Cher Docteur Elia,
J'ai lu plusieurs de vos articles sur les dépendances liées à Internet, et j'ai l'impression que vous avez aussi travaillé avec les conjoints de personnes dépendantes. Je suis sûre que je ne suis pas la seule à vous poser la question, mais comment puis-je aider mon mari qui se bat contre une dépendance à la pornographie ? J'ai parlé avec beaucoup de femmes se trouvant dans une situation similaire, mais souvent nous ne sommes pas d'accord quant à la bonne manière d'aborder la situation. Je sais que ce n'est pas mon problème, mais cela affecte ma vie (et celle de mes enfants) de nombreuses manières. Toute suggestion serait la bienvenue.
Merci
Nancy
Au cours des vingt dernières années, j'ai eu l'occasion de travailler avec de nombreuses personnes dont la dépendance est liée à Internet, ainsi qu'avec leur conjoints. L'article d'aujourd'hui dépeint trois réactions différentes, mais fréquentes, d'épouses face à une dépendance de leur mari à la pornographie sur Internet. Attention, ces approches face au même problème sont très différentes, et je voudrais vous demander de ne pas émettre de jugement sur celles-ci. Sans être passé par les mêmes situations, il peut être difficile de comprendre pourquoi certaines femmes réagissent comme elles le font, mais soyez assuré que leur chemin est difficile, et qu'il n'y a pas de réponse facile.
La première réaction que l'on rencontre souvent est un choc profond et un sentiment d'incrédulité, avec une impression de trahison s'accompagnant souvent d'une colère énorme contre le mari. Au premier abord, cela semble une approche dure et néfaste (et cela peut parfois l'être), mais il est important de remarquer que la colère exprimée est le résultat direct d'une profonde douleur. Pendant des années, ces épouses avaient cru que leur mariage était en bonne santé, et même si les choses n'étaient pas exactement parfaites, elles n'auraient jamais imaginé que la pornographie envahirait leur foyer et/ou leur mariage. Rapidement arrive le sentiment de ne pas être assez bien. Je ne peux compter le nombre de fois où des femmes m'ont avoué combien elles se sentaient inférieures à ces « images de femmes » que leurs maris regardaient. Les mots « Je ne peux pas me comparer à elles... » sont souvent accompagnés par des larmes de tristesse et d'impuissance.
Permettez-moi de mettre l'accent sur le fait que ces réactions et sentiments sont tout à fait normaux. Le problème, c'est quand les femmes s'enlisent dedans. En d'autres termes, lorsque leur colère se transforme en ressentiment et crée une brèche encore plus importante dans la relation. Dans ce cas, si le mari souhaite surmonter sa dépendance, il doit le faire sans le soutient de son épouse. Malheureusement, le simple fait de mentionner qu'il pourrait être tenté fait remonter tous ces sentiments négatifs et crée davantage de douleur. Souvent, la femme devient un détective au sein du mariage, épluche les mails, les numéros sur le téléphone portable, les habits de son mari... pour trouver des indices de sa dépendance persistante. Ce type de co-dépendance est nuisible à la fois pour elle et pour son mari accro. Je recommande fortement à ces femmes de chercher une aide professionnelle pour elles afin d'apprendre de quelle manière elles peuvent mieux prendre soin d'elles-mêmes tandis que leur mari essaie de surmonter cette terrible dépendance, et de vaincre tous ces sentiments négatifs – mais légitimes. Finalement, le but pour elles est d'aller au-delà de la colère et de se rapprocher du pardon. Il ne fait aucun doute que ce n'est pas facile, mais cela vaudra le coup pour les deux parties.
