Combien d’entre nous, lorsque nous prenons nos Bonnes Résolutions pour la nouvelle année, décidons, « Je vais me remettre en forme émotionnellement ? »
C’est bien plus courant de penser à améliorer notre équilibre physique, mais travailler sur sa force émotionnelle est d’égale importance.
Les personnes fortes émotionnellement se sentent bien avec elles-mêmes, sont heureuses et en paix. Elles semblent gérer les virages de la vie avec davantage de résilience et une meilleure perspective.
Une caractéristique commune qui définit les personnes équilibrées émotionnellement est le concept de rouler avec « un réservoir plein ». Qu’importe la difficulté, elles semblent avoir toujours des réserves disponibles. Que pouvons-nous donc faire pour développer des muscles émotionnels, qui ne tarderont pas à nous être utiles pour cette nouvelle année.
Souvent, en tant qu’adultes, nous oublions que nous avons nos propres besoins individuels. Les exigences quotidiennes de nos vies occupées nous font courir si vite qu’il est facile de l’oublier. Un jour nous nous réveillons et nous réalisons que notre réservoir est vide, habituellement parce que nous éprouvons du ressentiment, que nous nous sentons déprimés ou même physiquement malades.
Nous avons tous besoin de prendre du temps pour nous-mêmes de temps en temps. Pensez à prendre des cours ou avoir une autre activité un soir par semaine — quelque chose que vous aimez. Particulièrement dans le cas des femmes membres de l’Eglise, avoir un peu plus de compassion envers soi-même est une bonne chose.
Souvent lorsque je travaille avec mes clients je dois leur dire d’être un peu plus « égoïste ». Il faut rapidement que je leur explique que je ne veux pas dire qu’ils doivent devenir davantage centrés sur eux-mêmes ; il s’agit de préservation de soi. Il y a là une différence.
J’ai eu la même conversation avec beaucoup de femmes et c’est toujours un concept qui leur est étranger, comme si elles croyaient qu’il y avait quelque chose de mauvais à dire « non » pour s’engager sur un nouveau projet au lieu de prendre du temps pour elles-mêmes. Mais les deux sont absolument essentiels pour avoir un équilibre émotionnel.
Donc, si vous avez besoin de temps pour récupérer, donnez-vous la permission puis fermer la porte, allumer des bougies, prenez un bain moussant ou mettez-vous en pyjamas et allez au lit avec un bon livre. Si vous avez des enfants, votre conjoint aura besoin de se mettre d’accord avec vous pour vous aider dans ce projet. Si vous êtes parent isolé, une option est de trouver un autre parent isolé avec qui vous pourrez échanger. Ils ont sans aucun doute les mêmes besoins que vous de relaxation.
Le temps nécessaire peut être aussi extravagant qu’une semaine de thalasso, ou aussi simple qu’un déjeuner avec une amie. Quel qu’il soit, c’est important d’avoir une coupure dans notre vie stressée. Les femmes savent trop bien que leur travail ne sera jamais fini !
Pour finir, l’équilibre émotionnel n’arrivera pas tout seul, à moins que nous en fassions une priorité dans nos vies. Soyez assurés qu'en nous autorisant ces petits « extras » sur notre temps pour recharger et rafraîchir nos esprits et nos cœurs nous en retirerons de grands bénéfices sur le long terme.
Alors, allez-y, donnez vous la permission. Vous le valez bien !
(Publié par MormonTimes – Traduit par Sylvie)
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Vivre totalement la Parole de Sagesse pour nos enfants
Nous avons un problème avec la parole de Sagesse...
Laissez-nous reformuler la phrase ainsi : Nous avons un problème avec la manière plutôt sélective dont nous suivons la Parole de Sagesse. Ne pas fumer, d’accord. Ne pas boire d’alcool, d’accord. Pas de thé ni de café, d’accord. Mais qu’en est-il de la partie : manger de la viande avec modération ? Et de la consommation des grains entiers ? Qu’en est-il au sujet des herbes saines et des fruits en leur saison ? Et y a-t-il quelque chose au sujet de la consommation excessive de glaces ?
Si la Parole de Sagesse était à nouveau révélée de nos jours, y aurait-il quelque chose au sujet de la restauration rapide ? Au sujet des conservateurs ? Au sujet du sirop de sucre de blé ? Au sujet des « Big Gulps » ?
