Message du 12 et 13 Septembre 2009

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Expérience au Temple: La carte perdue

J'ai été appelé à travailler dans le baptistère du Temple d'Ogden en Utah le lundi 26 novembre 2002. Nous avons ouvert le baptistère au début de la matinée.
Le premier groupe était quelques jeunes hommes détenteurs de la prêtrise d'Aaron . Ils n'avaient avec eux aucun frère doté de la prêtrise de Melchisédek pour effectuer les baptêmes. Je me suis donc porté volontaire pour ce travail.

Je suis entré dans les fonds baptismaux prêt à commencer, mais les autres travailleurs du temple n'arrivaient pas à mettre en route l'écran vidéo qui permet d'agrandir le nom qui se trouve sur chaque carte.

Ils ont demandé davantage d'aide, mais l'écran ne marchait toujours pas alors ils ont décidé d'appeler l'ingénieur du temple.

Lorsque l'ingénieur du temple est arrivé, lui non plus n'arrrivait pas à faire fonctionner l'écran. Il a testé la prise de courant et a affirmé que le courant électrique atteignait bien l'appareil. Il a donc enlevé l'ecran et l'a remplacé par un autre.

Lorsque l'écran a été supprimé, à notre grande surprise nous avons découvert une carte de baptême bleue qui avait du glisser dessous.

Comment elle était arrivée là, nous ne savions pas. Combien de temps elle avait été là, nous ne savions pas. Combien de temps elle serait resté là si l'ecran n'avait pas cessé de fonctionner, nous ne savions pas.

Sans tarder, nous avons effectué les baptêmes en commençant par la carte qui avait été perdue.

La panne de l'écran pourrait bien avoir été accidentelle, mais tous ceux qui étaient présents ont reconnu la main du Seigneur dans la découverte de cette carte, de sorte que les ordonnances salvatrices de l'Évangile ne soient pas retenues à cet individu.
- Elwood G. Fronk, Paroisse de Adams, Pieu de South Ogden Utah

(Publié par LDS Church NewsTraduit par Ambre)

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L’Evangile en un mot: « Aimer »

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils unique. » (Jean 3 :16)
« Maris, aimez vos femmes. » (Ephésiens 5 :25).


Il y a en grec ancien quatre sens, ou concepts, que l’on donne à l’équivalent français « aimer ». Ces quatre « amours » ont pourtant un sens très différent. C.S Lewis a écrit un ouvrage intitulé « Les quatre amours », dans lequel il traite de chacune de ces définitions.


Pour faire simple, ces quatre versions sont, pour commencer, l’affection (en grec : storge). C’est le type de tendresse que l’on peut retrouver dans des liens familiaux, mais aussi dans les liens qui unissent ceux qui se retrouvent dans les mêmes circonstances. Ce mot peut également s’appliquer aux sentiments que l’on peut éprouver à l’égard d’un animal de compagnie.

Ensuite, l’amitié (en grec : philia) : c’est le lien qui unit les personnes qui ont des activités ou des centres d’intérêts communs. Lewis précise que l’amitié existe quand il y a de la place pour l’amitié. L’amitié se distingue de la compagnie, et se rapproche davantage d’un objectif commun.
Troisièmement, eros. C’est le sens voulu par les personnes employant le vocable : « je t’aime ». C’est également l’amour que l’on qualifie d’aveugle, quand il pousse à ignorer les manquements chez la personne objet de cet amour.

Enfin, caritas (grec : agape) est le type d’amour auquel il est le plus souvent fait référence dans les écritures, et a un sens d’amour inconditionnel. La définition grecque précise : « l’amour actif de Dieu et de son Fils, et que son peuple doit éprouver pour Dieu et pour tous, y compris ses ennemis ».
Un érudit de grec ancien, W.E Vine définit agape comme »un amour chrétien, qu’il soit exercé en faveur de membres de l’église, ou des autres, généralement. Ce n’est pas une impulsion qui trouve sa source dans un sentiment, il n’évolue pas avec une inclination personnelle, et ne s’applique pas seulement à ceux avec lesquels on éprouve une affinité particulière. Cet amour recherche le bien-être de tous. Lorsqu’il s’applique à Dieu, il exprime l’amour constant et profond d’un être parfait à l’égard de sujets indignes ».

Comme remarqué dans la définition grecque, ce type d’amour est mis en évidence par des actions, sans attente de compensation. Lewis dit que ce type d’amour « et quelque chose de différent, plus élevé que la simple gentillesse ». « De plus, ce type d’amour ne relève pas de sentiments d’affection, mais plutôt d’un vœu constant du mieux être de la personne, dans la mesure la plus élevée du possible.

Il est important de comprendre que le mot amour, tel qu’il est utilisé dans Jean 3 :16 et Ephésiens 5 :25, est également ce mot caritas/agape. Ainsi Dieu nous donna son fils, pour notre bénéfice, sans attendre de compensation ; Le Seigneur a démontré le même amour en se soumettant volontairement à la croix pour le bénéfice exclusif de créatures déchues. De la même manière, Paul enseigne aux maris d’aimer leur épouse, comme le Christ a aimé l’Eglise, et a donné sa vie pour elle. (Ephésiens 5 :25).

(Publié par MormonTimes – Traduit par Cédric)


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Pensée du jour

La foi malgré l’adversité

« Il n’est aucune infirmité, aucune affliction ni aucune adversité que le Christ n’ait endurée à Gethsémané. …. Howard W. Hunter a dit : « Si notre vie est centrée sur le Christ, rien ne peut aller mal en permanence. Je sais que la vie comporte beaucoup de difficultés mais, avec l’aide du Seigneur, nous ne devons pas craindre. Si notre vie et notre foi sont centrées sur Jésus-Christ et sur son Évangile rétabli, rien ne peut aller mal en permanence. D’autre part, si notre vie n’est pas centrée sur le Sauveur et ses enseignements, aucun autre succès ne peut être juste en permanence » (The Teachings of Howard W. Hunter, édités par Clyde J. Williams. (1997), p. 40).

Rafael E. Pino des soixante-dix

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