Le second groupe réagit à la nouvelle d'une manière différente. Après l'apaisement du choc initial, elles affirment à leur mari que ce comportement ne sera pas toléré. Elles lui disent souvent quelque chose comme : « Trouve l'aide dont tu as besoin et résous ce problème une bonne fois pour toutes ! C'est ton problème, c'est à toi de le résoudre. Si tu dois fréquenter des groupes, recevoir une aide psychosociale ou voir l'évêque, je te soutiendrai, mais je ne veux rien savoir de tout ça. ». C'est l'approche consistant à dire « laisse-moi en dehors de ça », mais le soutient existe, d'une manière plus passive. Souvent ce genre de femme ont une vue beaucoup plus saine d'elles-mêmes et ne se retrouvent pas piégées à faire des comparaisons. Elles mettent l'accent sur leurs enfants et leurs appels et, d'une certaine manière, laissent leur mari accomplir le travail de guérison. Elles ne posent pas beaucoup de questions, mais les soutiennent par la prière et en s'occupant des choses à faire dans la maison. Les discussions à propos de la dépendance et/ou des progrès sont rares et espacées.
Pour certains couples, cette approche fonctionne. Le mari a le sentiment qu'au sein de son mariage, il a l'espace nécessaire pour essayer de travailler sur sa dépendance sans sentir de pression de la part de son conjoint. Il développe un système de soutient qui peut ne pas inclure son épouse, mais le rétablissement et la guérison complète sont tout de même possible. Cela fonctionne également pour elle, tandis qu'elle continue à vivre sa vie avec la confiance personnelle qu'elle peut se tenir aux côtés de son mari, alors qu'il reçoit l'aide dont il a besoin.
La troisième approche est la moins utilisée, et c'est probablement celle qui est la plus saine. Dans ce scénario, la femme – même si au premier abord elle éprouve de la déception et de la douleur – reconnaît rapidement la nature du problème. Elle approche son mari avec compassion, amour et compréhension. Elle ne le prend certainement pas personnellement mais au lieu de cela offre son soutient inconditionnel, qui va au-delà de l'approche passive du deuxième groupe. Cela inclus être disponible pour discuter, écouter, encourager et aimer son mari tandis qu'il effectue sa guérison. Cela peut également inclure une participation active dans un groupe de support pour femmes où elle joue un rôle actif pour aider d’autres épouses dans des situations similaires.
Selon mon expérience, c'est la meilleure manière que peut avoir un couple d'affronter ensemble cette horrible dépendance. Les épouses qui choisissent cette approche semblent avoir une meilleure image d'elles-mêmes en terme de valeur personnelle. Elles ont la certitude de leur valeur éternelle et par conséquent peuvent offrir une oreille attentive, un esprit ouvert et un cœur aimant à leur compagnon éternel tandis qu'il continue vers la guérison complète.
Bien sûr, il n'est pas nécessaire que tout le monde procède de cette manière, car la deuxième approche a aussi clairement fonctionné pour beaucoup de couples. Si vous connaissez une mère, une fille ou une sœur à qui cet article pourrait bénéficier, veuillez le leur transmettre.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Emeric)
J'ai lu plusieurs de vos articles sur les dépendances liées à Internet, et j'ai l'impression que vous avez aussi travaillé avec les conjoints de personnes dépendantes. Je suis sûre que je ne suis pas la seule à vous poser la question, mais comment puis-je aider mon mari qui se bat contre une dépendance à la pornographie ? J'ai parlé avec beaucoup de femmes se trouvant dans une situation similaire, mais souvent nous ne sommes pas d'accord quant à la bonne manière d'aborder la situation. Je sais que ce n'est pas mon problème, mais cela affecte ma vie (et celle de mes enfants) de nombreuses manières. Toute suggestion serait la bienvenue.
Merci
Nancy
Au cours des vingt dernières années, j'ai eu l'occasion de travailler avec de nombreuses personnes dont la dépendance est liée à Internet, ainsi qu'avec leur conjoints. L'article d'aujourd'hui dépeint trois réactions différentes, mais fréquentes, d'épouses face à une dépendance de leur mari à la pornographie sur Internet. Attention, ces approches face au même problème sont très différentes, et je voudrais vous demander de ne pas émettre de jugement sur celles-ci. Sans être passé par les mêmes situations, il peut être difficile de comprendre pourquoi certaines femmes réagissent comme elles le font, mais soyez assuré que leur chemin est difficile, et qu'il n'y a pas de réponse facile.
