News du 24 Février 2009

Un jeune Elder vie pour servir
Il s'est arrêté pour aider quelques jeunes garçons à démanteler un hangar en tôle à Nadera et après leur acte de bon Samaritain Elder Matheson et son ami, Elder Teichert, ont quittés le lieu avec du bonheur dans leur cœur.

Les deux sont des missionnaires de l'Eglise de Jésus-Christ des saints des derniers jours d’Amérique et sont en service de mission ici.

Pour Patrick Matheson qui a 20 ans, son œuvre missionnaire l’a amené à de nouveaux sommets dans sa vie, en particulier de plus en plus d’amour pour Dieu et pour le peuple autour de lui. Deuxième d'une famille de cinq, Elder Matheson, le nom qu’ils reçoivent durant leur mission, à grandir pendant quatre ans, à Johannesburg, en Afrique du Sud, où son père a servi sa mission. Ses parents sont nés dans l’église des Saints des Derniers Jours et grandir avec Dieu dans sa vie a été une expérience volontaire pour le jeune Matheson. Contrairement à la plupart de son âge, Elder Matheson dit qu’il n'est pas difficile de se garder loin des distractions de la vie comme l'alcool et le tabagisme. « Tout simplement parce que je n’y ai pas goûté, il n'est alors pas difficile d’en rester à l'écart », à t-il dit. (…)

Il est arrivé à Fidji il y a près de cinq mois pour sa mission et a juste eu 20 ans ce mois-ci. Elder Matheson dit que chaque personne économise de l'argent pour leur propre mission. Avec l'aide de la famille et des amis, Elder Matheson a été en mesure de mener à bien sa mission. « Beaucoup de gens vont en mission dès qu'ils peuvent mettre de l'argent de côté pour leur voyage», a t-il expliqué. (…)

Avant d'arriver dans le pays, Elder Matheson a passé deux mois d'apprentissage de la langue fidjienne au Centre de Formation des Missionnaire à Provo. Il a dit qu'ils ont appris au travers de trois autres missionnaires qui sont venus à Fidji et qui ont appris la langue au cours de leur mission. Elder Matheson dit que sa vie est totalement dévoué à son œuvre missionnaire, au service des gens autour de lui et, surtout, de servir Dieu. « Il ne s'agit pas d'obtenir ce que vous voulez », dit-il. « Il s'agit de vous perdre dans l'œuvre de Dieu. » (…)

« Grâce à ma mission, j'ai découvert qui je suis et qui sont les autres personnes. Je vois les gens comme des enfants de Dieu, au lieu d’étrangers. » (…) « Tout le monde est prêt à apprendre et à obtenir de l'aide. Je sens le bonheur au service de mon prochain. Je sais que quand tu fais quelque chose de juste, les choses difficiles deviennent faciles. « Le meilleur conseil que je puisse donner a quelqu'un, c'est de vous mettre a genoux et de demander à Dieu de l'amour », dit-il. Ils serviront leur mission pendant deux ans avant de rentrer chez eux.

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L'argent et le mariage: unifiés nous sommes plus fort

Les couples couronnés de succès ont tendance à communiquer clairement et de manière définie leurs attentes financières. Cela ne veut pas dire qu'il y a une seule bonne manière de gérer les finances de la famille.
Cela signifie, toutefois, qu'il existe certains principes, lesquels si nous les suivons avec constance, apporteront des dividendes considérables- le plus important étant la paix de l'esprit. Comment pouvons-nous obtenir la paix de l'esprit au sujet des finances, étant donné la crise économique mondiale sans précédent, à laquelle nous faisons face?

La réponse est simple: unifiés nous sommes plus forts – divisés nous chutons! Quand il s'agit de prendre des décisions financières dans nos maisons, qui s'en charge réellement ?
Est-ce celui qui soutien la famille? Est-ce le conjoint qui est en général plus conscients des besoins quotidiens de la famille? Ou bien en troisième option: convenez-vous mutuellement des décisions?
Dans mes années de consultation avec les couples, j'ai eu l'occasion d'observer de près leur façon de prendre des décisions dans une variété de domaines, y compris leur financement.
Dans certains mariages, toutes les décisions financières relèvent exclusivement de l'un des conjoints.

Par exemple: « je rapporte l'argent, c'est donc moi qui dis comment le dépenser », est une approche particulière. Ou à l'inverse, « je rapporte l'argent, je te le passe mais je m'attends à ce que tu prennes soin de payer toutes les factures. » Cette approche fonctionne pour certains couples pendant un certain temps.
Malheureusement, quand une décision prise donne lieu à un désastre financier, tous les paris sont ouverts. Le jeu du blâme commence et cela peut tourner très mal rapidement.
Celui qui a pris la mauvaise décision est accusé de ruiner la sécurité et la stabilité de la maison, et les conséquences qui s'en suivent peuvent avoir un effet dévastateur sur le mariage. La confiance est perdue et, parfois, il peut se passer des années avant qu'elle ne soit à nouveau réellement rétablie. La colère, le sentiment de trahison et les discordes empoisonnent les relations conjugales.

