les recettes provenant de la pornographie au niveau mondial sont estimées à plus de 97 billions de dollars dont 13 billions de dollars proviennent des Etats-Unis.

L’industrie de la pornographie aux USA rapporte plus d’argent que les chaînes de télévision ABC, NBC et CBS réunies. Chaque seconde, 28 258 spectateurs regardent de la pornographie et 372 utilisateurs d’Internet tapent des mots clefs liés à la pornographie dans les moteurs de recherche. Toutes les 39 minutes, une nouvelle vidéo pornographique est filmée aux Etats-Unis, selon l’association « Trop c’est trop ». De plus la pornographie n’a jamais été aussi violente qu’aujourd’hui. D’un seul clic, n’importe quelle fantaisie sexuelle, déviante ou perverse peut être obtenue rapidement par le biais de l’Internet.

Une masse croissante d’études scientifiques suggère que l’utilisation régulière de pornographie — spécialement la pornographie sur Internet — peut causer des dommages à des personnes de tout âge et de des deux sexes, impactant de manière négative leurs relations, leur productivité, leur bonheur et leur sociabilité, selon l’Institut Witherspoon de l’Université de Princeton.

Les dirigeants de l’Eglise ont également mise en garde contre cette marée montante du mal.

"Nous abhorrons cette pornographie qui semble inonder le pays," a dit le président Spencer W. Kimball dans son discours de la conférence générale d’avril 1975. "Le meilleur moyen de l’arrêter c’est d’avoir des hommes et des femmes, avec leurs familles, qui construisent des barrières pour l’endiguer."

Et comme aux temps du déluge biblique — lorsque les gens se moquaient de Noé et sa famille qui se protégeaient contre la crue des eaux — les gens aujourd’hui se moquent de ceux qui reconnaissent et combattent le mal de la pornographie.

Le président Thomas S. Monson remarque, "Certains éditeurs et imprimeurs prostituent leurs publications en imprimant chaque jour des millions d’exemplaires pornographiques. Aucune dépense n’est épargnée pour garantir la vente de produits qui seront vus et revus. L’une des sources de pornographie les plus accessibles aujourd’hui est Internet, où les gens peuvent allumer un ordinateur et obtenir instantanément à portée de clic une innombrable quantité de sites à caractère pornographique. Le producteur de film, le programmateur à la télévision ou le publicitaire qui fait la promotion de la pornographie sont également souillés. La retenue d’antan est révolue depuis longtemps. On appelle également cela la recherche du réalisme, avec pour résultat le fait qu’aujourd’hui nous soyons encerclés par ces saletés.

"Evitez tout ce qui ressemble à de la pornographie. Cela insensibilisera l’esprit et érodera la conscience. Il est dit dans les Doctrine et Alliances: 'Que ce qui n’édifie pas n’est pas de Dieu, et est ténèbres.' Ainsi en est-il de la pornographie" (Enseignements de Thomas S. Monson, pp. 222-223).

Le déluge à l’époque de Noé a été envoyé pour nettoyer la Terre à cause de la méchanceté des hommes. La source de cette montée des eaux symboliques aujourd’hui est également la méchanceté. Et la réponse est la même qu’elle était dans les temps bibliques : Noé et sa famille ont été sauvés parce qu’ils étaient justes (Genèse 6:9).

Elder Wirthlin a dit, dans son discours de la conférence générale d’octobre 1993, pendant que la montée des eaux de la pornographie menace nos familles le "seul moyen de trouver la paix, le bonheur et la sécurité et de triompher des maux de ce monde et des tentations de cette génération se trouve dans l’Evangile de Jésus-Christ."

Le président Monson a dit en d’autres termes.

"Noé avait une foi inébranlable pour suivre les commandements de Dieu," a-t-il dit dans un discours de la conférence générale d’octobre 2002. "Puissions-nous faire de même. Puissions-nous nous rappeler que la sagesse de Dieu semble souvent une folie pour l’homme ; mais la plus grande leçon que nous puissions apprendre dans la mortalité est que lorsque Dieu parle et que nous obéissons, nous somme toujours justifiés."

(Publié par LDS ChurchNews - Traduit par Sylvie S.)