La première réaction que l'on rencontre souvent est un choc profond et un sentiment d'incrédulité, avec une impression de trahison s'accompagnant souvent d'une colère énorme contre le mari. Au premier abord, cela semble une approche dure et néfaste (et cela peut parfois l'être), mais il est important de remarquer que la colère exprimée est le résultat direct d'une profonde douleur. Pendant des années, ces épouses avaient cru que leur mariage était en bonne santé, et même si les choses n'étaient pas exactement parfaites, elles n'auraient jamais imaginé que la pornographie envahirait leur foyer et/ou leur mariage. Rapidement arrive le sentiment de ne pas être assez bien. Je ne peux compter le nombre de fois où des femmes m'ont avoué combien elles se sentaient inférieures à ces « images de femmes » que leurs maris regardaient. Les mots « Je ne peux pas me comparer à elles... » sont souvent accompagnés par des larmes de tristesse et d'impuissance.
Permettez-moi de mettre l'accent sur le fait que ces réactions et sentiments sont tout à fait normaux. Le problème, c'est quand les femmes s'enlisent dedans. En d'autres termes, lorsque leur colère se transforme en ressentiment et crée une brèche encore plus importante dans la relation. Dans ce cas, si le mari souhaite surmonter sa dépendance, il doit le faire sans le soutient de son épouse. Malheureusement, le simple fait de mentionner qu'il pourrait être tenté fait remonter tous ces sentiments négatifs et crée davantage de douleur. Souvent, la femme devient un détective au sein du mariage, épluche les mails, les numéros sur le téléphone portable, les habits de son mari... pour trouver des indices de sa dépendance persistante. Ce type de co-dépendance est nuisible à la fois pour elle et pour son mari accro. Je recommande fortement à ces femmes de chercher une aide professionnelle pour elles afin d'apprendre de quelle manière elles peuvent mieux prendre soin d'elles-mêmes tandis que leur mari essaie de surmonter cette terrible dépendance, et de vaincre tous ces sentiments négatifs – mais légitimes. Finalement, le but pour elles est d'aller au-delà de la colère et de se rapprocher du pardon. Il ne fait aucun doute que ce n'est pas facile, mais cela vaudra le coup pour les deux parties.
Le second groupe réagit à la nouvelle d'une manière différente. Après l'apaisement du choc initial, elles affirment à leur mari que ce comportement ne sera pas toléré. Elles lui disent souvent quelque chose comme : « Trouve l'aide dont tu as besoin et résous ce problème une bonne fois pour toutes ! C'est ton problème, c'est à toi de le résoudre. Si tu dois fréquenter des groupes, recevoir une aide psychosociale ou voir l'évêque, je te soutiendrai, mais je ne veux rien savoir de tout ça. ». C'est l'approche consistant à dire « laisse-moi en dehors de ça », mais le soutient existe, d'une manière plus passive. Souvent ce genre de femme ont une vue beaucoup plus saine d'elles-mêmes et ne se retrouvent pas piégées à faire des comparaisons. Elles mettent l'accent sur leurs enfants et leurs appels et, d'une certaine manière, laissent leur mari accomplir le travail de guérison. Elles ne posent pas beaucoup de questions, mais les soutiennent par la prière et en s'occupant des choses à faire dans la maison. Les discussions à propos de la dépendance et/ou des progrès sont rares et espacées.
Pour certains couples, cette approche fonctionne. Le mari a le sentiment qu'au sein de son mariage, il a l'espace nécessaire pour essayer de travailler sur sa dépendance sans sentir de pression de la part de son conjoint. Il développe un système de soutient qui peut ne pas inclure son épouse, mais le rétablissement et la guérison complète sont tout de même possible. Cela fonctionne également pour elle, tandis qu'elle continue à vivre sa vie avec la confiance personnelle qu'elle peut se tenir aux côtés de son mari, alors qu'il reçoit l'aide dont il a besoin.
