Message du 31 Mai 2010

Le commérage: Ne le fais pas suivre

Dans le magazine New Era, une « pub mormone » est illustrée par une rangée de mains dégoulinantes de peinture noire. Il est évident que lorsque la main entachée touche une main propre, cette main propre est instantanément tachée.

Le message, est intitulé « Le commérage: Ne les fait pas suivre », c'est simple: Si vous vous trouvez dans une situation ou des mots durs sont prononcés au sujet d'une autre personne, lavez-vous les mains avant que par inadvertance – ou voire délibérément – vous passiez ces mots à quelqu'un d'autre et laissiez vos mains tachée par l'expérience. En clair, nous devons surveiller ce que nous disons parce que nos paroles laissent une marque – bonne ou mauvaise – sur ceux avec qui nous entrons en contact.

Les écritures sont claires sur le sujet. Le Psalmiste a enseigné: «Préserve ta langue du mal, Et tes lèvres des paroles rompeuses » (Psaumes 34:14). Le Sauveur, en établissant les lois de l'église restaurée, a déclaré: «Tu ne médiras pas de ton prochain et tu ne lui feras aucun tort.» (Doctrine et Alliances 42:27). Et Salomon a noté que le commérage nourrit les disputes:
«Faute de bois, le feu s'éteint; Et quand il n'y a point de rapporteur, la querelle s'apaise. Le charbon produit un brasier, et le bois du feu; Ainsi un homme querelleur échauffe une dispute. » (Proverbes 26: 20-21).

C'est un principe que nous devrions tous prendre à cœur.

« La pratique pour les personnes de parler de leurs amis, de leurs voisins et de critiquer leurs particularités apparentes et leurs faiblesses semble être courante», a déclaré le président N. Eldon Tanner, deuxième conseiller dans la Première Présidence en 1972. « En fait, cela est si courant que l'on pourrait penser que des commérages sur les uns et juger les autres est la chose à faire. ... » Mais, a-t-il ajouté, « Les commérages est la pire façon de juger. »
« La langue est l'arme la plus redoutable, destructrice et meurtrière à la disposition de l'homme. ... Nous n'avons jamais rien gagner, ni améliorer notre propre caractère en essayant d'écraser les autres » (« Ne jugez pas, ne soyez pas jugés», Ensign, Juillet 1972). Président Tanner a dit que quand il était témoin de mauvaises paroles, il tournait souvent ses pensées vers un hymne:

Que chacun apprenne à se connaître;
Pour acquérir cette connaissance,
qu'il travaille et améliore lui-même ces lacunes
Qu'il condamne si bien chez son voisin.
Avec quelle clémence considérons-nous nos propres défauts,
que la voix de la conscience étouffe si habilement;
Et avec quelle dureté nous passons en revue
ces même défauts que nous voyons chez les autre! ...
Améliore-toi donc aujourd'hui
Et puis demain, améliore tes amis (Cantiques, n ° 91 de l'impression anglaise de 1950).

Thomas S. Monson a dit qu'il faut du courage pour éviter les commérages et éviter de juger les autres.
« Vous pouvez très bien vous demander : « Est-ce que cela demande vraiment du courage ? » Je répondrais qu’il y a, selon moi, de nombreux cas où il faut du courage pour ne pas juger (ou faire des commérages et critiquer, ce qui s’y apparente).
« Malheureusement, certaines personnes jugent nécessaire de critiquer et de rabaisser les autres. Vous vous êtes sans doute déjà trouvées parmi ce genre de personnes vous vous y trouverez encore. Mes chères jeunes amies, nous n’avons pas à nous demander ce que nous devons faire dans ces cas-là. Dans le sermon sur la montagne, le Sauveur a dit : « Ne jugez point1 ». Plus tard, il a déclaré : « Cessez de vous critiquer les uns les autres2 ». Il vous faut vraiment du courage pour vous abstenir de critiquer ou de juger quand vous êtes entourées par des camarades qui vous poussent à le faire. (« Puissiez-vous avoir du courage », Réunion Générale des jeunes femmes de la Conférence d'avril 2009; Le Liahona, mai 2009).

Le président David O. McKay a dit que le processus doit commencer dans notre maison.

"Mais il y a des termites destructrices dans les maisons, et certaines d'entre elles sont la médisance, la critique et la chicanerie venant de la part soit des parents ou des enfants, dit-il ».
« La calomnie est un poison pour l'âme. Dans la maison idéale, il n'y a pas de ragots diffamatoires sur les enseignants, à propos des fonctionnaires ou des représentants de l'Église. Je suis plus reconnaissant aujourd'hui, après l'écoulement de tant d'années pour mon père, qui, avec la main levée disait: «Maintenant, pas de chicaneries au sujet de ton professeur ou de quelqu'un d'autre » (« Notre plus grande devoir», Ensign, Octobre 1972).

Mais le plus grand problème avec le commérage est illustrée de manière efficace dans cette « pub mormone ». Tout comme la peinture noire, une fois que nous avons fait passer les mots à d'autres personnes et avons tachés celles-ci, ils ne peuvent pas être récupérés.

Dans Le miracle du pardon, Spencer W. Kimball a écrit: « Les mensonges et le commérage, qui font du tort aux réputations, sont répandus aux quatre vents comme des semences de pissenlit soufflées par un enfant. Ni les semences, ni le commérage ne pourront jamais être récupérés. La mesure et l'étendue du mal accompli par le commérage sont incalculables »( Le miracle du pardon, page 56).

Éviter le commérage est un moyen simple de s'assurer que nos paroles ne laisseront pas de taches sur les mains d'un autre.

(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)


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Un modèle réduit fournit une expérience porte ouverte du Temple de Salt Lake

Plus d'un siècle s'est écoulé depuis la journée portes ouvertes du temple de Salt Lake, mais une exposition mettant en vedette une réplique échelle 1:32 du temple Mormon a ouverte ses portes le 28 Mai 2010 et offre une expérience journée portes ouvertes de l'édifice magnifique. Ce jour-la, l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours a dévoilé la réplique quasi identique du temple de 88-pouces de haut dans le centre des visiteurs à Temple Square. L'exposition permanente sera ouverte au public à partir de ce jour.« Cette réplique montre aux millions de visiteurs qui viennent a Temple Square la beauté et la majesté de cet édifice sacré et historique », dit Elder Richard G. Hinckley, directeur général du Département missionnaire. « Comme tous les temples, une fois que le bâtiment est dédié, il est utilisé à des fins sacré de l’Eglise et n’est pas ouvert au grand public, mais cette exposition permettra au public un aperçu de l'intérieur et un sentiment de l'Esprit qui y est présent. »

En image.... (Cliquez sur ce lien pour voir les photos)


En vidéo (en anglais)

Message du 28 et 29 Mai 2010

Les parents sont des professeurs

Y aurait-il un membre de l'Église qui ait manqué l’avertissement des dirigeants lors de la conférence générale d'avril, celui qui dit que peu importe ce que nous pensons ou faisons de bien avec nos familles, nous pouvons faire mieux, beaucoup mieux ?

Un minimum de 10 des 32 orateurs a abordé le sujet de la famille, tandis plusieurs autres ont fait référence à la famille et ont enseigné des leçons sur une meilleure éducation. Après autant d'informations et d'encouragement, aucun parent ne devrait se reposer confortablement sur ses compétences dans l'éducation. Nous avons reçu des conseils qui nous guident. Les dirigeants était rempli de compréhension et de perspicacité. Nous devons réfléchir, analyser et faire de ces conseils une partie de notre vie.

En bref, ils ont dit que les parents sont des professeurs. Et le meilleur cadre pour enseigner, c'est le foyer. Un verset dans le livre d'Alma récapitule bien de ce que les dirigeants ont enseigné : "Et maintenant, mon fils, je dois t'entretenir quelque peu de la restauration dont il a été parlé; car voici, certains ont "faussé le sens des Ecritures et se sont considérablement "égarés à cause de cela. Et je vois que ton esprit a aussi été préoccupé par ce sujet. Mais voici, je vais te l'expliquer" (Alma 41:1).

De ses mots, il est facile de comprendre qu'Alma a des préoccupations à propos de son fils Corianton. Il a un regard affectueux, se demandant comment il pourrait l'aider à renforcer son témoignage. Corianton et ses frères occupent une partie des pensées d'Alma. Alma a prié pour lui. Il a parlé avec lui, peut-être lors d un repas ou en marchant ensemble, lui posant des questions ouvertes qui ont permis à Corianton d'exprimer ses craintes, ses espoirs et ses joies. Parce qu'Alma a montré de l'intérêt pour son fils, leurs liens se sont resserrés. Avec le discernement spirituel et l'observation, Alma a" perçu" l'obstacle à la croissance de son fils. Se rendant compte qu'une entrevue d'un père attentionné exerce plus d'influence que l'équivalent d'un entretien d'un évêque aujourd'hui, Alma a créé un cadre, peut-être en leur maison, où ils ont pu être ensemble sans interruption. Il a aménagé son planning aussi exigeant que celui du Grand Prêtre Président de l'Église et, en mettant à profit son amour intense et sa connaissance de l'Evangile, il a enseigné le Plan de Salut dans des termes que son fils a compris.

Peut-être qu'en tant que parents nous oublions à quel point la doctrine du Plan de Salut est puissante pour élever les enfants et que nous dévions parfois dans des conversations plus futiles. Un fait à noter, c'est qu'Alma était un grand professeur parce qu'il était premièrement un grand étudiant de l'Evangile. Il savait comment enseigner parce qu'il savait comment apprendre. Il a trouvé le problème: Les Ecritures saintes ont été transformées, déformées et leur signification a été changée.
Les efforts d'Alma en tant que père lui ont demandé de la détermination quotidienne et de la diligence. Ce qui a fait que Corianton a changé. Il a éprouvé ce que chaque jeune doit éprouver. Le feu du témoignage est parvenu à son âme d'une façon profondément personnelle. Il a été changé par une nouvelle connaissance profonde de ce qui il était et de ce que notre Père Céleste voulait qu'il devienne.

En sachant cela, la question que chacun d'entre nous devrait se poser est : Comment aidons-nous notre postérité à apprendre ce que nous connaissons? Le Seigneur était le Maître de la création du cadre où Il pouvait enseigner l'Evangile pendant son ministère. De même, son Église a promu un cadre où les parents peuvent regarder leurs enfants dans les yeux et leur dire qu'ils les aiment et que leur Père Céleste les aime. Lors de la soirée familiale, les parents ont l'occasion de partager leurs témoignages avec leurs enfants, utilisant des expériences personnelles et les histoires familiales pour les galvaniser. La maison est le meilleur endroit où les parents peuvent montrer de l'amour à leurs enfants, c'est le meilleur endroit pour enseigner les enfants à propos de leurs personnalités.