Peut être que la raison pour laquelle elle a été appelée Parole de Sagesse est qu’il était prévu que nous serions assez avisés pour comprendre la chose dans son ensemble – ou du moins que nous utiliserions un peu de notre bon sens.
Et en ce qui concerne nos enfants ? Auparavant, lorsque les enfants travaillaient à la ferme, personne ne se souciait trop de prendre de l’exercice. Mais ne faudrait-il pas avoir un peu de sagesse de nos jours, pour suggérer que d’autres parties du corps de nos enfants ont besoin d’exercice, en plus de leurs pouces pour les textos et de leurs yeux pour les jeux vidéo ?
Nous, Mormons, aimons dire que notre corps est le temple de notre esprit, mais nous ne traiterions jamais nos temples de briques, comme nous traitons notre chair et nos os.
Vivre véritablement et complètement la Parole de Sagesse est un exercice spirituel aussi bien que physique, et cela peut être une clé pour le but et l’objectif de la mortalité. Dans le Livre de Mormon, Alma utilise une fabuleuse métaphore dans sa lettre à son fils, Shiblon. Il utilise un cheval pour représenter nos appétits et une bride pour suggérer que nous devons contrôler plutôt que tuer nos appétits. Les appétits et l’expérience physique sont bons et même de Dieu, et les brider et les mâter est une des clés du but de la mortalité. Contrôler notre appétit pour la nourriture est une «partie» du contrôle de l’ensemble de nos appétits – pour les choses matérielles, pour le sexe, pour le contrôle de soi, etc.. Un appétit incontrôlé, comme un cheval sans bride, est beaucoup plus fort que nous et peut nous détruire. Mais lorsqu’ils sont bien bridés, tous ces appétits peuvent nous apporter une partie de la joie que nous pouvons connaître dans la mortalité.
Voilà notre défi ( et souvenons-nous, en reprenant le début de ce paragraphe que nous sommes entrain de parler de nous-mêmes) : si nous ne voulons pas vivre la totalité de la Parole de Sagesse pour nous-mêmes, faisons le pour nos enfants.
Notre théologie unique nous fait vraiment penser que notre corps physique peut être un instrument de joie et même, peut nous rendre plus semblables à Dieu.
Les enfants qui grandissent en vivant la Parole de Sagesse, et comprennent pourquoi ils la vivent, auront un héritage de santé, de remise en forme qui rendra leur vie plus joyeuse aussi bien que plus longue.
Les enfants qui mangent des aliments sains à la maison, apprennent à les aimer et peuvent développer un dégoût pour l’alimentation rapide et flasque.
Une partie de notre responsabilité au regard de nos enfants inclut de les enseigner (et de leur montrer comment) prendre soin de leur corps physique et comment vivre totalement la Parole de Sagesse.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Claudie)
Nous avons un problème avec la parole de Sagesse...
Laissez-nous reformuler la phrase ainsi : Nous avons un problème avec la manière plutôt sélective dont nous suivons la Parole de Sagesse. Ne pas fumer, d’accord. Ne pas boire d’alcool, d’accord. Pas de thé ni de café, d’accord. Mais qu’en est-il de la partie : manger de la viande avec modération ? Et de la consommation des grains entiers ? Qu’en est-il au sujet des herbes saines et des fruits en leur saison ? Et y a-t-il quelque chose au sujet de la consommation excessive de glaces ?
Si la Parole de Sagesse était à nouveau révélée de nos jours, y aurait-il quelque chose au sujet de la restauration rapide ? Au sujet des conservateurs ? Au sujet du sirop de sucre de blé ? Au sujet des « Big Gulps » ?
Peut être que la raison pour laquelle elle a été appelée Parole de Sagesse est qu’il était prévu que nous serions assez avisés pour comprendre la chose dans son ensemble – ou du moins que nous utiliserions un peu de notre bon sens.
Et en ce qui concerne nos enfants ? Auparavant, lorsque les enfants travaillaient à la ferme, personne ne se souciait trop de prendre de l’exercice. Mais ne faudrait-il pas avoir un peu de sagesse de nos jours, pour suggérer que d’autres parties du corps de nos enfants ont besoin d’exercice, en plus de leurs pouces pour les textos et de leurs yeux pour les jeux vidéo ?
