Président Monson se souvient de 9 prédécesseurs
En dressant un catalogue des préférences gastronomiques, allant des tourtes aux marinades de petits légumes dans le vinaigre, ainsi que des principes directeurs, depuis la compassion jusqu'à la persévérance, le Président de l'Eglise SDJ Thomas S. Monson a produit un premier livre de base personnel concernant ses neuf prédécesseurs immédiats, comme il l'a déclaré au sermon de mardi à l'Universite Brigham Young.
En dressant un catalogue des préférences gastronomiques, allant des tourtes aux marinades de petits légumes dans le vinaigre, ainsi que des principes directeurs, depuis la compassion jusqu'à la persévérance, le Président de l'Eglise SDJ Thomas S. Monson a produit un premier livre de base personnel concernant ses neuf prédécesseurs immédiats, comme il l'a déclaré au sermon de mardi à l'Universite Brigham Young.
Président Monson, qui est devenu le 16ème Président de l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours en février 2008, a fait part d'une liste interminable d'informations -titulaires, traits de caractère, anecdotes et préférences personnelles- des 9 présidents SDJ qui ont servi pendant sa vie, alors qu'il s'adressait à une foule remplissant, presque, les 22000 sièges du Marriott Center.
Chacun d'eux a guidé l'Eglise à travers des écrits, des messages et des exemples. "Pour nous montrer le chemin" a dit Président Monson, "nous avons ceux que le Seigneur nous a donnés". Il a souligné des principes directeurs en honorant, personnellement, les neuf prédécesseurs. Certains se résumaient en un seul mot, tels que "persévérance" pour Président Hebert J. Grant, "compassion" pour Président George Albert Smith et "consécration" pour Président Spencer W. Kimball, tandis que d'autres, étaient des phrases comme "faites de votre mieux" pour Président Gordon B. Hinckley et "soyez en accord et réceptifs aux chuchotements de l'esprit" du Président Harold B. Lee.
Président Monson a aussi fait part des préférences de chacun : un cantique, une citation et, devant les sourires de l'assistance, un plat favori.
Sans compter le repas de pain et de lait préféré par plusieurs, Président Monson a également mentionné les délices culinaires des prophètes modernes : le penchant de Président Joseph Fielding Smith pour l'aigre-doux, l'envie irrésistible de Président David O. Mckay pour les chocolats Cummings, le goût des framboises fraîches pour le Président Erza Taft Benson et le choix du Président Howard W. Hunter pour le crabe d'Alaska.
Président Monson a aussi partagé avec l'audience, plusieurs exemples et anecdotes, allant du fait inspirant à l'humour, pour chacun des neuf ayant servi durant les neuf décades entre 1918 et 2008.
Plusieurs anecdotes étaient des rappels attendris de Président Monson au souvenir, entre autres, de son appel à l'apostolat en 1963, à l'âge de 36 ans, quand Président Mckay et Président Lee -le président de pieu de son adolescence- se sont joints avec bonté pour donner une bénédiction de la prêtrise à son fils, avant qu'il ne soit opéré d'une tumeur à la jambe. "Que pouvons-nous apprendre des présidents que j'ai connus et dont je me suis entretenu avec vous aujourd'hui? " a t-il demandé. Nous pouvons apprendre qu'ils n'ont jamais chancelé, jamais hésité, jamais échoué, qu'ils sont des hommes de Dieu". Il inclut Jésus-Christ dans l'équation : "suivons-le. Il nous a envoyé des présidents de l'Eglise pour guides et que nous pouvons suivre".
Président Monson n'a pas cherché à inclure une description de lui-même. "En tant que 16ème Président de l'Eglise, mon histoire est encore à récapituler par ceux qui suivront" a t-il dit. Dans l'intervalle, j'engage ma vie, ma force -tout ce que j'aie à offrir- au service du Seigneur et en dirigeant les affaires de Son Eglise selon Sa volonté et par Son inspiration".
(Publié par MormonTimes – Traduit par Angelique)
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La religion à l'état pure: «Entre les mains de Dieu »
En 2007, Dr. Hasan Aws de Syrie s'est rendu en Égypte pour y recevoir une formation en réanimation néonatale parrainée par les Services Humanitaires de l'Eglise. Cette formation a pour objectif d'enseigner des techniques professionnelles d'assistance médicale qui permettent de ranimer les nouveaux-nés présentant des difficultés respiratoires.