Dans ce processus, les relations sont renforcées et le sens des valeurs de l'enfant et la confiance grandissent. Le résultat sera de construire un lien d'amitié et la foi permettra aux parents et aux enfants de se renforcer et de rester sur le chemin de l'Evangile ensemble. Le meilleur sujet sur l'éducation par le meilleur enseignant n'est certainement pas nouveau, ce n'est pas non plus la première conférence générale où les familles ont été mises à l'honneur. Mais la société change, et si nos jeunes n'obtiennent pas leur propre témoignage, nous risquons de perdre nos familles. Nos dirigeants ont cet éclat et cette force qui vient de l'inspiration, maintenant c'est à nous de suivre au même rythme et avec la même intensité.


(Publié par LDS Church News – Traduit par Pat)



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La route vers le Temple


Frederick Antwi et sa femme Victoria, de Yamoransa au Ghana, ont servi dans le temple de Accra au Ghana pendant 18 mois. Ils ont fait partie des premiers couples ghanéens à servir en tant que missionnaires à plein temps au Temple.
« Chaque seconde, chaque minute, chaque heure passée dans le temple ont transformé ma vie », a dit sœur Antwi.

La route vers le Temple pour les Antwi a commencé quand frère Antwi et un ami parlaient ensemble de leur vie et de leur besoin de trouver une église. Tandis qu’ils parlaient, un autre ami les a abordé et leur a dit qu’il connaissait une bonne église. Bien que cet ami n’y allait pas, il les a dirigé vers la salle de réunion des saints des derniers jours qui était située à 20 minutes d’où ils vivaient. Après en avoir entendu parler, frère Antwi décida d’y aller.
« Quand nous sommes arrivés, quelques frères sont sortis pour nous accueillir », dit frère Antwi. « Ils étaient si chaleureux et amicaux, nous nous sommes sentis les bienvenus. Nous avons suivi la classe des amis de l’Eglise et nous avons pu poser des questions. Nous avons été impressionnés. »
Bien qu’au début, sœur Antwi n’a pas suivi les enseignements et n’est pas venue à l’Église avec son mari, elle a remarqué les changements dans le comportement de son mari tandis qu’il apprenait l’Evangile. Un dimanche de mars en 1985, elle décida d’assister à l’Eglise. Son mari et son fils étaient déjà partis, avec leur unique voiture, et donc elle partit à pied, sous la pluie battante.

En Avril cette année là, frère Antwi et son fils ont été baptisés, et trois mois plus tard, sœur Antwi a été baptisée également.
Bien que changer de religion soit difficile au début, sœur Antwi a dit que « l’Evangile a continué de bénir nos vies chaque jour. »

Pour frère Antwi, il est facile de choisir la voie du Seigneur quand il doit choisir par rapport à des traditions familiales qui ne coïncident pas avec l’Evangile. Il est de Kumasi, au Ghana, où les tribus Ahanti ont une grande influence et la Reine mère choisit le prochain « Roi » ou chef. Il conduisait de la famille à des funérailles quand on lui a dit qu’il avait été choisi pour être le prochain chef du village. Il a déposé sa famille, puis a fait demi tour et est rentré chez lui. « je préfère être un diacre dans l’Eglise du Seigneur plutôt qu’un roi » a –t-il dit.

Sœur Jo Bingham, missionnaires des relations publiques dans la zone de l’Afrique de l’est.


(Publié par LDS Church News – Traduit par Marie-Catherine)



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L’Eglise dans les News



Salon des généalogistes ce week-end




Samedi et dimanche, les généalogistes bretons, et ceux de Loire-Atlantique, seront réunis à la salle omnisports de Landivisiau pour leur salon annuel. C'est le centre généalogique du Finistère qui a hérité de l'organisation de ce temps fort qui devrait réunir près de 2.000 personnes. Particularité de ce salon, il est en partie ouvert au grand public. Plusieurs associations, dont Family search, l'association des Mormons de France, tiendront des stands et viendront avec leurs bases informatiques pour renseigner les personnes à la recherche de leurs ancêtres.......



Article au complet



(Publié par letelegramme.com)




Message du 27 Mai 2010

La confiance née du Saint-Esprit

En 1869, on demanda à Josephine Butler de diriger en Grande Bretagne une campagne pour les femmes contre la prostitution réglée par l’état. Elle n’avait aucune illusion sur ce qui allait arriver.

Elle savait qu’elle serait raillée, que sa famille souffrirait, que la campagne serait longue et ardue et qu’elle serait exposée à un mal inexprimable. Alors que de nombreuses requêtes affluaient, elle prit quelques semaines pour méditer et prier pour savoir ce qu’elle devait faire. Lorsqu’elle reçut une confirmation, née de l’Esprit, qu’elle devait le faire, elle demanda à son mari, George, de la soutenir. Lui aussi prit quelques jours pour méditer et prier et lorsque tous les deux ressentir que c’était la bonne chose à faire, elle commença la campagne.
Butler fut interpellée, méprisée, dénoncée, maltraitée et par moment, sa vie était en danger. Elle eut des problèmes de santé à plusieurs reprise et elle fut perturbée par d’horribles cauchemars, conséquence des conditions grotesques où des femmes et des enfants, esclaves de la sexualité, étaient obligés d’endurer.

Elle vit des choses vicieuses telles que des hommes et des femmes oppressés et abusés, et des dirigeants du gouvernement détournés les yeux ou être complices de ces crimes.
Elle observa des femmes et enfants sans défense qui souffraient des ravages des maladies sexuellement transmissibles, mourir dans des maisons de correction, des prisons ou des caniveaux, et elle en tint beaucoup dans ses bras alors que leur vie leur échappait.
Malgré cela, elle persévéra pendant environ vingt ans – une longue campagne jusqu’à ce que les Actes de Maladies Contagieuses (mandat de la prostitution réglée par l’état) diminuèrent.
La question que nous devrions nous poser est : Qu’est-ce qui donna à Butler le courage de continuer devant tant d’actes insurmontables ?

La réponse ne devrait pas nous surprendre, nous, membres de l’église du Christ. Butler reçut le pouvoir par le Saint-Esprit et était remplie de la confiance et de l’assurance que ce qu’elle faisait était la volonté de Dieu.
Plus important que d’accomplir sa tâche, pendant cette campagne éprouvante et jusqu’à la fin, et parce qu’elle le recherchait, Butler reçut l’approbation du Sauveur et la confiance, née du Saint-Esprit, qu’elle pouvait et devait rester dans la course.

Pour beaucoup d’activistes des droits des femmes au 19ème siècle, pour la plupart des femmes chrétiennes dévotes, leur capacité à endurer et à aller de l’avant venait du fait qu’elles avaient ressenti que ce qu’elles faisaient était la volonté de Dieu. Elles ont été élevées, inspirées et autorisées par le Saint-Esprit. En tant que membre de l’église du Christ aujourd’hui, nous n’avons pas seulement la bénédiction d’avoir le Saint-Esprit mais nous avons la promesse de la présence constante du Saint-Esprit si nous vivons de manière à être digne de ses bénédictions dans nos vies.

A l’église, il y a deux semaines, l’évêque mentionna que lorsqu’il eu son entretien avec Bella, 8 ans, pour son baptême, elle était anxieuse et nerveuse.
Il remarqua, cependant, qu’après son baptême et la confirmation – après lui avoir conféré le don du Saint-Esprit – elle parla et agissait avec une nouvelle confiance paisible née de l’Esprit. Son témoignage pendant la réunion de Sainte-cène confirma cette nouvelle confiance.
Pensez pendant une minute a ce que cela signifie pour chaque membre de l’église du Christ de se tourner vers le Seigneur avec nos affaires troublantes, nos soucis ou nos questions et de pouvoir recevoir des révélations nous disant comment nous devons faire.

La direction à prendre donnée par le Saint-Esprit nous permet d’agir avec conviction et détermination pendant que d’autres sont dépourvus de ce merveilleux don et perdent confiance, piétinent et supportent la défaite.
Chaque jour, nous devrions prendre le temps de méditer les bénédictions infinies qui enrichissent nos vies grâce aux alliances que nous avons faites avec Dieu et Christ.
Le Saint-Esprit est l’un des nombreux dons de Dieu.

Dans un monde périlleux, avec Satan essayant activement de décevoir et de détruire, nous avons accès à la vérité et à la lumière. Le Saint-Esprit nous donne le pouvoir et la capacité, à travers des moments difficiles ou de bons moments, de persévérer avec confiance jusqu’à ce que nous ayons du succès en accomplissant ce que le Seigneur veut que nous fassions.

(Publié par MormonTimes – Traduit par Deb)

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Vivre au travers des écritures

"Remontons à nouveau" - 1 Néphi 4:1

Un matin en mission, j'ai commencé mon temps dédié à l'étude par cette simple question : "comment puis-je aider cette zone ?" Ma prière silencieuse faisait suite à la confrontation de multiples rejets dans une zone particulièrement difficile avec très peu d'investigateurs.


Je me suis retrouvée en train de lire le récit de Néphi et des plaques d'airain. Néphi et ses frères retournaient à la turbulente Jérusalem pour obtenir des archives importantes mais furent éconduits et jetés hors de la cour de Laban. Bien que découragés et opprimés, Néphi à rallié ses frères et les a persuadés de faire preuve de foi et d'essayer encore. Il me semblait qu'après en être arrivés à ce point, le Seigneur les bénirait pour leur foi et leur remettrait les plaques. J'attendais le même traitement. Il me semblait avoir mobilisé ma foi sans aucun résultat!

Le Seigneur voulait que Néphi apprenne une leçon, tout comme Il voulait que j'apprenne de l'expérience de Néphi. Meme après avoir lamentablement échoué dans deux tentatives pour récupérer les plaques, Néphi implore ses frères avec ces mots simples, mais puissants : "Remontons à nouveau" (1 Néphi 4:1).

"Remontons à nouveau" est devenu ma devise. Quand ma compagne et moi avons été confrontées à des paroles furieuses et des portes claquées, nous nous sommes rappelées les paroles inspirantes de Néphi et sommes allées à la porte suivante.