La troisième approche est la moins utilisée, et c'est probablement celle qui est la plus saine. Dans ce scénario, la femme – même si au premier abord elle éprouve de la déception et de la douleur – reconnaît rapidement la nature du problème. Elle approche son mari avec compassion, amour et compréhension. Elle ne le prend certainement pas personnellement mais au lieu de cela offre son soutient inconditionnel, qui va au-delà de l'approche passive du deuxième groupe. Cela inclus être disponible pour discuter, écouter, encourager et aimer son mari tandis qu'il effectue sa guérison. Cela peut également inclure une participation active dans un groupe de support pour femmes où elle joue un rôle actif pour aider d’autres épouses dans des situations similaires.
Selon mon expérience, c'est la meilleure manière que peut avoir un couple d'affronter ensemble cette horrible dépendance. Les épouses qui choisissent cette approche semblent avoir une meilleure image d'elles-mêmes en terme de valeur personnelle. Elles ont la certitude de leur valeur éternelle et par conséquent peuvent offrir une oreille attentive, un esprit ouvert et un cœur aimant à leur compagnon éternel tandis qu'il continue vers la guérison complète.
Bien sûr, il n'est pas nécessaire que tout le monde procède de cette manière, car la deuxième approche a aussi clairement fonctionné pour beaucoup de couples. Si vous connaissez une mère, une fille ou une sœur à qui cet article pourrait bénéficier, veuillez le leur transmettre.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Emeric)
--------------------------------------------------------------------
Moments missionnaire : 70 ans d’unité
Une réclamation de l'unité familiale dans l'évangile faite par Mateo Fuimaono en 1940 à ses enfants continue à être entendue par sa famille 70 ans plus tard.
Mateo Fuimaono est né en 1888 à Salani, Upolu, au Samoa Occidental. Sa femme, Pei'uafealetaua (Peiu) Seiuli est née à Sapapali'i, Savai'i, au Samoa Occidental. Ils se sont mariés en 1913 dans Upolu et ont été scellés dans le Temple de Hawaii Laie en 1959. Ils ont été bénis avec 16 enfants, mais seulement 10 ont vécu - trois garçons et sept filles.
En 1923, les Fuimaonos se sont déplacés à Mapusaga, dans le Samoa américain. Par les efforts des missionnaires d'Alisa et Kuka Toelupe, leurs voisins, ils ont été baptisés en 1925.
Alors que les Fuimaonos ont progressés dans l'évangile, ils ont langui après leur postérité pour recevoir les mêmes bénédictions.
En 1940, dans le village de Malaeimi, le Frère Fuimaono a réuni sa famille : lui et sa femme, leurs 10 enfants (trois avec conjoints) et six petits-enfants. Il offrit une prière de remerciement à Dieu pour leur adhésion dans la vraie Église de Jésus Christ.
Durant la réunion, Frère Fuimaono déclara à sa famille, "Puisse cette unité continuer jusqu'à l'Arrivée de la Seconde venue de Jésus Christ."
Pour maintenir cette unité, il a fixé des objectifs pour sa famille. Un but principal était de continuer l'unité familiale une fois par an. Comme les années ont passé, ce but a été réalisé.
À présent, il y a plus de 800 membres de la famille, 97 pour cent de ceux-ci sont toujours actif dans l'Église. Quatre des dix enfants de Pieus et Mateo vivent toujours. La fille vivante la plus vieille, Maselina de Guzman, est la matrone actuelle de la Famille Fuimaono.
Depuis la mort de Mateo en 1969, chacune des familles de ces 10 enfants prend la responsabilité d’organiser cette réunion annuelle, avec entre 250-300 participants chaque année.
Cet héritage d'unité familiale existe aujourd'hui grâce au témoignage de l'évangile de Jésus Christ des Fuimaonos. C'est vraiment une bénédiction pour eux de savoir que les familles sont unies pour toujours.