L'année suivante, l'Eglise avait planifiée une formation sur la réanimation néonatale en Syrie, et le Dr Hasan avait aidé avec l'organisation et l'enseignement de ce cours à Damas. Son engagement dans le programme de Formation de Réanimation Néonatale est paraît évidente dans un e-mail qu'il a adressé récemment au siège de l'Eglise:
«Je tiens à partager ma joie avec vous et reconnais ma dette envers toutes les personnes qui m'ont aidé à prendre conscience que ce que nous avons appris à faire dans la première minute suivant la naissance d'un bébé peut valoir 10 années de dur labeur et d'étude. »
Dr Hasan a expliqué que son septième jour dans le service d'anesthésiologie à l'hôpital d'Al-Zahrawi, il fut appelé a effectuer une anesthésie sur une femme qui était prévu pour une césarienne. C'était sa première grossesse, et elle paraissait soucieuse. Il la salua par son nom et lui tapota l'épaule pour la calmer. Elle sourit avec gratitude. Il l'endormit, et le spécialiste effectua la césarienne.
La lettre du Dr Hasan continue ainsi, « Quand ils ont tiré vers le haut le bébé, l'infirmière n'était pas prête, et il lui a fallu une minute pour prendre ce petit bébé à la salle de réanimation. J'ai remarqué qu'il ne pleurait pas. Comme l'infirmière s'élança à travers les portes avec lui, je suivit le bébé avec mes yeux et mes oreilles, mais il ne pleurait toujours pas. J'ai réalisé que quelque chose n'allait pas. Je décidais donc de les suivre.
«Quand je suis arrivé à la salle de réanimation, un pédiatre et un infirmier ont aspiré le nez de l'enfant, lui frottant le dos, et lui donnant de l'oxygène. Voyant que le bébé ne bougeait pas, inconsciemment, je mis de nouveaux gants et m'écriais: « Ce bébé a besoin d'être ventilé; cet oxygène seul ne lui servira à rien. » Tous deux surpris ne furent plus un geste. J'attrapais le sac de ventilation, repositionnais la tête du bébé, et commençais à le ventiler.
«Tenant un bébé âgé de quelques minutes, bleu, haletant, et flasque pour la première fois, j'étais mort de peur. Il est vrai que j'ai donné des conférences et des formations à du personnel médical sur la réanimation néonatale pendant deux ans, mais jusqu'à présent je ne m'étais pas trouvé dans une situation réelle. Je pensais à ce que j'allais bien pouvoir dire à la pauvre mère si son bébé ne survivait pas.
« Après 30 secondes, je vérifiais le bébé à nouveau. Nous avions réussit à obtenir un mouvement de sa poitrine et de son cœur, et sa peau commençait à reprendre un teint rose. Les trois d'entre nous laissèrent échapper un soupir de soulagement.
«Je sais que sauver une vie peut sembler une habitude pour certains médecins, mais pour moi ça n'a jamais été une habitude. Je sais que ce n'est pas moi qui ait sauvé cette petite fille. C'est Dieu, j'étais juste un instrument dans les mains de Dieu. "
En 2007, Dr. Hasan Aws de Syrie s'est rendu en Égypte pour y recevoir une formation en réanimation néonatale parrainée par les Services Humanitaires de l'Eglise. Cette formation a pour objectif d'enseigner des techniques professionnelles d'assistance médicale qui permettent de ranimer les nouveaux-nés présentant des difficultés respiratoires.
L'année suivante, l'Eglise avait planifiée une formation sur la réanimation néonatale en Syrie, et le Dr Hasan avait aidé avec l'organisation et l'enseignement de ce cours à Damas. Son engagement dans le programme de Formation de Réanimation Néonatale est paraît évidente dans un e-mail qu'il a adressé récemment au siège de l'Eglise:
«Je tiens à partager ma joie avec vous et reconnais ma dette envers toutes les personnes qui m'ont aidé à prendre conscience que ce que nous avons appris à faire dans la première minute suivant la naissance d'un bébé peut valoir 10 années de dur labeur et d'étude. »
Dr Hasan a expliqué que son septième jour dans le service d'anesthésiologie à l'hôpital d'Al-Zahrawi, il fut appelé a effectuer une anesthésie sur une femme qui était prévu pour une césarienne. C'était sa première grossesse, et elle paraissait soucieuse. Il la salua par son nom et lui tapota l'épaule pour la calmer. Elle sourit avec gratitude. Il l'endormit, et le spécialiste effectua la césarienne.
La lettre du Dr Hasan continue ainsi, « Quand ils ont tiré vers le haut le bébé, l'infirmière n'était pas prête, et il lui a fallu une minute pour prendre ce petit bébé à la salle de réanimation. J'ai remarqué qu'il ne pleurait pas. Comme l'infirmière s'élança à travers les portes avec lui, je suivit le bébé avec mes yeux et mes oreilles, mais il ne pleurait toujours pas. J'ai réalisé que quelque chose n'allait pas. Je décidais donc de les suivre.
«Quand je suis arrivé à la salle de réanimation, un pédiatre et un infirmier ont aspiré le nez de l'enfant, lui frottant le dos, et lui donnant de l'oxygène. Voyant que le bébé ne bougeait pas, inconsciemment, je mis de nouveaux gants et m'écriais: « Ce bébé a besoin d'être ventilé; cet oxygène seul ne lui servira à rien. » Tous deux surpris ne furent plus un geste. J'attrapais le sac de ventilation, repositionnais la tête du bébé, et commençais à le ventiler.
«Tenant un bébé âgé de quelques minutes, bleu, haletant, et flasque pour la première fois, j'étais mort de peur. Il est vrai que j'ai donné des conférences et des formations à du personnel médical sur la réanimation néonatale pendant deux ans, mais jusqu'à présent je ne m'étais pas trouvé dans une situation réelle. Je pensais à ce que j'allais bien pouvoir dire à la pauvre mère si son bébé ne survivait pas.
« Après 30 secondes, je vérifiais le bébé à nouveau. Nous avions réussit à obtenir un mouvement de sa poitrine et de son cœur, et sa peau commençait à reprendre un teint rose. Les trois d'entre nous laissèrent échapper un soupir de soulagement.
«Je sais que sauver une vie peut sembler une habitude pour certains médecins, mais pour moi ça n'a jamais été une habitude. Je sais que ce n'est pas moi qui ait sauvé cette petite fille. C'est Dieu, j'étais juste un instrument dans les mains de Dieu. "
– Services d’entraide
(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)
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Pensée du jour
Le pouvoir des alliances
« Je témoigne que dans l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours se trouve l’autorité de la prêtrise pour administrer les ordonnances par lesquelles nous pouvons faire des alliances avec notre Père céleste au nom de son saint Fils. Je témoigne que Dieu tiendra les promesses qu’il vous a faites si vous respectez les alliances que vous avez faites avec lui : Il vous bénira d’« une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde » (Luc 6:38). Il fortifiera votre foi et la rendra parfaite. Par son Saint-Esprit, il vous remplira d’un pouvoir divin. Je prie pour que vous ayez toujours son Esprit pour vous guider et vous délivrer du besoin, de l’anxiété et de la détresse. Je prie pour que, par vos alliances, vous deveniez un instrument puissant et bénéfique entre les mains de celui qui est notre Seigneur et notre Rédempteur. »
D. Todd Christofferson du Collège des douze apôtres
Le pouvoir des alliances
« Je témoigne que dans l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours se trouve l’autorité de la prêtrise pour administrer les ordonnances par lesquelles nous pouvons faire des alliances avec notre Père céleste au nom de son saint Fils. Je témoigne que Dieu tiendra les promesses qu’il vous a faites si vous respectez les alliances que vous avez faites avec lui : Il vous bénira d’« une bonne mesure, serrée, secouée et qui déborde » (Luc 6:38). Il fortifiera votre foi et la rendra parfaite. Par son Saint-Esprit, il vous remplira d’un pouvoir divin. Je prie pour que vous ayez toujours son Esprit pour vous guider et vous délivrer du besoin, de l’anxiété et de la détresse. Je prie pour que, par vos alliances, vous deveniez un instrument puissant et bénéfique entre les mains de celui qui est notre Seigneur et notre Rédempteur. »D. Todd Christofferson du Collège des douze apôtres
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