Confrontées à l'échec, nous avons regardé au-delà, "remonté à nouveau" pour continuer le travail du Seigneur. J'ai réalisé que le résultat de cette foi active n'était pas toujours couronné par un succès immédiat, mais que c'était un procédé pour développer un caractère qui, au final, deviendrait un chef-d’œuvre entre les mains de l'amour de mon Père Céleste. Un succès étonnant en a découlé, mais cela uniquement parce-que nous n'avions pas capitulé après de multiples tentatives. Nous avons persévéré avec foi sans savoir ce qui arriverait.

-Bethany Sterzer, 16ème Paroisse d'étudiants célibataires de l'Université de Salt Lake, 7éme Pieu d'étudiants célibataires de l'Université de Salt Lake

(Publié par LDS Church News – Traduit par Angélique)

Message du 26 Mai 2010

Seules dans une Église centrée sur la famille

Michelle Marchant ne s’est jamais mariée. Keri Turley est divorcée. Kathy McGregor est veuve.

De ce fait, toutes les trois sont considérées comme étant « seules », étiquette qu’aucune d’elles n’a recherchée. « Dans mon parcours, je n’avais pas l’intention de rester seule », a expliqué Sœur Marchant, lors d’une présentation pendant la Conférence de l’Université Brigham Young, pour les Femmes, le 30 avril. Sœurs Turley et McGregor n’en avaient pas non plus l’intention.
Environ la moitié des membres de la Société de Secours dans le monde, sont seules, a dit Sœur Marchant. « Comment une sœur seule reste-t-elle forte dans une Église centrée sur la famille ? », a-t-elle demandé.

Chacune d’elles a fait part de ses expériences, notamment de l’espoir et de la paix qu’elles ont trouvés dans des situations qu’elles n’avaient pas anticipées.

Divorcée

Sœur Turley a rencontré son mari à l’Université Brigham Young et ils se sont mariés au temple. Après l’obtention de leurs diplômes, ils ont emménagé près de l’Université d’Utah où il a poursuivi ses études dans le domaine médical.
La veille du jour où ils allaient quitter leur logement de parpaings, son mari lui a dit qu’il voulait divorcer. Keri avait 27 ans et deux enfants. « J’étais anéantie », dit-elle.

Quelques mois plus tard, elle a rejoint ses parents en Arizona, dans la paroisse où elle avait grandi. Elle dit qu’il est parfois très difficile d’aller à l’église. Certains jours, elle a l’impression d’avoir un gros « D » rouge inscrit sur le front et qu’elle déçoit tous les dirigeants qui l’ont instruite. « Mais il faut continuer à vivre, dit-elle, parce que l’Évangile est tout ce qu’il y a de stable au milieu du chaos. »

Puis, il lui a fallu subvenir aux besoins de ses enfants et prendre soin d’eux. Par la suite, elle a repris ses études et, après avoir étudié sa bénédiction patriarcale dans un esprit de prière et les solutions qui s’offraient à elle, elle a décidé d’enseigner la chimie, qui est maintenant son métier. Cela n’a pas été facile car elle a dû surmonter ses craintes et mettre sa confiance en son Père céleste. De nombreuses fois, sa mère lui a dit: « Continue à pousser ta charrette. » « Comment pouvons-nous espérer être comme les pionniers, si nous n’avons pas fait des sacrifices comme eux en ont faits ? », a demandé Sœur Turley.

Veuve
Sœur McGregor attendait son quatrième enfant lorsqu’elle a appris que son mari avait un cancer.
Les prévisions n’étaient pas bonnes. Il avait cinq pour cents de chances de vivre cinq ans.
Sa première opération a eu lieu dix jours avant le jour de son accouchement et elle a prié pour qu’il puisse être à ses côtés lors de la naissance du bébé. C’est ce qui s’est produit et elle considère cela comme une douce miséricorde.

Les quatre années suivantes, jusqu’au jour du décès de son mari, en 2005, ils ont tous deux acquis une meilleure compréhension de la foi. Sœur McGregor dit que cette situation n’avait pas sa place dans leurs plans familiaux. Elle avait prévu d’être une amie et une compagne pour son mari. « Comment allais-je pouvoir faire le travail de deux personnes ?, s’est-elle demandée. J’avais déjà du mal à faire mes tâches quotidiennes. »

Depuis lors, elle a dû apprendre de nombreuses leçons qu’il lui aurait été difficile d’apprendre autrement, ainsi qu’une perspective différente de la vie. « Je n’aurais pas choisi de vivre ces difficultés, mais cela m’a aidée à comprendre l’Expiation. Je trouve de la joie dans cette vie, différemment d’avant. » Elle comprend mieux le pouvoir de la grâce et comment elle aide à faire des choses qui seraient autrement au-delà de ses capacités. « Je crois que des anges participent activement à ma vie », dit Sœur McGregor.

Célibataire
Sœur Marchant est heureuse d’avoir des occasions de célébrer la venue de nouveaux bébés, des baptêmes, des mariages et d’autres événements qui marquent la croissance d’une famille. Mais ce sont des moments où elle ressent du chagrin. « Cela souligne le fait que je n’ai ni mari ni enfants », dit cette sœur qui est professeur d’éducation spécialisée à l’Université Brigham Young. C’est là que réside la difficulté d’être seule.


Mais elle a trouvé de l’espoir dans la connaissance qu’elle aussi est une fille divine de Dieu et que la valeur d’une femme ne dépend pas du nombre de ses enfants. Elle a aussi appris à avoir confiance en Dieu et en son timing. Elle « emprunte » des enfants, notamment ses 16 neveux et nièces, lors de « sorties avec tantine » et elle fait de son mieux pour servir les autres, comme lorsqu’elle a été appelée présidente de Société de Secours de paroisse et que 78 bébés sont nés pendant les 3 années où elle l’a été.

Parfois, elle se demande si elle avait fait les choses différemment ou pris d’autres décisions, quelle serait sa vie.
Puis, elle cesse de se poser ces questions et elle essaie de « faire de bon gré tout ce qui est en (son) pouvoir » (D&A 123 :17). « Les bénédictions peuvent ne pas être rapides, mais elles sont certaines. Pour le moment, le plan de Dieu pour moi est que je sois célibataire. »

(Publié par Muriel – Traduit par MormonTimes)



Message du 25 Mai 2010

Missionnaires hors de danger en Thaïlande et en Grèce

Le département Missionnaire de l'Église a annoncé que les missionnaires sont en sûreté et représenté en Thaïlande et en Grèce malgré l'agitation civile dans ces pays.

Les missionnaires en Thaïlande de la Mission de Bangkok continuent leur travail missionnaire normalement. Les protestations ont été contenues à un petit secteur, qui a eu l'effet minimal sur le travail missionnaire. Six missionnaires servant près du secteur ont été réassignés et deux bâtiments de l’Eglise près du conflit ont été fermés jusqu'à ce que les protestations diminuent. Les Elders et Sœurs missionnaires arrivent et rentrent chez eux comme prévu.

Tous les missionnaires en Grèce à la Mission d'Athènes sont en sûreté et prennent des précautions pour éviter les secteurs de protestation. Ils ont été instruits de retourner à leurs appartements chaque jour avant 18h00 jusqu'à ce que les protestations diminuent.

(Publié par LDS Church News – Traduit par Eliane)


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Vaincre la critique en devenant un peu plus saint

Les mots peuvent être utilisés pour faire l’éloge ou compter les bénédictions. Ils peuvent être également utilisés pour critiquer et abattre les autres.
Et comme un petit feu, les critiques peuvent rapidement échapper à notre contrôle et avoir des conséquences dures et involontaires, a déclaré Karen J. Allen, devant plus de 1200 femmes, lors de la conférence des femmes qui se tenait récemment à BYU, dans la présentation intitulée « Combattons la critique ».

Il y a une critique constructive qui est une analyse d’un objectif, ce qui est nécessaire et dont nous avons besoin, a-t-elle dit. Puis il y a la critique qui pique et blesse – et dont nous voulons nous défendre. C’est ce type de critique qui a besoin d’être combattu. « C’est une fuite ou un combat » dit Allen, en parlant des réactions des gens en général.
Lorsque l’un de ses fils faisait du scoutisme, il y avait une politique autorisant les garçons de 11 ans à aller au camp avec leur père. L’année où son fils a eu 11 ans, le pieu a changé sa politique, disant que les garçons devraient attendre jusqu’à l’âge de 12 ans. L’année suivante, la politique est revenue en arrière, avec des remerciements pour le travail et la persévérance de l’un des dirigeants de paroisse qui avait un garçon de 11 ans cette année-là.

« Cela ne semblait ni équitable ni logique » dit elle « Cela ressemblait à un retour en arrière »
A ce moment, ils se trouvaient devant un choix : continuer à soutenir, à honorer et à prier pour leurs dirigeants, même lorsque la décision semblait n’avoir aucun sens, ou faire le contraire.
Mais ne pas aller au camp empêcherait son fils de devenir Aigle Scout.
« N’était-ce pas réellement là, matière à réflexion » dit elle « se tenir hors de la tempête, accentuer le côté positif »

Premièrement, agir et non pas réagir. Agir avec amour, nous permet de garder l’Esprit. Ce qui n’est pas le cas, si nous réagissons avec colère.
Deuxièmement, donner aux gens le bénéfice du doute en pensant qu’ils ont essayé de faire pour le mieux.
Troisièmement, pardonner aux autres « C’est un cadeau pour notre âme. C’est plus facile à dire qu’à faire » dit Sœur Allen, « Ne laissez pas la critique faire dérailler votre progression personnelle »

Combattre la critique est plus que brider sa langue, cela représente une transformation vers des choses qui sont saintes » continue la co-présentatrice Sœur Susan Hilbing, qui est l’épouse d’Elder Keith K Hilbing des 70.

« Personne ne se réveille en se disant, je vais perdre patience aujourd’hui » a dit Sœur Hilbing.
« Deux personnes différentes, peuvent avec intelligence et paix résoudre un désaccord, gérer leurs différents, ce qui n’est pas la norme dans la société d’aujourd’hui qui prospère par la rhétorique et la critique », a-t-elle ajouté.
Pour chercher à imposer la sainteté dans nos vies, nous devons reconnaître que chacun de nous à une nature divine inhérente. Ensuite nous devons nous souvenir que le but de la mortalité, est l’éternité.
« Nous ne pouvons pas prétendre à la vertu sans que cela soit testé sur une personne ou dans une situation à un moment donné» a t elle ajouté « L’amour est ce que nous lui donnons, indépendamment de son comportement »
Les mots sont sacrés et ont un pouvoir. « Tout cela se résume à un échange de mots » a dit Sœur Hilbig
Quatrièmement, la charité ne périt jamais. Avec la charité, « nous serons moins enclines à voir les fautes, et nous verrons les vertus » dit elle « par une pratique continuelle, nous en ferons une habitude ancrée en nous».

