Message du 11 Septembre 2009

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Président Packer célèbre son 85e anniversaire

Boyd K. Packer, du Collège des Douze de l'Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, célèbre son 85e anniversaire jeudi.

Il est né le 10 septembre 1924, à Brigham City de Ira Wight et Emma Jensen Packer.

Président Packer a été soutenu en tant que président des Douze, le 5 avril 2008. Il avait été mis à part comme « acting » président des Douze, le 5 Juin 1994, et de nouveau le 12 Mars, 1995. Il a été soutenu en tant qu'assistant aux Douze le 30 septembre 1961; soutenu au Collège des Douze, le 6 avril 1970, et ordonné un apôtre, le 9 avril 1970, à 45 ans.

Il était le superviseur des séminaires et des instituts de religion avant d'être appelé comme une autorité en général. Il a également servi comme président de la mission de New England States.

(Publié par MormonTimes)

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Ce n’est pas personnel !

Récemment, je lisais (pour la deuxième fois) le best-seller ‘les quatre engagements’ de Don Miguel Ruiz. C’est un livre inspirant basé sur la sagesse ancienne Toltec. Il offre « un code de conduite qui peut rapidement transformer nos vies en une nouvelle expérience de liberté, de véritable bonheur et d’amour. » Bien sûr, ce sont les choses que la plupart d’entre nous voudrions vivre.

Les quatre engagements sont les suivants :
- Soyez irréprochable dans votre langage
- Ne prenez rien personnellement
- Ne faites pas de supposition
- Faites toujours de votre mieux

Evidemment, ces quatres engagements –une fois intégrés- peuvent être un grand bénéfice dans nos vies. Ce qui m’a vraiment intrigué, cependant, fut le deuxième engagement : ne prenez rien personnellement.

C’est plus facile à dire qu’à faire. Essayez de passer toute une journée sans rien prendre personnellement, sans tenir compte de ce que les gens autour de nous disent ou font. Très tôt, nous sommes conditionnés pour défendre nos opinions et de prouver qu’ils sont justes. Nous pouvons être offensés facilement.

C’est pour cela que l’un de mes discours préféré est celui d’Elder David A. Bednar : « Et rien ne les offensera » (Conférence générale, octobre 2006). Ce qu’il veut dire est ceci :

Quand nous croyons ou disons avoir été offensé, généralement nous disons que nous nous sentons insulté, maltraité, pris de haut ou pas respecté. Et certainement il se produit dans nos rapports avec les autres des choses maladroites, embarrassantes, dénuées de principes et mesquines dont nous pourrions nous offenser. Mais, en fin de compte, il est impossible à quelqu’un d’autre de vous offenser ou de m’offenser. En fait, il est faux, à la base, de croire que quelqu’un d’autre nous a offensé. C’est nous qui choisissons de nous offenser de quelque chose ; il ne s’agit pas d’une situation qui nous est infligée ou imposée par quelqu’un ou quelque chose d’autre.

Comme nos vies seraient meilleures si nous nous rendions compte de ce principe simple : tout ce que les gens nous font ou nous disent, c’est un reflet de ce qu’ils sont et non de ce que nous sommes. Si quelqu’un nous fait une queue de poisson dans les embouteillages, puis klaxonne et en plus de cela nous fait un geste obscène, comment réagirions-nous ? Si nous devenons offensés, ceci détruira notre paix d’esprit du moment, et probablement le reste de la journée si nous ressassons encore et encore dans notre esprit les actions de ce conducteur ‘malfaisant’ !

D’un autre côté, si nous réalisons que ce fameux conducteur devait vraiment avoir une mauvaise journée, que ce problème est le sien et qu’il n’y a aucune offense, alors nous sommes libre ! Nous pouvons même être inspiré de faire une prière pour ce conducteur. Honnêtement, quand est-ce que vous avez eu une réaction aussi magnanime ?

Il y a deux ans, c’était une journée ‘sans’ et j’avais été particulièrement irritable envers mon plus jeune fils. Il n’a pas été offensé, fâché ou contrarié. Au lieu de cela, il me dit avec tendresse : « Papa, as-tu besoin d’un câlin ? » C’était désarmant et merveilleux en même temps. En un instant, mon humeur fut transformée alors qu’il me donnait le plus grand petit câlin qu’il pouvait. N’est-ce pas l’exemple ultime du fait de ‘devenir comme un petit enfant’ ?

Alors que nous embrassons ce principe qui est de ne rien prendre personnellement, nous nous libérons et expérimentons une paix d’esprit insaisissable qui vient du fait d’être aimé malgré tout. Ceci me rappelle mon chant préféré de la Primaire qui dit ‘Je sais qui je suis et je suivrais le plan du Dieu d’amour. »

Avoir une véritable connaissance de qui nous sommes, nous rend les choses plus faciles pour éviter d’être sur la défensive ou d’offenser les autres. Lorsque nous savons qui nous sommes et ce que le plan de Dieu est dans nos vies, nous ne serons pas définis par ce que les autres nous diront ou diront de nous, en bien ou en mal.

(Publié par MormonTimes – Traduit par Deb)

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Pensée du jour

Le culte au temple

Il y a quatorze ans, le Seigneur a décidé qu’il n’était pas nécessaire que ma femme reste plus longtemps dans son corps terrestre et il l’a emmenée de l’autre côté du voile. Je confesse que, parfois, il m’est difficile de ne pas pouvoir me tourner vers elle et lui parler, mais je ne me plains pas. Le Seigneur m’a permis, à des moments importants de ma vie, de ressentir son influence à travers le voile. …. Quelle bénédiction d’avoir de nouveau sur la terre l’autorité de scellement, non seulement pour cette vie terrestre mais aussi pour les éternités !

Richard G. Scott du Collège des douze apôtres



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