Publié le 14 Avril 2011
Ces dernières années, les dirigeants de l'Église ont encouragés les membres à utiliser l'Internet pour partager l'évangile, trouver des gens prêts à en apprendre davantage sur l'Église, et les amener à des missionnaires. Après le tremblement de terre au Japon en Mars, un petit groupe de saints des derniers jours au Japon a commencé à utiliser l'Internet pour trouver les missionnaires et les membres et les amener dans les paroisses locales.
Le vendredi 11 Mars 2011, un tremblement de terre d'une magnitude 9.0 a frappé la côte au nord du Japon, effondrant les bâtiments au sol et déclenchant un tsunami. Avec la plupart des communications téléphoniques ne fonctionnant plus, les responsables des collectivités locales de l'Église et les membres bénévoles ont travaillés sans relâche à établir des contacts avec les missionnaires et les membres dans les zones dévastées en utilisant tous les moyens possibles, y compris l'Internet.
Deux de ces volontaires étaient Momoko Yamashita, 32 ans, du Pieu de Yokohama au Japon, et Mieko Takahashi, 38 ans, du Pieu de Tokyo. Presque immédiatement après la catastrophe, ces sœurs ont utilisées leur Internet, médias sociaux, et leurs compétences de communication pour se joindre aux efforts des autres dans la recherche des disparus.
Par exemple, elles ont essayées de prendre contact avec deux sœurs missionnaires. Elles ont obtenues une liste de numéros de téléphone que les missionnaires avaient appelé à partir de leur téléphone cellulaire à partir du fournisseur de service téléphonique et ont appelés ces numéros. Un membre a répondu à un appel et les a informés que les missionnaires venaient juste d’être allées à un centre d'évacuation. De là, elles ont pu localiser ces missionnaires.
Une telle ingéniosité n'était pas venu d’elles, Sœur Yamashita a reconnue. « Nous avons essayé toutes petites pensées ou idées ou inspiration qui nous venait à l’esprit, » dit-elle. « Le fait d'être en mesure de faire quelque chose nous calmait, et le fait d’avoir la direction de l'Esprit nous a vraiment donné de la paix. »
Une autre manière dont les sœurs ont aidées était par le biais des sites de réseau social. Les personnes séjournant dans des centres d'évacuation écrivaient leurs noms sur des panneaux d’affichage. Des photos de ces panneaux ont été téléchargées sur l'Internet, et les bénévoles ont entrés ces noms sur des listes, également disponible en ligne. Sœur Takahashi et d'autres ont accédés à ces listes et ont utilisé des sites de réseau social, y compris Twitter et Mixi, un site de réseau japonais similaire à Facebook, pour rechercher les noms des personnes qui avaient été portés disparues.
Avec l'aide de ces sœurs, tous les missionnaires avaient été comptabilisés dans les 24 heures. Dans les trois jours, les dirigeants locaux et les bénévoles étaient en mesure d'évaluer la situation pour 95 pour cent des membres de l'Eglise au Japon. Les missionnaires ont été depuis déplacés hors des zones les plus dévastées dans des missions à proximité au Japon.
« Le travail se poursuit au Japon », dit Sœur Yamashita. Elle et d'autres continuent à aider à localiser des membres de l'Église, de déplacer des missionnaires, et d’aider aux efforts de secours aux sinistrés.
« C'était inspirant de regarder les membres de l'Eglise au Japon mettre la technologie moderne à bon usage dans la localisation des membres et des missionnaires de manière rapide », a déclaré Nate Leishman, gestionnaire de l'action humanitaire en cas de catastrophe Saint des Derniers Jours. « L'utilisation des médias sociaux pour localiser les membres et d'autres au Japon est un excellent exemple de la façon dont la puissance de l'Internet peut être utilisée pour aider l'Église dans les efforts de secours aux sinistrés. Je suis reconnaissant pour les membres au Japon qui ont pris l'initiative et le temps d'aider les dirigeants de l'Église avec cet effort. »
(Publié par LDS Church News)
Le vendredi 11 Mars 2011, un tremblement de terre d'une magnitude 9.0 a frappé la côte au nord du Japon, effondrant les bâtiments au sol et déclenchant un tsunami. Avec la plupart des communications téléphoniques ne fonctionnant plus, les responsables des collectivités locales de l'Église et les membres bénévoles ont travaillés sans relâche à établir des contacts avec les missionnaires et les membres dans les zones dévastées en utilisant tous les moyens possibles, y compris l'Internet.
Deux de ces volontaires étaient Momoko Yamashita, 32 ans, du Pieu de Yokohama au Japon, et Mieko Takahashi, 38 ans, du Pieu de Tokyo. Presque immédiatement après la catastrophe, ces sœurs ont utilisées leur Internet, médias sociaux, et leurs compétences de communication pour se joindre aux efforts des autres dans la recherche des disparus.
Par exemple, elles ont essayées de prendre contact avec deux sœurs missionnaires. Elles ont obtenues une liste de numéros de téléphone que les missionnaires avaient appelé à partir de leur téléphone cellulaire à partir du fournisseur de service téléphonique et ont appelés ces numéros. Un membre a répondu à un appel et les a informés que les missionnaires venaient juste d’être allées à un centre d'évacuation. De là, elles ont pu localiser ces missionnaires.
Une telle ingéniosité n'était pas venu d’elles, Sœur Yamashita a reconnue. « Nous avons essayé toutes petites pensées ou idées ou inspiration qui nous venait à l’esprit, » dit-elle. « Le fait d'être en mesure de faire quelque chose nous calmait, et le fait d’avoir la direction de l'Esprit nous a vraiment donné de la paix. »
Une autre manière dont les sœurs ont aidées était par le biais des sites de réseau social. Les personnes séjournant dans des centres d'évacuation écrivaient leurs noms sur des panneaux d’affichage. Des photos de ces panneaux ont été téléchargées sur l'Internet, et les bénévoles ont entrés ces noms sur des listes, également disponible en ligne. Sœur Takahashi et d'autres ont accédés à ces listes et ont utilisé des sites de réseau social, y compris Twitter et Mixi, un site de réseau japonais similaire à Facebook, pour rechercher les noms des personnes qui avaient été portés disparues.
Avec l'aide de ces sœurs, tous les missionnaires avaient été comptabilisés dans les 24 heures. Dans les trois jours, les dirigeants locaux et les bénévoles étaient en mesure d'évaluer la situation pour 95 pour cent des membres de l'Eglise au Japon. Les missionnaires ont été depuis déplacés hors des zones les plus dévastées dans des missions à proximité au Japon.
« Le travail se poursuit au Japon », dit Sœur Yamashita. Elle et d'autres continuent à aider à localiser des membres de l'Église, de déplacer des missionnaires, et d’aider aux efforts de secours aux sinistrés.
« C'était inspirant de regarder les membres de l'Eglise au Japon mettre la technologie moderne à bon usage dans la localisation des membres et des missionnaires de manière rapide », a déclaré Nate Leishman, gestionnaire de l'action humanitaire en cas de catastrophe Saint des Derniers Jours. « L'utilisation des médias sociaux pour localiser les membres et d'autres au Japon est un excellent exemple de la façon dont la puissance de l'Internet peut être utilisée pour aider l'Église dans les efforts de secours aux sinistrés. Je suis reconnaissant pour les membres au Japon qui ont pris l'initiative et le temps d'aider les dirigeants de l'Église avec cet effort. »
(Publié par LDS Church News)
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