Coin de feu pour les jeunes adultesUn coin de feu pour les jeunes adultes a eu lieu le 3 Mai 2009 avec Elder David A. Bednar du Collège des Douze Apôtres en tant qu’orateur – Retrouvez la vidéo du discours en Français.
----------------------------------------------------------------------------------Tempête financière : « gardez votre calme, restez en bas. »
L’adversité financière nous permet de nous recentrer sur les choses importantes.
Par une chaude après midi d’été en 1970, j’étais sur le pont d’un bateau désarmé ancré dans la baie de Narragasett à Rhode Island. J’avais passé la matinée dans une salle de classe à apprendre comme combattre les feux dans les bateaux, dans le cadre de mon entrainement d’officier de la marine. Pendant que nous attendions que nos instructeurs allument le feu dans les ponts inférieurs, je me remémorais les instructions de la matinée : « gardez votre calme et restez en bas. »
En descendant dans le couloir, nous avons rapidement rencontré une fumée épaisse et noire qui s’élevait des entrailles du navire. La visibilité était réduite, et l’odeur acre de la fumée était vraiment insupportable. En approchant de la lueur orange face à nous, la chaleur est devenue intense. Soudain, plusieurs membres de notre compagnie, oubliant les instructions, ont paniqué et se sont levés de leur position établie. Ils ont été immédiatement agressés par les fumées, ont fait un malaise et ont dû être transportés dans un hôpital proche. Ceux qui ont suivi les conseils des instructeurs ont survécu à cette expérience traumatisante avec simplement des irritations oculaires.
Après mon service dans la marine en tant que juriste, j’ai rejoint le secteur privé et j’ai commencé une carrière de juriste faillitaire. Cette spécialité m’a mis en relation, pendant des années, avec de nombreux clients confrontés à ce qui leur semblait des pressions financières insoutenables. Ils faisaient face à la perte d’emploi, de leur maison, et même de leur santé. Certains des problèmes financiers étaient dus à des investissements déraisonnables. D’autres liés à un style de vie bâti sur des dettes excessives. Dans de tristes situations, les difficultés étaient liées à des soins médicaux non pris en charge par les assurances. Quelle que soit la cause, les pressions du crédit prenaient leurs biens à la fois dans le portefeuille et dans les émotions de mes clients.
Bien que les hauts et les bas économiques aient fait partie de ma vie professionnelle, les effets de la « tempête parfaite » financière qui a balayé le pays dans les derniers mois sont plus profonds que tout ce que j’ai déjà vu. Peu sont indemnes. Certains ont perdu leur travail et font face à de longues périodes d’inactivité. D’autres n’arrivent plus à payer leur crédit et sont sur le point de perdre leur maison. Avec la perte de revenu, les dettes de cartes de crédit augmentent en flèche. Il y a des banqueroutes. Même des retraités sont touchés car la valeur de leur pension s’est effondrée et le futur leur semble incertain.
La dernière crise financière a créé de sérieux soucis et mes clients font ressortir leurs émotions. Certains sont en colère, frustrés ou anxieux. Il y a peu de jour où un client paniqué ne me demande de prédire quand les choses vont s’arranger, quand les prix de l’immobilier vont se stabiliser, quand l’activité économique va reprendre, quand il y aura du travail pour tout le monde. Bien que certains prédisent la reprise au prochain tournant, beaucoup d’entre nous s’accordent à reconnaître que cela va prendre du temps pour que les choses s’améliorent.
Pendant ce temps, je crois que le conseil qui m’a été donné dans la marine de « garder son calme et de rester en bas » est aussi bon que d’autres pour prédire l’avenir de cette tempête financière. Le conseil implique une attitude positive et une action mesurée. Ce même conseil a été donné par Joseph Smith le prophète quand, confiné dans la prison de Liberty, il a dit : « C’est pourquoi, frères tendrement aimés, faisons de bon gré tout ce qui est en notre pouvoir ; alors nous pourrons nous tenir là avec la plus grande assurance pour voir le salut de Dieu, et voir son bras se révéler. » (D&A 123 :17).
Avec honnêteté, je ne peux pas dire que, tandis que je combattais un navire en feu et enfumé il y des années, j’ai gardé facilement mon calme. En temps de crise, la peur et la panique semblent être des réactions habituelles. Cependant, ces émotions aggravent souvent la difficulté de gérer les soucis au lieu de la diminuer. Le calme et la sérénité face aux pressions financières sont des attitudes qu’il faut travailler. Cependant, il devrait être plus facile de les obtenir pour les membres de l’Eglise du fait de notre vision de la vie et de notre croyance ferme, comme le dit D&A 122 :7 que l’adversité nous donne de l’expérience et sera pour notre bien.
Un des bénéfices de l’adversité financière est que cela nous permet de nous concentrer sur les choses réellement importantes dans notre vie. Dans « Suite française », une histoire de l’évacuation de Paris au début de la deuxième guerre mondiale, Irène Nemirovsy a observé : « peu de personnes étaient préoccupées par leurs biens ; chacun tenait tendrement dans ses bras son épouse, son enfant, et rien d’autre ne comptait… » Dans cette histoire, la guerre remettait les vraies priorités en place.
Pour ceux qui font face à la crise financière actuelle, la sérénité peut devenir plus facile si nous réalisons que même les créanciers les plus insistants ne nous enlèveront pas notre famille, notre religion, et les autres choses importantes de notre vie.
Quand je me rappelle cette expérience, rester calme dans un navire en flamme n’était réellement pas facile.