(Publié par MormonTimes – Traduit par Claudie)

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Actualités de l'Eglise en France

En Macédoine, le président de l’interrégion d’Europe prend la parole sur le dialogue entre interconfessionnels

Lors de la deuxième conférence mondiale sur le dialogue entre confessions religieuses et entre civilisations, Erich W. Kopischke, Président de l'interrégion d'Europe a pris la parole.


(Pubié par le site officiel de l'Eglise en France)

Message du 24 Mai 2010

«Tu ne convoiteras pas»

Les crabes récoltés chaque année au large du rivage de l'île Harkers sur les côtes de Crystal en Caroline du Nord nous donnent une leçon métaphorique sur la nature humaine.

Les pêcheurs de crabes déposent leurs cages découvertes dans l'eau au bord des profondeurs de l'océan. Pour les visiteurs qui sont débutants dans l'industrie du crabe, les cages dont les parois ne sont pas très hautes paraîssent illogiques. Il semble que le crabe pourrait échapper au sort que lui réserve le menu du déjeuner local simplement en grimpant sur le bord de la cage pour se laisser tomber sur le sable doux ci-dessous. La liberté aquatique l'attend à quelques mètres.

De telles évasions, nous disent les vétérans de la pêche aux crabes, sont rares. Les autres crabes ne le permettent pas. Au moment même où une quête de liberté est entreprise par un crabe sur le la paroi de la cage, les autres crabes étendent leurs pinces et le tirent, le ramenant ainsi en captivité. Pas besoin de surveiller les crabes. Ils se surveillent les uns les autres.

Les crabes et les gens se comportent parfois de la même manière. Nous aussi, nous nous trouvons parfois coupables de critiquer quelqu'un qui a du succès. Le dicton: «Nous aimons tous voir nos amis réussir - mais pas trop », n'était pas destiné à un crustacé.

« L'envie » est à juste titre, comptée parmi les sept péchés capitaux. Dans notre effort d'éviter le péché, nous pouvons nous demander si nous avons parfois des ressentiments envers la bonne fortune de nos voisins ou envers leurs actions dignes d'améliorer leur sort. Sommes-nous jaloux de la prospérité financière d'un autre membre? Convoitons-nous la rapide voiture noire d'une connaissance ou, peut-être, son importance dans la communauté ou la paroisse?

Compté parmi les Dix Commandements, se trouve cet ordre divin: « Tu ne convoiteras pas. »

La convoitise se manifeste par la jalousie, l'envie, la rancune et la cupidité.

Ces impulsions toxiques existent depuis la première famille. Caïn, l'aîné d'Adam et Eve a tué Abel dans une rage de jalousie quand le Seigneur a accepté l'offrande de son jeune frère. L'envie a empoisonné les fils de Jacob, qui jetèrent leur jeune frère, Joseph, dans un puits. Et c'est la convoitise de David envers Bethsabée, la femme d'Urie, qui le mis sur la voie d'un péché encore plus grand.

Des sentiments de jalousie ont aussi rongé les fils aînés de Léhi, Laman et Lemuel. Leur ressentiment envers leur jeune frère Néphi a été l'impulsion de la haine violente qui pèse sur leurs postérité partagée pendant des générations.

Bien sûr, les écritures comprennent également les comptes des hommes et des femmes qui ont trouvé la joie dans le succès et les efforts dignes d'autrui. Considérez Aaron de l'Ancien Testament. Contrairement aux actions de Caïn et des frères plus âgés de Joseph, Aaron a fidèlement soutenu son jeune frère et chef spirituel, Moïse.

Les Saints des Derniers Jours peuvent également trouver une noble figure de l'histoire de l'Église. Heber J. Grant a dit de Hyrum Smith: «Il n'y a pas de meilleur exemple d'amour d'un frère aîné que celui exposé dans la vie de Hyrum Smith pour le prophète Joseph Smith. ... Ils étaient aussi unis, affectueux et aimant que pourrait l'être des mortels. ... Il n'y a jamais eu une particule de jalousie ... au cœur de Hyrum Smith. Aucun homme mortel n'aurait pu être plus loyal, plus vrai, plus fidèle dans la vie ou dans la mort que le fut Hyrum Smith envers le prophète du Dieu vivant. »

Quelles sont les causes qui poussent une personne à convoiter, à envier ou contrarié une autre? Le péché d'orgueil en est vraisemblablement la cause. On peut reprocher à un autre son succès, croyant que celui-ci diminue nos réalisations ou capacités. Nous cherchons la gloire des hommes par dessus les louanges de Dieu.

«Nous trouvons si souvent des exemples de personnes qui, en oubliant qui elles sont, veulent être populaire auprès de leurs pairs et recherchent les louanges, de ceux-ci » a déclaré le président N. Eldon Tanner de la Première Présidence dans ses adresses à la Conférence Générale d'octobre 1975 . «Les athlètes se laissent si souvent emporter par leur succès et leur désir de louange qu'ils oublient leur devoir envers Dieu et l'importance de son approbation et, par conséquent perdent leur chemin. Ceci s'applique également aux politiciens, membres d'organisations fraternelles, les professions et les entreprises . Ce désir de louange et de popularité trop souvent contrôle leurs actions, et alors qu'ils succombent ils se trouvent en train de plier leur caractère quand ils pensent qu'ils ne font seulement que de reconnaître leurs accomplissements...

« Si les individus sont plus soucieux de plaire aux hommes que de plaire à Dieu, alors ils souffrent du même virus que Satan avait [en pré-mortalité], car il y a de nombreuses situations où la recherche de la gloire des hommes fera clairement plus de mal que de bien à l'humanité, car les hommes sont disposés à faire ce qui est opportun et temporaire au lieu de ce qui est durable et bénéfique. »

Comme il est satisfaisant, a-t-il déclaré, de recevoir les louanges de Dieu, « sachant qu'elles sont pleinement justifiées et que Son amour et Son respect pour nous persistera, quand souvent les louanges des hommes sont éphémères et des plus décevantes. »

(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)


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Une pensée des écritures

« Et maintenant, ô mon fils, tu es appelé par Dieu à prêcher la parole à ce peuple. Et maintenant, mon fils, va donc ton chemin, annonce la parole avec vérité et sagesse, afin d'amener les âmes au repentir, afin que le grand plan de miséricorde ait droit sur elles. Et que Dieu t'accorde selon mes paroles. Amen ». – Alma 42 :31

« Pour que nos relations avec les jeunes touchent vraiment leur cœur, nous devons être attentifs à eux comme nous le serions avec un collègue adulte de confiance ou un ami cher.». a dit Elder Robert D. Hales lors de la conférence générale d’avril 2010.

« Le plus important est de leur poser des questions, de les laisser parler puis d’être prêts à écouter, oui à écouter encore et encore, jusqu’à écouter avec nos oreilles spirituelles ! »
« Lorsque nous avons une soirée familiale, un conseil de famille ou une conversation profonde sur l’Évangile avec nos enfants, nous avons l’occasion de les regarder dans les yeux et de leur dire que nous les aimons et que notre Père céleste les aime aussi ».

« Dans ces situations sacrées, nous pouvons aussi les aider à comprendre, du fond de leur cœur, qui ils sont et comme ils ont de la chance d’être venus sur la terre et dans notre foyer et de participer aux alliances que nous avons contractées dans le temple pour être une famille éternelle ».
« Dans tous nos échanges, nous montrons les principes et les bénédictions de l’Évangile ».

(Publié par LDS Church News – Traduit par Cédric)


Message d'inspiration du 23 Mai 2010

Cette mise en page aujourd'hui représente notre 500 ième mise en page ! C'est avec joie que nous continuerons aussi longtemps que possible...Merci !

Le respect du jour du Sabbat : souvent un défi

Savoir que le respect du jour du Sabbat est important et le mettre en pratique dans les familles
Mormones sont deux choses différentes, selon les oratrices qui ont parlé lors de la récente
Conférence pour les Femmes qui s’est tenue à l’Université Brigham Young.


Janet C. Williams et Sharon Eubank ont toutes deux cité des Écritures et des conseils qui exhortent les membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours à faire du Sabbat un jour de festin spirituel.

Sœur Williams a rappelé aux personnes présentes qu’honorer le jour du Sabbat n’est pas
seulement un commandement de Dieu mais aussi une alliance entre Dieu et l’homme.
« Aujourd’hui, après avoir élevé sept enfants et passé un millier de dimanches seule avec les
enfants, je peux vous dire que savoir et accomplir sont deux choses différentes », a-t-elle dit. Les mères et les grands-mères deviennent les gardiennes du Sabbat. »


Sœur Williams a dit que mettre ses vêtements du dimanche aide aussi bien à faire du dimanche
un jour consacré uniquement à la famille que de restreindre les achats, les jeux vidéo, la
télévision et la musique qui ne sont pas en lien avec l’Église. Elle a suggéré de réunir les
chaussures le soir précédent et de préparer un repas léger le samedi pour le dimanche.
Cependant, même avec des efforts diligents de planification, Sœur Williams a dit qu’un dimanche son fils est quand même allé à l’église avec deux chaussures différentes. Les difficultés et les défis étaient toujours présents.
Sœur Eubank a dit que du fait qu’elle n’est pas mariée, ses dimanches ont toujours été tranquilles.


Maintenant qu’une famille avec cinq enfants est avec elle les weekends, elle a découvert
pourquoi sa mère était toujours stressée le dimanche.
« C’est difficile, a-t-elle dit. J’ai une amie qui, pendant des années n’a pas pris la Sainte-Cène
parce qu’elle était si furieuse après ses enfants quand elle était distribuée. Je sais ce que j’aime
faire, les règles culturelles et ce qui se passe en réalité.


Elle a fait allusion aux 72 Écritures qui mentionnent le jour du Sabbat et a dit qu’il est
important de se souvenir que le Seigneur a donné le Sabbat comme cadeau, comme don fait à
l’homme. « Jésus a guéri le jour du Sabbat. Observer le jour du Sabbat fait de nous des personnes complètes. Nous devons faire des choses qui nous unissent à Dieu », a-t-elle dit.
Souvent, cela inclut rassembler les membres de la famille pour un repas ce qui signifie
habituellement plus de travail pour les femmes de la maison mais qui est en fait un service envers les autres.