— Moroni Quiocho, La Puente, Calif.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Eliane)
Une réclamation de l'unité familiale dans l'évangile faite par Mateo Fuimaono en 1940 à ses enfants continue à être entendue par sa famille 70 ans plus tard.
Mateo Fuimaono est né en 1888 à Salani, Upolu, au Samoa Occidental. Sa femme, Pei'uafealetaua (Peiu) Seiuli est née à Sapapali'i, Savai'i, au Samoa Occidental. Ils se sont mariés en 1913 dans Upolu et ont été scellés dans le Temple de Hawaii Laie en 1959. Ils ont été bénis avec 16 enfants, mais seulement 10 ont vécu - trois garçons et sept filles.
En 1923, les Fuimaonos se sont déplacés à Mapusaga, dans le Samoa américain. Par les efforts des missionnaires d'Alisa et Kuka Toelupe, leurs voisins, ils ont été baptisés en 1925.
Alors que les Fuimaonos ont progressés dans l'évangile, ils ont langui après leur postérité pour recevoir les mêmes bénédictions.
En 1940, dans le village de Malaeimi, le Frère Fuimaono a réuni sa famille : lui et sa femme, leurs 10 enfants (trois avec conjoints) et six petits-enfants. Il offrit une prière de remerciement à Dieu pour leur adhésion dans la vraie Église de Jésus Christ.
Durant la réunion, Frère Fuimaono déclara à sa famille, "Puisse cette unité continuer jusqu'à l'Arrivée de la Seconde venue de Jésus Christ."
Pour maintenir cette unité, il a fixé des objectifs pour sa famille. Un but principal était de continuer l'unité familiale une fois par an. Comme les années ont passé, ce but a été réalisé.
À présent, il y a plus de 800 membres de la famille, 97 pour cent de ceux-ci sont toujours actif dans l'Église. Quatre des dix enfants de Pieus et Mateo vivent toujours. La fille vivante la plus vieille, Maselina de Guzman, est la matrone actuelle de la Famille Fuimaono.
Depuis la mort de Mateo en 1969, chacune des familles de ces 10 enfants prend la responsabilité d’organiser cette réunion annuelle, avec entre 250-300 participants chaque année.
Cet héritage d'unité familiale existe aujourd'hui grâce au témoignage de l'évangile de Jésus Christ des Fuimaonos. C'est vraiment une bénédiction pour eux de savoir que les familles sont unies pour toujours.
— Moroni Quiocho, La Puente, Calif.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Eliane)
-----------------------------------------------------------------------
Pensée du jour
L’invitation au repentir
« L’invitation au repentir est rarement une voix de châtiment, mais plutôt un appel aimant à faire demi-tour et à « retourner » vers Dieu. C’est l’appel d’un Père aimant et de son Fils unique à ce que nous soyons mieux que ce que nous sommes, que nous élevions notre façon de vivre, que nous changions et que nous ressentions le bonheur de respecter les commandements. En tant que disciples du Christ, nous nous réjouissons de la bénédiction qu’apporte le repentir et de la joie d’être pardonnés. Cela devient une partie de nous-mêmes, qui modèle notre façon de penser et de percevoir les choses. »
L’invitation au repentir
« L’invitation au repentir est rarement une voix de châtiment, mais plutôt un appel aimant à faire demi-tour et à « retourner » vers Dieu. C’est l’appel d’un Père aimant et de son Fils unique à ce que nous soyons mieux que ce que nous sommes, que nous élevions notre façon de vivre, que nous changions et que nous ressentions le bonheur de respecter les commandements. En tant que disciples du Christ, nous nous réjouissons de la bénédiction qu’apporte le repentir et de la joie d’être pardonnés. Cela devient une partie de nous-mêmes, qui modèle notre façon de penser et de percevoir les choses. »
Neil L. Andersen Du Collège des douze apôtres
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire