Le don divin de la reconnaissance
Suivre le plan de Dieu est le moyen le plus sûr de trouver le bonheur et de supporter les défis de la vie. Peu importe ce que vous avez ou pas dans cette vie, votre bonheur le plus profond et le plus durable viendra de la connaissance du plan de Dieu et en le suivant. Il est réconfortant de savoir que Dieu a un plan pour nous. Nous avons vécu avec lui avant notre naissance et nous continuerons à vivre avec Lui dans l'éternité si cela est notre choix. Notre vie sur terre est fondamentale a son plan. L'un des principes divin qui nous permet de trouver du bonheur quelle que soit notre situation est le principe de la reconnaissance.
Thomas S. Monson, Président de l'Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours nous rappelle qu' « Exprimer de la reconnaissance est gentil et honorable, agir avec reconnaissance est généreux et noble, mais vivre avec de la reconnaissance constamment dans le cœur c’est toucher les cieux..... »
Il a ajouté: « Quelle époque merveilleuse pour être sur terre ! Il y a beaucoup de choses mauvaises dans le monde aujourd’hui mais il y en a beaucoup de justes et de bonnes. Des mariages réussissent, des parents aiment leurs enfants et se sacrifient pour eux, des amis se soucient de nous et nous aident, des enseignants instruisent. Notre vie est bénie d’innombrables manières.
Nous pouvons nous élever, et, par là même, élever les autres quand nous refusons de nous attarder dans la sphère des pensées négatives et que nous entretenons, dans notre cœur, une attitude reconnaissante. Si l’ingratitude fait partie des péchés graves, alors la reconnaissance a sa place parmi les vertus les plus nobles. Quelqu’un a dit que « la reconnaissance est non seulement la plus grande des vertus mais aussi la mère de toutes les autres ».
Comment pouvons-nous cultiver, dans notre cœur, une attitude reconnaissante ? Joseph F. Smith, sixième président de l’Église, a apporté une réponse. Il a dit : « L’homme reconnaissant voit dans le monde tant de raisons d’être reconnaissant et, pour lui, le bon l’emporte sur le mauvais. L’amour est plus fort que la jalousie et la lumière chasse les ténèbres de sa vie. » Il a ajouté : « L’orgueil détruit notre reconnaissance et installe l’égoïsme à sa place. Combien plus heureux sommes-nous en présence d’une âme reconnaissante et aimante, et comme nous ferions bien d’entretenir, par une vie de prière, une attitude reconnaissante envers Dieu et les hommes ! »
Ce que le président Smith nous dit là, c’est qu’une vie de prière est le secret pour posséder la reconnaissance.
Les biens matériels nous rendent-ils heureux et reconnaissants ? Peut-être momentanément. Cependant, les choses qui procurent une reconnaissance et un bonheur profonds et durables sont celles que l’argent ne peut acheter : notre famille, l’Évangile, de bons amis, notre santé, nos capacités, l’amour que nous recevons des gens qui nous entourent. Malheureusement, ce sont certaines des choses que nous nous permettons de considérer comme un dû.
L’auteur anglais Aldous Huxley écrit : « La plupart des êtres humains ont une capacité presque infinie de considérer les choses comme un dû. »
Nous considérons souvent les personnes qui méritent le plus notre reconnaissance comme un dû. N’attendons pas qu’il soit trop tard pour exprimer notre reconnaissance. Parlant des êtres chers qu’il a perdus, un homme déclare ainsi ses regrets : « Je me souviens de ces jours heureux et souvent je voudrais pouvoir dire dans l’oreille des morts la reconnaissance qui leur était due dans la vie et qui leur a été si rarement exprimée. »
La perte d’êtres chers est presque inévitablement accompagnée de regrets. Réduisons ces regrets autant qu’humainement possible en leur exprimant fréquemment notre amour et notre reconnaissance. Nous ne savons jamais si, bientôt, il ne sera pas trop tard.
Un cœur reconnaissant s’obtient donc en exprimant de la reconnaissance à notre Père céleste pour ses bénédictions et aux personnes qui nous entourent pour tout ce qu’elles nous apportent. Cela demande un effort conscient, au moins jusqu’à ce que nous ayons véritablement appris ce qu’est une attitude reconnaissante et que nous l’ayons cultivée. Souvent nous ressentons de la reconnaissance et nous avons l’intention de remercier mais nous oublions de le faire ou nous ne prenons pas le temps de le faire. Quelqu’un a dit que « ressentir de la reconnaissance et ne pas l’exprimer est comme emballer un cadeau et ne pas le donner ».
Lorsque nous rencontrons des problèmes et des difficultés, il nous est souvent difficile de nous concentrer sur nos bénédictions. Mais si nous creusons bien et cherchons bien, nous pourrons ressentir et voir tout ce que nous avons reçu. »
Le don divin de la reconnaissance - Conférence générale d'Octobre 2010
Nous pouvons nous élever, et, par là même, élever les autres quand nous refusons de nous attarder dans la sphère des pensées négatives et que nous entretenons, dans notre cœur, une attitude reconnaissante. Si l’ingratitude fait partie des péchés graves, alors la reconnaissance a sa place parmi les vertus les plus nobles. Quelqu’un a dit que « la reconnaissance est non seulement la plus grande des vertus mais aussi la mère de toutes les autres ».
Comment pouvons-nous cultiver, dans notre cœur, une attitude reconnaissante ? Joseph F. Smith, sixième président de l’Église, a apporté une réponse. Il a dit : « L’homme reconnaissant voit dans le monde tant de raisons d’être reconnaissant et, pour lui, le bon l’emporte sur le mauvais. L’amour est plus fort que la jalousie et la lumière chasse les ténèbres de sa vie. » Il a ajouté : « L’orgueil détruit notre reconnaissance et installe l’égoïsme à sa place. Combien plus heureux sommes-nous en présence d’une âme reconnaissante et aimante, et comme nous ferions bien d’entretenir, par une vie de prière, une attitude reconnaissante envers Dieu et les hommes ! »
Ce que le président Smith nous dit là, c’est qu’une vie de prière est le secret pour posséder la reconnaissance.
Les biens matériels nous rendent-ils heureux et reconnaissants ? Peut-être momentanément. Cependant, les choses qui procurent une reconnaissance et un bonheur profonds et durables sont celles que l’argent ne peut acheter : notre famille, l’Évangile, de bons amis, notre santé, nos capacités, l’amour que nous recevons des gens qui nous entourent. Malheureusement, ce sont certaines des choses que nous nous permettons de considérer comme un dû.
L’auteur anglais Aldous Huxley écrit : « La plupart des êtres humains ont une capacité presque infinie de considérer les choses comme un dû. »
Nous considérons souvent les personnes qui méritent le plus notre reconnaissance comme un dû. N’attendons pas qu’il soit trop tard pour exprimer notre reconnaissance. Parlant des êtres chers qu’il a perdus, un homme déclare ainsi ses regrets : « Je me souviens de ces jours heureux et souvent je voudrais pouvoir dire dans l’oreille des morts la reconnaissance qui leur était due dans la vie et qui leur a été si rarement exprimée. »
La perte d’êtres chers est presque inévitablement accompagnée de regrets. Réduisons ces regrets autant qu’humainement possible en leur exprimant fréquemment notre amour et notre reconnaissance. Nous ne savons jamais si, bientôt, il ne sera pas trop tard.
Un cœur reconnaissant s’obtient donc en exprimant de la reconnaissance à notre Père céleste pour ses bénédictions et aux personnes qui nous entourent pour tout ce qu’elles nous apportent. Cela demande un effort conscient, au moins jusqu’à ce que nous ayons véritablement appris ce qu’est une attitude reconnaissante et que nous l’ayons cultivée. Souvent nous ressentons de la reconnaissance et nous avons l’intention de remercier mais nous oublions de le faire ou nous ne prenons pas le temps de le faire. Quelqu’un a dit que « ressentir de la reconnaissance et ne pas l’exprimer est comme emballer un cadeau et ne pas le donner ».
Lorsque nous rencontrons des problèmes et des difficultés, il nous est souvent difficile de nous concentrer sur nos bénédictions. Mais si nous creusons bien et cherchons bien, nous pourrons ressentir et voir tout ce que nous avons reçu. »
Le don divin de la reconnaissance - Conférence générale d'Octobre 2010
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