« Dans toute cette frénésie, j’espère que nous voyons la main de Dieu dans notre vie », a-t-elle dit. Sœur Eubank a dit que les femmes justes font toute la différence dans les foyers saints des
derniers jours et le Jour du Sabbat.


« Vous montrez au Seigneur que vous êtes son peuple d’alliance, même si cela signifie seulement venir à l’église semaine après semaine et réussir à assister aux réunions », a-t-elle dit.

(Publié par MormonTimes – Traduit par Muriel)
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Pensée du jour

L’exercice de la patience

« L’exercice de la patience se résume à ceci : observer les commandements, avoir confiance en Dieu, notre Père céleste, le servir avec humilité et un amour semblable à celui du Christ, faire preuve de foi et d’espérance au Sauveur et ne jamais abandonner. Les leçons que nous retirons de notre patience formeront notre caractère, élèveront notre vie et augmenteront notre bonheur……

Je prie pour que la patience devienne notre caractéristique fondamentale….. pour que nous fassions courageusement confiance aux promesses du Seigneur et à son calendrier, que nous agissions envers les autres avec la patience et la compassion que nous souhaitons pour nous-mêmes et que nous persévérions avec patience jusqu’à ce que nous soyons rendus parfaits. »


Par Dieter F. Uchtdorf Deuxième conseiller dans la Première Présidence

Message du 20 et 21 Mai 2010

Dénoncer les distractions digitales

La technologie est un bon outil quand nous l'utilisons de manière sage, mais trop souvent, l'aspect digital de la vie des gens termine par les tirer vers le bas comme s'ils étaient tirés par une meute de chevaux sauvages. C'était le message que Lisa Valentine Clark et John Mott ont partagé lors de la Conférence Annuelle des Femmes de BYU.


Soeur Clark, une artiste interprète et professeur d'anglais dans les lycées, a dit que c'est lorsque les gens n'utilisent pas la technologie de manière sage que cela devient perturbateur.
"Nous ne réalisons pas pleinement ce que nous abandonnons car nous sommes distraits", dit une mère de cinq enfants.

Soeur Clark tient un blog et enseigne la science fiction à cette femme par internet, donc elle est familière avec les différents intérêts qu'a Internet. Mais avec les points positifs, il ya des clichés qui exigent un discernement pour identifier la personne.
Les personnes sur les médias sociaux, en particulier sur les blogs, présentent une image contrôlée et artificielle de leur réalité, celle qui pourrait être trompeuse pour les lecteurs.

Soeur Clark a utilisé l'intervention d'Elder David A. Bednar pour mettre en garde les personnes présentes "à voir les choses telles qu'elles sont réellement".

Certains sites internet sont conçus pour faire du profit, certains ont pour but de rester en contact avec ses amis et sa famille, d'autres sont destinés à l'intéraction et veulent que vous ayez le sentiment de faire partie d'une communauté, mais il y a toujours un dénominateur commun, dit soeur Clark.

"Ils ont tous un élément indéniable pour eux: ils invitent les lecteurs. Ils veulent quelque chose de vous, et vous devez reconnaitre que chaque femme a ses propres raisons pour se tourner vers la technologie sociale et digitale qui peuvent être différentes des vôtres.

Ces différences ne font pas références pas au bien et au mal, dit soeur Clark, mais si une femme cherche une réelle amitié sur un site à but lucratif, elle pourrait être déçue. "Si vous cherchez une véritable amitié, soyez sure qu'ils vendent votre "amitié" pour le profit," dit-elle.

John Mott, adjoint au vice-président académique de la technologie universitaire de BYU, a dit que la technologie peut devenir une telle priorité dans la vie de quelqu'un qu'elle éclipse ou écrase les autres aspects de sa vie. Les gens doivent être vigilants à établir un équilibre sain.

"Nous ne devons pas oublier que la technologie est un outil que nous devons utiliser pour atteindre nos buts et nos objectifs," dit John Mott. Et ces objectifs devraient principalement être de faire tout ce qui en notre pouvoir pour garder les promesses et les alliances que nous avons contracté avec Dieu," affirme John Mott.

La Conférence Générale, par exemple, est facilement disponible sur internet, en format audio ou vidéo- ce qui est une bonne chose. Mais essayer simultanément de regarder la Conférence en participant et suivant une conversation sur Twitter à propos de cette Conférence peut être perturbant, et en fait peut nuire à cette expérience.

Lisa Valentine Clark a cité Elder Bradley D. Foster qui a déclaré dans un récent discours de Conférence: "Une distraction ne doit pas être mal pour être efficace."
Quand les amitiés sur internet sont le prolongement d'amitiés de la vie réelle, quand elles sont inspirantes, quand elles encouragent et édifient, alors elles valent le coup. Mais quand elles servent juste à passer le temps, ou amènent les gens à penser simplement à l'amitié ou au service, alors elles sont gênantes.

"Les médias sociaux sont les plus utiles quand ils nous poussent à faire quelque chose de réel -prier, créer, écrire, servir," déclare soeur Clark. "Ils sont inutiles quand ils nous amènent à nous inquiéter pour des choses sans importance ou nous amènent à nous sentir coupables, à nous plaindre, ou à lire des informations idiotes et quand cela n'apporte aucun bénéfice à nous même, à notre famille, à nos voisins, à nos talents....etc... Je dois me souvenir de faire le bien, et pas simplement y penser ou le lire." Stéphanie Nielson et son mari Christian – les beaux-parents de soeur Clark- ont été dans un accident d'avion en 2008 qui les a laissé grièvement blessés et dans une unité pour grands brûlés d'Arizona pendant plusieurs mois. Le blog de Stéphanie, dont elle s'occupait régulièrement avant l'accident, a gagné des milliers d'internautes, mais ce fut seulement lorsqu'ils travaillèrent avec des médias sociaux que la vie des Nielson fut bénie, déclare soeur Clark.

"Les femmes se sont mises hors ligne et se sont mises à genoux et ont prié. Et leurs prières ont été ressenties comme réelles- palpables, comme Stéphanie l'a décrit," dit soeur Clark.

John Mott dit que les hommes et les femmes ont besoin de s'enseigner mutuellement et d'enseigner leurs enfants pour filtrer et remettre en question les informations qui sont devant eux. Dans les siècles passés, les livres étaient rares, chers, et uniquement disponibles pour le gratin de la société, il y a maintenant une abondance d'informations qui peuvent enliser l'esprit de quelqu'un avec des faits inutiles qui empêchent cette personne de ressentir ou d'entendre l'esprit.

"Quand le Seigneur parla à Elie, il y eut un tremblement de terre, un feu et une tempête. Mais les écritures nous disent que le Seigneur n'était pas dans le tremblement de terre, il n'était pas dans le feu, il n'était pas dans la tempête. Mais après tout cela, il y eut un silence, une voix douce parla," dit John Mott. "Quand nous pensons aux médias sociaux dans nos vies, très souvent, c'est un tremblement de terre, un feu, et une tempête. Et nous devons nous éloigner de ces choses pour que nous puissions entendre cette petite voix douce."

(Publié par MormonTimes – Traduit par Sophie)


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5 façons d'étirer un revenu - économiser de l'argent en faisant du shopping

Sherry L. Neiger n'achète pas des éléments génériques de marque. Elle ne va pas non plus à l'épicerie plusieurs fois par semaine, et elle n'est pas fidèle à une marque ou magasin. Elle n'achète jamais de pépites de chocolat non plus. Mais elle possède beaucoup de chocolat.
Et elle n'aime pas dépenser de l'argent pour quelque chose, surtout sur du papier hygiénique.
"Je n'aime pas jeter l'argent par les fenêtres»,a déclaré Neiger à une foule de femmes à BYU Conférence le 29 avril à une session intitulée "Joyeusement vivre selon nos moyens."

Elle a montré 40 articles, y compris le papier toilette, qu'elle avait payé 37,94 $ au total entre Novembre et Avril. Collectivement, ils reviennent à 531,55 $.
«Je ne suis pas spéciale, a dit Neigher, qui était l'invitée de BYU-TV" Living Essentials »du programme. "Ceux d'entre vous peuvent le faire."

1. Plan

"Si un conjoint travaille, puis l'autre conjoint est le chef des finances (de la maison), a-t-elle dit. "Et il le prendra au sérieux."
C'est ce qu'elle fait quand elle et son mari se sont mariés et n'avaient pas beaucoup d'argent. Une partie de ses responsabilités de mère qui reste à la maison ont été le CFO et COO.
«J'étais chargée des enfants et m'assurais que l'argent était bien dépensé, dit-elle. «J'aime aussi le faire en ayant le plaisir"
Elle prend quotidiennement trois journaux du dimanche et 85% de ses richesses sont trouvées par ses économies provenant de bons de réduction des magasins.
Elle prévoit ses menus en fonction des choses qui sont en vente cette semaine, correspond à des annonces et sait ce qu'est une bonne affaire.
Elle poursuit seulement les remises à quelques endroits où c'est simple et elle peut garder une trace d'eux.
Neiger conserve également des coupons avec elle dans des sacs Ziploc snack-size (qu'elle a eu pendant presque gratuitement avec un coupon) sur un anneau dans son sac alors qu'elle les puisse les voir et les utiliser.
Elle n'achète pas des marques génériques parce qu'ils n'ont jamais été mis en vente

2. Retarder la satisfaction jusqu'à ce que vous pouvez l'obtenir à la vente et / ou de payer en espèces

"En tant que parents, nous habillons nos enfants, nous ne les décorons pas, dit-elle. Nieger a offert les supports de vente lors de l'achat avec ses enfants et avait leur avait financé la différence s'ils voulaient quelque chose n'étant pas en vente.
Quand son mari était à l'école, c'est quand elle a trouvé des moyens peu coûteux ou gratuits pour aller faire des choses avec sa famille, que ce soit est a été un voyage au zoo ou une sortie d'autres.

3. Dépensez moins que vous ne gagnez

Cela semble une évidence, dit-elle. Mais même si c'est un cent de plus que la gauche, cela signifie que vous n'avez pas entré dans la dette.
Tout simplement parce que la famille dispose de deux revenus, qui ne rend pas riche. La clé est de savoir combien d'argent de la dette et de sortir, ils ont, at-elle ajouté.