Nous, Mormons, aimons dire que notre corps est le temple de notre esprit, mais nous ne traiterions jamais nos temples de briques, comme nous traitons notre chair et nos os.
Vivre véritablement et complètement la Parole de Sagesse est un exercice spirituel aussi bien que physique, et cela peut être une clé pour le but et l’objectif de la mortalité. Dans le Livre de Mormon, Alma utilise une fabuleuse métaphore dans sa lettre à son fils, Shiblon. Il utilise un cheval pour représenter nos appétits et une bride pour suggérer que nous devons contrôler plutôt que tuer nos appétits. Les appétits et l’expérience physique sont bons et même de Dieu, et les brider et les mâter est une des clés du but de la mortalité. Contrôler notre appétit pour la nourriture est une «partie» du contrôle de l’ensemble de nos appétits – pour les choses matérielles, pour le sexe, pour le contrôle de soi, etc.. Un appétit incontrôlé, comme un cheval sans bride, est beaucoup plus fort que nous et peut nous détruire. Mais lorsqu’ils sont bien bridés, tous ces appétits peuvent nous apporter une partie de la joie que nous pouvons connaître dans la mortalité.
Voilà notre défi ( et souvenons-nous, en reprenant le début de ce paragraphe que nous sommes entrain de parler de nous-mêmes) : si nous ne voulons pas vivre la totalité de la Parole de Sagesse pour nous-mêmes, faisons le pour nos enfants.
Notre théologie unique nous fait vraiment penser que notre corps physique peut être un instrument de joie et même, peut nous rendre plus semblables à Dieu.
Les enfants qui grandissent en vivant la Parole de Sagesse, et comprennent pourquoi ils la vivent, auront un héritage de santé, de remise en forme qui rendra leur vie plus joyeuse aussi bien que plus longue.
Les enfants qui mangent des aliments sains à la maison, apprennent à les aimer et peuvent développer un dégoût pour l’alimentation rapide et flasque.
Une partie de notre responsabilité au regard de nos enfants inclut de les enseigner (et de leur montrer comment) prendre soin de leur corps physique et comment vivre totalement la Parole de Sagesse.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Claudie)
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Pensée du jour
N’éteignez pas l’Esprit
« Le chemin qui mène à la vie éternelle ne se trouve pas sur un plateau. Il est pentu et monte constamment. D’où la nécessité d’avoir une compréhension spirituelle et une énergie toujours grandissante pour arriver à destination. Étant donné que l’opposition pernicieuse de Satan perdure, la direction éclairée et continue du Saint-Esprit est absolument indispensable. Nous n’osons pas interrompre, négliger ou étouffer les murmures du Saint-Esprit. Cependant, nous sommes souvent loin de tirer tout le profit des murmures et des bénédictions du Saint-Esprit auquel nous avons droit. (…)
Pensée du jour
N’éteignez pas l’Esprit
« Le chemin qui mène à la vie éternelle ne se trouve pas sur un plateau. Il est pentu et monte constamment. D’où la nécessité d’avoir une compréhension spirituelle et une énergie toujours grandissante pour arriver à destination. Étant donné que l’opposition pernicieuse de Satan perdure, la direction éclairée et continue du Saint-Esprit est absolument indispensable. Nous n’osons pas interrompre, négliger ou étouffer les murmures du Saint-Esprit. Cependant, nous sommes souvent loin de tirer tout le profit des murmures et des bénédictions du Saint-Esprit auquel nous avons droit. (…)Lorsque nous invitons le Saint-Esprit à remplir notre esprit de lumière et de connaissance, il nous vivifie, en d’autres termes, il éclaire et éveille l’être intérieur. Nous remarquons alors une différence sensible en notre âme. Nous nous sentons fortifiés et sommes remplis de paix et de joie. Nous avons de l’énergie et de l’enthousiasme spirituels, qui accroissent nos capacités naturelles. Nous pouvons accomplir davantage que nous ne le pourrions seul. Nous aspirons à devenir plus saint.»
Keith K. Hilbig des soixante-dix - «N’éteignez pas l’Esprit qui vivifie l’être intérieur!» - 177e conférence générale d’octobre 2007
Keith K. Hilbig des soixante-dix - «N’éteignez pas l’Esprit qui vivifie l’être intérieur!» - 177e conférence générale d’octobre 2007
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