Parlons de la troisième option; celle de prendre des décisions financières mutuellement convenues, tout particulièrement les décisions importantes.
L'achat d'une maison, une voiture, faire des investissements, l'épargne pour les études universitaires et le paiement des dettes tombent tous dans la même catégorie. Voici la raison principale pour laquelle cette dernière option est nécessaire: Si je prends une décision sans le soutien de ma femme et ça marche, j'ai l'air « gagnant » et elle a l'air «perdant». Le péché de l'orgueil ne se trouve pas loin derrière. Mais si je prends une décision unilatéralement et ça rate, elle a tous les droits de s'en prendre à moi, surtout si elle était contre dès le début. Dans les deux cas, nous nous retrouvons dans des extrêmes opposés - et c'est ainsi que nous avons: « divisés nous chutons » !
Si nous discutons et prenons mutuellement une décision et ça marche, nous aurons tous les deux un bon sentiment concernant le résultat. Cela nous rapproche davantage et élève d'autant plus notre niveau de confiance!
La confiance que nous partageons nous incite à prendre plus de décisions ensemble, même dans d'autres domaines de notre mariage. Le succès engendre davantage de succès. Parfois, il est aussi possible que, même si nous avons pris ensemble une décision financière, cela tourne mal. Cela pourrait être la faute des autres (comme par exemple, une fraude d'investissement), ou celle d'évènements sur lesquels nous avons aucun contrôle (tel qu'un crash boursier).
Puisque nous étions unis pour commencer, nous pouvons de ce fait demeurer unis malgré les conséquences imprévues. Il n'y aura, du moins, pas de blâmes qui circulent, mais plus un sentiment tel que « nous sommes ensemble dans cette situation ». Et tant que nous restons proches l'un de l'autre et du Seigneur, nous serons en mesure de la surmonter.
Pour terminer, je voudrais examiner la façon dont le Seigneur peut jouer un rôle important dans nos décisions monétaires.

Qu'arrive-t-il si nous avons un désaccord sur une décision financière majeure comme l'achat d'une maison? La meilleure façon que ma femme et moi avons trouvé pour résoudre ce dilemme a été de se tourner vers le Seigneur et de prier sur ce qu'il y avait de juste à faire. Cela peut sembler un peu étrange pour certains, en particulier ceux qui ne sont pas de notre foi.
Au début, je n'étais moi-même pas à l'aise, mais au fil du temps j'ai commencé à reconnaitre les inspirations et à faire confiance aux réponses que je recevais.

A chaque fois que j'ai ignoré ces réponses, je l'ai payé très cher - et je ne veux pas dire seulement financièrement. Mais à chaque fois que j'ai écouté, tout a toujours marché. S'unir dans nos décisions financières sera une bénédiction au-dessus et au-delà de nos réussites financières!
(Publié par MormonTimes – Article d’Elia GourgourisTraduit par Ambre)
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Une pensée des écritures

« Car ainsi dit le Seigneur: Moi, le Seigneur, je suis miséricordieux et bienveillant envers ceux qui me craignent et me réjouis d'honorer ceux qui me servent en justice et en vérité jusqu'à la fin. Grande sera leur récompense et éternelle leur gloire. » Doctrines et Alliances 76 :5-6
Président Thomas S. Monson a écrit au sujet de la fois où il a conduit le long de l'autoroute reliant le centre-ville de Manhattan avec le comté de Westchester dans la banlieue de New York, et de voir le Yankee Stadium – « le stade des champions, la maison des héros de mon enfance » (Message de la Première Présidence, Ensign Juillet 1991).

« Comme avec le baseball, la vie est de même. A l'intérieur de notre conscience, chacun de nous a un Mur de Gloire réservé exclusivement pour les véritables dirigeants qui ont influencé l'orientation de notre vie.... » Sur son Mur de Gloire, président Monson a nominé Adam, Job, Paul, Simon Pierre, Néphi, et Joseph Smith. Les héroïnes que Président Monson a nominé comprennent Ruth et Marie,et la mère de Jésus.

Une confiance inébranlable dans un Père céleste rempli de sagesse et un témoignage concernant le respect de la mission divine du Sauveur, font de ces hommes et de ces femmes de héros et des héroïnes. « Le nom de Jésus de Nazareth, le seul nom donné sous le ciel parmi les hommes par lequel nous devrons être sauvés, a une place spéciale et distinction d’honneur sur notre Mur de Gloire....
« Quand nous obéissons comme l'a fait Adam, persévérons comme l'a fait Job , enseignons comme l'a fait Paul, témoignons comme l'a fait Pierre, servons comme l'a fait Néphi, donnons de nous-mêmes comme l'a fait le prophète Joseph, répondons comme l'a fait Ruth, honneur comme l'a fait Marie, et vivons comme le Christ, nous sommes nés de nouveau. Tout pouvoir devient le nôtre. (…) Aucune tâche n’est trop grande. Aucune responsabilité ne pèse trop lourd. (…). Toutes les choses deviennent possibles.»
(Publié par LDS Church News)
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Pensée du jour


« Décidez d’être heureux, même si vous n’avez pas d’argent, même si vous n’avez pas un teint parfait, même si vous ne remportez pas le prix Nobel. Certaines des personnes les plus heureuses que je connaisse ne possèdent aucune des choses considérées comme nécessaires dans le monde pour être satisfait et joyeux. Pourquoi sont-elles heureuses ?

Je suppose que c’est parce qu’elles n’écoutent pas très bien le monde. Ou parce qu’elles écoutent très bien ce que leur dit leur coeur. Elles se réjouissent de la beauté de la terre. Elles se réjouissent des rivières, des montagnes et du chant des oiseaux. Elles se réjouissent de l’amour de leur famille, des pas hésitants d’un tout-petit, du sourire sage et tendre des personnes âgées. Elles se réjouissent du travail honnête. Elles se réjouissent des Ecritures. Elles se réjouissent de la présence du Saint-Esprit. Il y a une chose dont je suis certain : le temps qui nous est donné ici s’écoule beaucoup trop rapidement. N’en gâchez plus en restant assis à regarder la vie passer. »
Joseph B. Wirthlin - membre du Collège des douze apôtres (Liahona - Mai 2001)

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