4. Réduire les dépenses en devenant un consommateur averti

Prenons un pot de beurre d'arachide Skippy, dit Neiger. Il coûte 3,29 $. Dans un magasin qui allait à la faillite, il a été annoncé à 99 cents et elle avait un coupon de 30 cents hors tension. Parce qu'elle a trois journaux du dimanche, elle a eu trois bons de réduction, et elle a payé 69 cents chacun, pour trois d'entre eux.
«Avis de la traite, dit-elle. "Épicerie avec les yeux grands ouverts."
En outre savoir ce qui est une bonne affaire.
"Prenez le temps de savoir quand il y a des bonnes affaires et de maximiser votre argent, dit-elle, ajoutant que la raison pour laquelle 85 pour cent de son épargne provient des annonces des magasins.
Savoir quand les ventes sont. Savoir quand les magasins ont les soldes. Elle achète du chocolat juste après les fêtes et les utilise pour la cuisson et des friandises.
Une nouvelle paire de chaussures de Dillard's dans l'affichage de Neiger au détail pour plus de 100 $. Elle les a achetées pour 10 $ sur une vente de liquidation et avait un bon magasin.

5. Un dollar économisé vaut plus qu'un dollar gagné

"Etre dans le contrôle de votre argent signifie que vous êtes dans le contrôle de votre santé et relations," a-t-elle dit, citant qu'une des raisons les plus communes du divorce est de l'argent.
Alors, par les calculs de Nieger, une famille peut économiser, sortir de la dette et avoir la provision d'une année de nourriture dans six ans. C'est ce que sa famille a fait.
Neiger a aussi dit qu'une des choses à ne jamais faire, c'est se soustraire à la dîme et d'autres offres. Même quand ils luttaient étant étudiants, ils se sont sentis bénis.
"En tout temps nous avions beaucoup cette foi," a-t-elle dit, tenant son index et pouce d'un pouce à part, "nous avons été très bénis."

(Publié par MormonTimes – Traduit par Pat)


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Pensée du jour

L’appel de Jésus-Christ

« Je vous recommande fortement de vous fixer un plan d’étude personnelle pour mieux comprendre et apprécier les conséquences incomparables, éternelles et infinies de la réalisation parfaite de l’appel que Jésus-Christ a reçu de Dieu d’être notre Sauveur et Rédempteur. Une méditation personnelle approfondie sur les Écritures, accompagnée de prières profondes et sincères, fortifiera votre compréhension de son expiation inestimable et votre gratitude pour elle. …..
Puissions-nous tous renouveler notre détermination d’enseigner les vrais principes dans le cadre sacré de notre foyer. Ce faisant, nous assurerons aux esprits qui nous sont confiés les meilleures chances de bonheur. Utilisez l’Église comme un outil juste pour fortifier le foyer mais soyez conscients que les parents ont la responsabilité et le droit fondamentaux d’être guidés par le Seigneur dans la façon dont ils élèvent les enfants d’esprit qu’il a confiés à leurs soins. »


Par Richard G. Scott du Collège des douze apôtres


Message du 19 Mai 2010

La fidélité émotionnelle signifie protéger son époux/épouse

La fidélité émotionnelle concerne plus le fait de protéger le cœur et l'égo se son époux/épouse plutôt que d'arrêter de rêver à un amoureux imaginaire.

April Perry et Esther Rasband ont parlé des manières d'éviter l'infidélité émotionnelle lors de la conférence annuelle des femmes sponsorisée par la Société de Secours de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours les 29 et 30 avril à l'Université de Brigham Young.

April Perry a parlé concernant le fait d'avoir des attentes réalistes et d'éviter les tentatives de Satan à persuader les femmes qu'elles doivent avoir des relations inappropriées. Elle a déclaré que l'adultère dans le cœur n'a jamais été approuvé du Seigneur.
April Perry est une jeune mariée tandis qu' Esther Rasband est mariée depuis 52 ans.

Sœur Perry a conseillé aux femmes de pardonner rapidement à leur mari, de rechercher l'inspiration pour leur situation personnelle et de limiter la concurrence pour leur temps et leur relation.
Esther Rasband a dit que maris et femmes sont comme nus émotionnellement l'un devant l'autre,et de ce fait, ils sont plus vulnérables à l'autre qu'à n'importe qu'elle autre personne.
« Lorsque nous sommes venus devant l'autel nous avons fait des promesses d'exclusivité. Dans notre mariage nous sommes vraiment indispensables l'un à l'autre. Les besoins d'un des 2 conjoints sont insatisfaits s'ils ne sont pas satisfaits par l'autre conjoint. » nous dit Sœur Rasband.
Comme le conjoint est indispensable,cela lui donne le pouvoir d'édifier ou de blesser l'autre plus que n'importe qui ajoute t-elle.
« La fidélité émotionnelle concerne la manière dont on utilise ce pouvoir. Si vous êtes sage, vous y verrez une merveilleuse opportunité d'aimer. Le mariage c'est donner. Soyez préparés pour cela. »

Sœur Rasband a raconté l'histoire d'une femme qui a essayé de surprendre son mari avec un gâteau d'anniversaire et une chanson lors d'un dîner au restaurant tout ca pour être blessée par le manque de réaction de son mari parce qu'il n'aimait pas être le centre d'attention.
« Si nos désirs sont généralement inacceptables pour l'autre, notre mariage risque d'être rempli d'histoires tristes comme celle-ci. »

Elle a suggéré de se concentrer sur ce que chacun souhaite et a réellement besoin plutôt que sur ce que nous voulons qu'il arrive dans notre vie. »
« Nous sommes tous très différents » nous dit E. Rasband. « Je suis écrivain. J'ai besoin de partager. Je vois chaque chose comme un sujet d'écriture. Mon mari est quelqu'un de très discret. J'ai du apprendre à respecter cela. »
D'après elle, c'est une bonne idée de ne parler qu'au Seigneur de ses difficultés et ses frustrations plutôt qu'à ses amis ou sa famille.
Elle nous décrit la situation d'un homme qui a été appelé comme huissier lors des réunions de Sainte-Cène. Comme il n'aimait pas faire de grands discours, il a simplement distribué les programmes en silence et n'a parlé à personne. Cet homme lui a dit que c'était ce qu'il préférait donc, il employait la règle d'or en faisant aux autres ce qu'il aimait.
Sœur Rasband l'a gentiment aidé à voir qu'il projetait ce qu'il voulait sur les autres sans se soucier de leur personnalité ou de leur situation.

« La règle d'or concerne plus le fait d'être compris comme nous voulons vraiment être compris » ajoute t-elle. Cela devrait être la même chose dans le mariage.
« Nous essayons de créer un Éden. Plus nous partageons ce morceau d'Éden avec les autres, plus nous nous rapprochons de notre Éden. »

(Publié par MormonTimes – Traduit par Marina)


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Travailler au Temple: La tâche la plus noble

Lorsque nous sommes appelés à servir dans l’Eglise, cela ne signifie pas que nous sommes qualifiés pour cela, mais plutôt que nous avons une opportunité de servir et plus spécialement d’apprendre. Après avoir été assistante matrone dans le temple d’Helsinki en Finlande pendant trois ans, je pense avoir appris quelque chose et j’en suis extrêmement reconnaissante.

Je n’avais jamais ressenti auparavant une telle responsabilité dans mon travail, jamais auparavant commencé ma journée aussi tôt, ni n’était jamais rentrée à la maison aussi tard dans la soirée. Je n’avais jamais travaillé sans salaire ni congés ; mais je n’ai jamais été aussi heureuse ou plus reconnaissante pour mon travail et spécialement pour l’occasion de travailler avec mon époux.

Le temple est incroyablement beau, c’est le plus beau bâtiment de toute la Finlande. Nous habitons à environ une demi-heure du temple. Pendant ces trois ans nous avons parcouru en voiture l’équivalent de pratiquement une fois et demie le tour du monde. Vous pouvez imaginer les centaines de paires de chaussettes que j’ai pu tricoter dans la voiture.
Le temple est situé sur une belle colline, très facile à voir. La nuit c’est comme un phare lumineux pour un monde qui s’enfonce toujours plus profondément dans les ténèbres.
Le maire d’Espoo, là où se trouve le temple nous a dit : « C’est bien qu’ils aient accordé l’emplacement à l’Eglise. Maintenant le temple est le site le plus visible qui soit dans toute la région. »

C’est une occasion unique dans une vie de démarrer dans un nouveau temple. Nous étions très souvent dans le temple pendant 10 à 12 heures. Nous essayions de tout faire aussi bien que nous le pouvions. Nous étions si fatigués que nous ne pouvons pas vraiment nous rappeler nos premières semaines ; mais nous ne nous plaignions pas. Lorsque vous servez volontairement de tout votre cœur, le Seigneur vous bénit plus que vous ne pouvez l’imaginer.

Chaque jour dans le temple vous ressentez à quel point le voile est mince. Je ne peux pas compter le nombre de fois où j’ai ressenti la joie presque tangible de ceux que nous aidions à se libérer et à progresser à travers les ordonnances du temple.

Je peux vraiment dire, que travailler dans le temple est le travail le plus noble et le plus désintéressé au monde. Même lorsque les journées comprenaient beaucoup d’heures de travail à la laverie, cousant des douzaines de robes et de pantalons, aidant au bureau, nettoyant – tout était merveilleux. Tout le travail dans le temple était du service de valeur égale.
Je me réjouirais toujours des merveilleux amis et des relations que nous avons développées à travers l’Evangile et le temple dans le district du temple le plus étendu au monde.
Ce fut vraiment au cours de ces trois années une expérience inoubliable, être pratiquement à temps plein hors du monde, sentir si fortement l’Esprit, et faire l’expérience d’être guidé par le Seigneur.

Soeur Mari Alakoski a servi pendant que son époux, Jorma était premier conseiller dans la présidence du Temple d’Helsinki en Finlande.

(Publié par LDS Church News – Traduit par Sylvie)

Message du 18 Mai 2010

La formation d'un missionnaire

On a toujours demandé aux missionnaires appelés à servir dans l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours de sacrifier leurs intérêts personnels afin de se consacrer totalement au service du Seigneur.
Dans les premiers temps de l'Eglise, les missionnaires ont laissé leurs femmes et leurs enfants, souvent dans des circonstances difficiles, pour répondre à l'appel.
Aujourd'hui encore, les missionnaires laissent famille et amis, mais aussi l'instruction académique, les sports ou tout autre évènement important dans leurs vies.

Ils doivent également mettre au placard leur équipement électronique préféré, fermer leur téléphone portable, déconnecter leur compte Facebook et mettre de coté ordinateur et jeux vidéo.
Ceci se révèle plus difficile pour certains qu'il n'y paraît a déclaré l'ex-président de mission SDJ Brad Wilcox.
"Alors que j'étais président de mission, je me suis rapidement aperçu que c'était un problème et que cela irait de pire en pire. Nous avons définitivement vu, que c'était un souci en mission et je m'inquiète quand je vois des jeunes gens se préparer pour partir en mission" a dit Brad Wilcox, qui a présidé la Mission Santiago Est du Chili de 2003 à 2006.

Brad Wilcox est conscient qu'il y a des missionnaires au MTC ou dans le champs de la mission, qui souffrent littéralement du manque des téléphones portables, du réseau social sur le net ou des jeux vidéo, comme s'il s'agissait de drogues.

Pendant son service à la présidence de pieu de BYU, Brad Wilcox a observé des étudiants de première année qui pouvaient rester toute la nuit à jouer à "World of Warcraft" ou tout autre jeu vidéo, puis s'endormir en classe ou manquer l'église.

"J'ai trouvé cela plutôt bizarre" a dit Brad Wilcox . Ils suivent la préparation à la mission qui est supposée les rendre prêts pour accomplir un service missionnaire, mais ils choisissent de faire tout au long du jour et de la nuit, la chose la moins susceptible de les rendre prêts pour accomplir une mission.

Alors qu'il n'y a rien de mal ou de déplacé à utiliser les différentes technologies et autres média electroniques, leur usage excessif engourdit l'esprit et le mental, empêchant les jeunes gens de développer leurs facultés de communication et de sociabilité qui sont vitales pour devenir un prosélyte efficace. L'Eglise SDJ et Brad Wilcox recommandent différentes méthodes pour contrôler l'usage de la technologie et aider les jeunes gens à développer des compétences essentielles en matière de communication.

Dans son discours au coin de feu du CES en mai 2009, intitulé "Les choses telles qu'elles sont réellement", Elder David A Bednar a abordé le sujet :
"Tristement, il y a des jeunes gens et des jeunes filles dans l'Eglise aujourd'hui qui ignorent "les choses telles qu'elles sont en réalité" (Jacob 4 :13) et négligent des relations éternelles au profit de distractions numériques, de diversions et de détours sans valeur durable ... Un jeune homme ou une jeune fille, peut ainsi gaspiller d'innombrables heures, reporter ou rater une qualification professionnelle ou universitaire et finalement sacrifier de mémorables relations humaines à cause d'un esprit et d'un mental engourdis par la vidéo et les jeux en ligne".

Se reposant sur la foi et s'attachant profondément à l'évangile, la plupart des missionnaires au moins, n'ont aucun problème à laisser la technologie derrière eux a déclaré le Département Missionnaire de l'Eglise SDJ à Mormon Times. Le département reconnait qu'une communication face-à-face prépare mieux les jeunes gens et les jeunes filles au service missionnaire mais que l'usage des réseaux sociaux sur le net a aussi son utilité.

"Leur usage des réseaux sociaux les a rendus plus ouverts pour parler de questions diverses y compris de leurs sentiments personnels, au regard de ce qui a le plus d'impact les concernant, tels leurs témoignages" a déclaré le Département dans un e-mail". "Ils sont aussi beaucoup plus ouverts pour discuter de ces choses avec des individus avec lesquels ils n'ont pas de lien personnel étroit et ce faisant, les rends mieux à même de converser avec des gens qu'ils n'ont pas rencontré en personne".

SUR LE TERRAIN

Une fois dans le champs de la mission, ce sont les présidents de mission qui, en dernier recours, sont responsables de l'usage de la technologie dans leurs missions respectives. Dans la plupart des zones, les missionnaires utilisent le courrier electronique chaque semaine pour communiquer avec leurs familles. Certains utilisent les téléphones portables sanctionnés par la mission. La paperasserie administrative incluant des appels avec la mission spécifie : "il n'y a pas de restrictions vis-à-vis des appareils en play-back, mais dans tous les cas, requiert des haut-parleurs pour l'écoute". Les écouteurs ne sont permis en raison du fait qu'ils isolent les compagnons l'un de l'autre et ne sont pas compatibles avec l'apparence missionnaire.
"Les missionnaires préparés et qui ont du succès ne perdent pas leur temps en jouant à des jeux vidéo ou en surfant sur Internet" a déclaré le département.

QUELQUES BONS CONSEILS

La technologie tel que internet, les sms et le réseau social en ligne est simplement des outils de communication qui donnent accès à toutes sortes d’information, de nouvelles, de distractions et de personnes avec une diversité d’intérêts, affirme le département. En utilisant ces outils, l’église encourage les missionnaires potentiels ainsi que tous les autres membres de l’église de suivre les conseils contenus dans «Jeunes soyez forts,» qui déclare : «Ne choisissez que les divertissements et les médias qui vous édifient. Les bons divertissements vous aideront à avoir de bonnes pensées et à faire de bons choix. Et ils vous permettront de vous amuser sans perdre l’Esprit du Seigneur.»

Nous encourageons aussi les missionnaires potentiels et tous les membres à utiliser leurs contacts pour partager leurs croyances et leurs témoignages de l’Evangile avec les autres.
Wilcox, également auteur, interlocuteur populaire et ancien instructeur de séminaire, a offert six suggestions afin d’aider les jeunes à gérer leur dépendance à l’électronique alors qu’ils se préparent à servir une mission.

«Au lieu de dire ‘ne fais pas ça,’ il est plus intelligent de leur donner quelque chose d’autre à faire,» ajoute Wilcox. «Evidemment les technologies et les médias ne sont pas mauvais , il s’agit simplement de ne pas les laisser diriger votre vie.»

1. Commencez lorsque les enfants sont petits à contrômer le temps qu’ils passent à jouer aux jeux vidéos ou sur internet. «Tous ces garçons qui jouent à la Nintendo sont rapides à me dire ‘c’est bon pour la coordination de mes mains et mes yeux,’» dit Wilcox. «Je leur dis toujours que ce n’est pas le genre de coordination des mains et des yeux dont vous avez besoin pour être missionnaires. Vous avez besoin de savoir serrer la main de quelqu’un en le regardant dans les yeux. Ce ne sont pas des capacités qui se développent en regardant un écran de télé ou d’ordinateur.»

2. Encouragez les jeunes à dire «bonjour» aux personnes qu’ils rencontrent qu’ils connaissent la personne ou non. Cela peut leur attirer un ou deux regards étranges, mais les missionnaires doivent agir et non subir, dit Wilcox.

3. Après avoir dit «bonjour, » entraînez vous à engager une conversation. C’est facile lorsque vous êtes en train de remettre de l’essence ou que vous faites la queue dans un magasin.
«Vous vous tenez tous les deux là. ‘Hey, d’où venez vous? Il fait bon, n’est-ce pas? J’aime votre voiture.’ 9a n’a pas besoin d’avoir un rapport avec l’église,» ajoute Wilcox. «Les jeunes garçons doivent réaliser que les missionnaires sont ceux qui doivent être capables de commencer les conversations. Ils ne peuvent pas s’asseoir et attendre que quelqu’un vienne les interroger au sujet de l’Evangile.»

4. Partager des repas en famille permet une foule de bonnes opportunités pour le développement de la communication.
Si nous ne nous réunissons pas en famille, si nous laissons la télévision allumée pendant les repas, alors nous tuons ces conversations, explique Wilcox.

5. Encouragez vos enfants à sortir (pas régulièrement) pour développer leur aptitude à communiquer.

Wilcox a dit que sortir est une merveilleuse activité parce que cela force les jeunes garçons, qui parfois parlent par grognements ou par des mots d’une syllabe, à engager une conversation avec les filles qui sont souvent meilleures socialement et verbalement que les garçons. Pourquoi ne pas être dirigé et enseigné par un expert? Considérez les sorties comme une préparation à la mission et comment mener une conversation, dit Wilcox.
«Certains garçons me disent, ‘Je ne veux pas dépenser de l’argent pour la future épouse de quelqu’un d’autre.’ Je leur répond qu’à moins de dépenser un peu d’argent pour développer leur aptitude à communiquer et à se socialiser, vous ne serez pas assez chanceux de trouver une épouse, car quelle femme voudra d’un homme qui reste assis à jouer aux jeux vidéos toute la journée?»

6. Apprenez à écouter. La plupart des missionnaires font un bon travail pour apprendre à enseigner l’Evangile, même dans d’autres langues, mais certains ne réalisent pas que la moitié de la bataille consiste à apprendre à écouter et découvrir les besoins et les soucis des amis de l’église , dit Wilcox. Il a cité des exemples de sa propre expérience dans le champ de la mission quand des missionnaires étaient tellement occupés à se soucier de ce qu’ils allaient dire en espagnol qu’ils ont raté le coche avec les amis de l’église.
« Une partie de l’enseignement donné par l’Esprit est que le Seigneur vous aidera à savoir quoi dire,» dit Wilcox. «Une autre partie est que l’Esprit vous dira ce dont cette personne a besoin. ….Nous ne parlons pas autant de cette préparation à la mission.»

Tyson Rasmussen, un missionnaire récemment de retour de la mission de Tallahassee en Floride, a approuvé tous les points de Wilcox.
«La technologie éloigne les gens des compétences requises pour être un missionnaire efficace,» dit Rassmussen, qui suit maintenant des cours à l’université Snow. «C’est juste plus facile de subir que d’utiliser votre libre arbitre pour agir.»
En décidant comment utiliser diverses technologies et médias, Elder Bednar a recommandé de se poser deux questions:
«Est-ce que l’usage de diverses technologies et médias invite ou empêche la compagnie constante du Saint-Esprit dans votre vie?

«Est-ce que le temps que vous passez à utiliser diverses technologies et médias agrandit ou restreint votre capacité à vivre, à aimer, et à servir de manière sensée?»
«Un missionnaire préparé a en quelque sorte une confidence sociale,» dit George Durrant, ancien président de mission et longtemps instructeur à la préparation missionnaire à BYU. «Il sait comment rencontrer des gens, …se présenter et il a une certaine personnalité. Je crois que les premières impressions sont tellement importantes. Et si un missionnaire peut bien se présenter… Je pense que les gens seront attirés par lui ou elle et ils peuvent doucement attirer les gens au Sauveur.»

(Publié par MormonTimes - Traduit par Angelique et Delphine)

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A quoi sert de se plaindre….


Il y a plusieurs années, j'avais pour tâche de compter les brebis dans le désert du centre de l'Utah. Un jour que mon ami indien Hunkup et moi allions compter un troupeau, nous avons oublié d'emporter de l'eau. Et il faisait très chaud dans le désert. Si on ne prend pas d'eau, il faut connaître l'endroit où se trouvent les trous d'eau ou on peut en mourir.

J'en connaissais certains mais le plus proche était à environ trois heures à cheval. En chemin vers ce trou d'eau, j'ai commencé à avoir très soif. Je me suis tourné vers Hunkup et j'ai demandé : "Hunkup, tu as soif?" Il s'est tourné vers moi et à répondu :" Non, je n'ai pas soif"
Nous avons continué un peu et mes lèvres devenaient si sèches qu'elles commençaient à se gercer. Je me suis tourné vers Hunkup et je lui ai demandé: "Hunkup, tu n'as pas soif?" Et il répondit: "Non, je n'ai pas soif".

Je ne pouvais plus parler. Je ne pensais qu'à une seule chose: obtenir de l'eau. Même nos chevaux avaient tellement soif qu'ils pouvaient à peine marcher. Pour finir, nous sommes montés sur une petite colline et un peu devant nous se trouvait le trou d'eau.

Rapide comme l'éclair, Hunkup se trouva la tête dans l'eau à boire comme s'il allait assécher le trou. Je me suis approché en titubant et je me suis laissé tomber à côté de lui en haletant: "Hunkup, je croyais que tu avais dis que tu n'avais pas soif." Hunkup sortit la tête de l'eau, me regarda et dit: "Maintenant, j'ai soif."
Le fait de se plaindre en disant que nous avions soif ne nous faisait pas arriver au trou d'eau plus tôt.

L'ami février 1984 – (Partagé par Alice)

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Pensée du jour

Nos prières

« Pour que nos prières soient efficaces, elles doivent être en harmonie avec les desseins des cieux. La prière de la foi porte des fruits quand cette harmonie existe, et elle existe quand les prières sont inspirées par le Saint-Esprit. L’Esprit nous montre ce que doivent être nos prières. Sans cette inspiration, nous avons tendance à demander mal, dans le but de satisfaire nos besoins et non la volonté de Dieu. Il est tout aussi important d’être guidés par le Saint-Esprit quand nous prions que lorsque nous recevons la réponse à nos prières. Ces prières apportent les bénédictions des cieux parce que notre Père sait ce dont nous avons besoin avant que nous le lui demandions et il répond à toutes les prières sincères. En fin de compte, ce sont le Père et le Fils qui promettent : « Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. »

Par Keith B. McMullin Deuxième conseiller dans l’Épiscopat président

Message du 17 Mai 2010

La préparation physique à la mission

Trois pourcent des missionnaires à plein temps connaissent un retour prématuré chez eux pour des raisons de santé physique ou mentale, selon des statistiques récentes fournies par l’Eglise.
« Perdre 3 missionnaires sur 100 ne semble pas être pas être un chiffre alarmant » remarque Donald B. Doty, médecin, dans un article « Missionary Health Preparation » paru dans l’édition de l’Ensign de mars 2007, « mais pour la personne concernée, ainsi que sa famille, ce retour prématuré peut avoir des conséquences importantes ».

Les futurs missionnaires de l’Eglise peuvent suivre ces recommandations émises par le département missionnaire de l’Eglise, afin de se préparer à l’avance du départ :

Faire un point sur sa santé : Le Département précise : un examen de santé complet permet d’identifier et parfois de résoudre des problèmes de santé qui, autrement, aurait empêché un missionnaire de servir à 100%. De plus, il est crucial pour les futurs missionnaires de fournir un examen de santé complet et détaillé pour leur candidature pour la mission.

Voir le dentiste : Le département missionnaire rappelle qu’il faut enlever les dents de sagesse si le dentiste sent que cela pourrait être une source de difficulté pour les deux années de service. Les futurs missionnaires doivent voir un dentiste au plus tôt pour l’évaluation, et un éventuel traitement. De même, tout soin d’orthodontie doit être achevé avant l’entrée au Centre de formation missionnaire.

Faire de l’exercice : « un missionnaire moyen voit pouvoir être capable de marcher au moins 10km par jour, et de rouler à vélo au moins 19km par jour » mentionne Doty. Ceux qui d’ont pas l’habitude de rouler à vélo peuvent être rapidement fatigués, et même ressentir des douleurs et des infections à cause de la selle de vélo.

Rester propre : ne soyez pas sales, il vous faut acquérir de bonnes habitudes d’hygiène corporelle, et vous lavez souvent les mains.

Problèmes de peau : « Les personnes qui connaissent une acné sévère doivent obtenir de l’aide d’un médecin bien avant d’entrer au MTC » renchérit Doty.

Dormir : Les candidats à la mission doivent dormir sept à huit heures chaque nuit. Passer sa nuit sur un jeu vidéo ? Evitez, car les missionnaires ont un emploi du temps strict.

Surcharge pondérale : En 2007, le département missionnaire a requis des missionnaires un indice de masse corporelle inférieur à 37, ce qui correspond à la limite entre l’obésité et l’obésité potentiellement mortelle. Il est recommandé que tout candidat à une mission à plein temps qui connait des problèmes de poids prenne le temps d’en parler avec son évêque, et se fixe des buts pour atteindre un poids raisonnable avant d’envoyer sa candidature.

Vaccins : L’Elise a établi des directives sur les vaccins une fois qu’un missionnaire se voit assigner un secteur géographique. Le département suggère toutefois de consulter un médecin à ce propos, afin d’anticiper les besoins de vaccination standard et propres au pays de la mission.

Le fait de développer de bonnes habitudes pour son corps sera un gain considérable de temps une fois que le missionnaire sera rentré dans le champ de la mission. La compréhension de la rigueur et de la préparation physique attachées au service missionnaire permettra à tout missionnaire de s’ajuster plus facilement et d’avoir du succès au service du Seigneur.

(Publié par MormonTimes – Traduit par Cédric)


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Les choses que peuvent faire les femmes mormones pour réduire le stress

Les femmes mormones dépassées par un calendrier et des obligations trop chargés ont besoin de deux choses pour destresser, ont déclaré deux oratrices à la récente Conférence des Femmes à BYU : se simplifier la vie et demander l'aide de Dieu! "Dieu nous a placées ici pour réussir " a dit Sara Westerberg. "Mais la mortalité occasionne du stress ; c'est l'effet secondaire inhérent à cet état".

C'est très bien pour moi si je jongle avec trois balles a t'elle dit, mais dès que j'en rajoute une quatrième, il m'est impossible de les garder toutes en l'air.
C'est la même chose dans la vie : quand un enfant est malade, que la voiture tombe en panne ou que de d'autres exigences viennent se rajouter dans une vie de mère et d'épouse déjà bien remplie, alors les défis deviennent excessifs. "Le monde multimédia dans lequel nous vivons veut dire multi-fonctions et multi-tensions" a t'elle dit.

Sara Westerberg a confié que les stratégies qui marchent pour elle incluent : l'organisation, l'exercice physique, la réduction et la simplification, prendre une pause, être réaliste et résister à la tendance de se comparer aux autres.
Egalement, elle souligne le fait de demander une bénédiction de la prêtrise si nécessaire, d'étre en paix quant à la volonté du Seigneur, de prier constamment et de servir les autres.

Erin H. Meeker a trois bébés ainsi qu'un enfant de 4 ans. Elle a lu des passages de son journal, écrits lorsque ses jumeaux venaient de naître, son enfant adopté alors âgé de six mois et que son enfant de 4 ans était turbulent parce-que maman était tellement occupée.
"Nourrir, faire le rot, changer les couches et recommencer ! Nourrir, faire le rot, changer les couches et recommencer ! remplit mes journées " écrivait-elle. "Mes enfants sont complètement adorables et complètement épuisants".

Erin Meeker a confié que son évêque lui ayant conseillé de demeurer férocement loyale à sa famille, elle et son mari se sont assis pour revoir leur plan pour les 15 prochaines années en valorisant la qualité du temps passé en famille. "Nous avons éliminé certaines choses, certaines catégories. Dans tout ce que nous faisions, nous nous demandions : Ai-je besoin de cela ? Est-ce que cela fera une différence dans ma vie ? Cela en vaut-il la peine ? Est-ce que j'ai le temps ? Erin Meeker a dit avoir arrêté de répondre "oui" à chaque requête et ne pas se sentir coupable en disant "non". Quand elle convient de quelque chose, elle s'engage à le faire."Modération en toute chose et équilibre en toute chose" a telle dit et rappelez-vous qu'équilibre pour vous n'est pas le même équilibre que celui d'une autre personne.

Et de poursuivre : selon que les circonstances changent, les plans ont besoin de changer. Ses conseils sont les suivants : détailler les grands projets en mini-portions facilement réalisables, en se concentrant sur ce qui peut être contrôlé, laissant-aller ce qui ne se peut pas et se débarrasser du perfectionnisme. Elle a suggéré d'ajouter trois mots à un vocabulaire utilitaire : "Ca intéresse qui ? Ce qui est agréable quand on est imparfait, c'est la joie que cela apporte aux autres" a t'elle ajouté.

Elle a recommandé d'autres stratégies pouvant aider à chasser le stress de la vie quotidienne telles que : marcher ou faire de l'exercice en compagnie d'une amie, prévoir d'aller aux provisions à des moments non-chaotiques, planifier à l'avance, choisir des moments appropriés pour les appels téléphoniques, payer les factures et rechercher l'humour dans chaque situation.

Erin Meeker a dit que garder une perspective éternelle aussi bien que prier apporte un soutien.
"Avec l'aide du Seigneur, nous sommes à la hauteur de n'importe quelle tâche".

(Publié par MormonTimes – Traduit par Angélique)

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Une pensée venant des écritures

« Tu ne convoiteras point la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras point la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain. » Exode 20 : 17

La plupart des commandements d'interdiction sont destinés à nous empêcher de nuire à autrui mais je suis convaincu que le commandement de ne pas convoiter est destiné à nous empêcher de nous nuire à nous-mêmes. a dit Elder Jeffrey R. Hollande du Collège des Douze à la conférence générale d' avril 2002.

je témoigne que nul d'entre nous n'est moins aimé de Dieu qu'un autre. Je témoigne qu'il aime chacun de nous, avec nos insécurités, nos anxiétés, notre image de nous-mêmes, etc. Il ne mesure pas nos talents, notre apparence, notre profession ou nos biens matériels. Il encourage chaque coureur, rappelant que c'est contre le péché que nous concourons, non les uns contre les autres. Je sais que, si nous sommes fidèles, un manteau de justice parfaitement ajusté est prêt et attendchacun, un manteau blanchi dans le sang de l'agneau. Puissions-nous nous encourager les uns les autres dans nos efforts pour remporter le prix. »

(Traduit par Eliane)