De la même manière, une action constructive face à la pression financière qui monte peut être difficile. Les difficultés financières sont souvent accompagnées par des questions, un sentiment de culpabilité, le doute et la crainte du futur. Ayant été brûlé une fois, on peut comprendre que certains soient indécis et carrément gelés sur place. Cependant, comme l’expérience du prophète Joseph Smith dans la prison de Liberty nous le montre, même si certaines avenues peuvent être temporairement fermées, nous devons contrôler ce qui est en notre pouvoir. Pour ceux qui font face à des difficultés financières, cela peut inclure de contrôler ses dépenses, de faire un budget de crise, et pour ceux qui ont tout perdu, de rechercher un travail. La pression financière se traduit souvent par des créanciers qui réclament leur dû. Travailler à un programme de remboursement viable est un bon objectif et fait suite à un arrangement avec les créanciers. Avec une attitude positive et des actions mesurées, nous pouvons nous reposer sur la paix et le soutien de notre père céleste aimant pour avancer à travers les difficultés.
J. Robert Nelson, membre de la 8 ème paroisse de Midway dans le pieu de Midway en Utah, a travaillé 35 ans comme juriste faillitaire, à la fois pour de grandes entreprises et pour des particuliers.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Marie-Catherine)
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L’Eglise enquête sur le baptême de la mère d’Omaba
Un rapport publié révèle que des ordonnances ont été accomplies pour la mère décédée du président Barack Obama. L’Eglise de Jésus Christ des saints des derniers jours reître les principes relatifs aux baptêmes par procuration.
Le baptême pour nos ancêtres défunts est une pratique sacrée pour nous, et il est contre les principes de l’église qu’un membre soumette pour le baptême le nom de personnes avec lesquelles il n’a pas de lien de parenté a précisé Scott Trotter, porte parole de l’église.
« L’église est en train de rechercher les informations sur les circonstances selon lesquelles cela a pu se produire, sans toutefois avoir déjà tous les éléments »a-t-il dit. « Cependant, cela est une affaire sérieuse, et nous la traitons comme telle ».
Les ordonnances du temple, incluant les baptêmes pour les morts ont été accomplies pour la mère d’Obama -Stanley Ann Durham, décédée en 1995- en 2008 au temple de Provo, Utah, selon Helen Radkey, une habitante de Salt Lake City, également chercheur, qui dit avoir trouvé une trace de l’ordonnance alors qu’elle faisait des recherches à la librairie d’histoire de la famille de l’église.
Sur les 179 ans que compte l’histoire de l’église, ses membres ont accomplis des ordonnances en faveur de leurs ancêtres décédés. Alors qu’elle enseigne que le baptême et d’autres ordonnances sont nécessaires pour être accepté dans les cieux, les membres de l’église croient également qu’un dieu juste donnera une chance à toute personne qui a vécu sur terre de recevoir les enseignements de l’évangile ainsi que ses ordonnances, que ce soit au cours de cette vie, ou de celle qui lui succèdera.
En ce qui concerne le second cas de figure, la doctrine de l’église établie que l’âme d’un être qui est passé dans l’autre monde se voit donner la chance d’accepter ou de rejeter ces ordonnances accomplies par procuration, qui sont accomplies et reçues en toute liberté.
Toute doctrine de conversion ou d’adhésion forcée après cette vie est contraire à la doctrine de l’église, et les noms de ceux qui sont impliqués dans le baptême par procuration incriminé n’ont pas été retrouvés dans les registres de membres de l’église.
L’église a également recommandé à ses membres de ne soumettre au baptême pour les morts que les membres de leur propre famille, ou de leurs propres ancêtres. Elle reconnaît toutefois qu’il arrive parfois que des membres bien intentionnés passent outre cette règle, et soumettent des noms de personnes auxquelles ils ne sont pas biologiquement affiliés.
L’église reconnaît également qu’a cause de distraction ou de manque de soin, les noms d’individus réputés en bien ou mal, ou même fictifs, se voient soumis pour les ordonnances du temple, et ce en contradiction directe avec les principes édictés en la matière, ce qui a souvent pour conséquence douleur et embarras.
En prenant en compte que des millions de membres soumettent des noms pour les ordonnances par procuration à travers le monde, l’église reconnaît ses difficultés à prévenir ce genre d’incident, et se voit même informée de leur déroulement après que ceux-ci se soient produits. Le baptême de la mère d’Obama est le dernier de trois incidents qui se sont produits au cours des dernières années impliquant le travail par procuration de l’église.
Au mois de mai de l’année dernière, l’église catholique a interdit l’accès de ses registres paroissiaux aux mormons, en invoquant la raison des baptêmes pour les morts
Et au mois de novembre de la même année, un groupe de rescapé de l’holocauste juif a subitement annoncé qu’il ne coopérerait plus avec l’église dans le but d’empêcher des baptêmes posthumes non autorisées de victimes de l’holocauste.
En 1995 des dirigeants juifs ainsi que de l’église des SDJ ont signé un accord selon lequel les membres de l’église, lorsqu’ils soumettaient le nom de personnes victimes de l’Holocauste, ne pouvaient soumettre de tels noms que s’ils avaient un lien de parenté avec la personne décédée. L’église a également accepté de retirer quelques 260 000 noms de victimes de l’Holocauste déjà inclus dans les bases de données généalogiques.
Ce sont ensuite 43 000 autres noms de victimes de l’Holocauste qui furent retirés, quasiment tous identifiés par les soins de l’église, qui maintenant marque tous les noms identifiables de victimes de l’Holocauste intégrés dans sa base de données, avec la mention : « non disponible pour les ordonnances du temple ».
(Publié par MormonTimes – Traduit par Cédric)
Un rapport publié révèle que des ordonnances ont été accomplies pour la mère décédée du président Barack Obama. L’Eglise de Jésus Christ des saints des derniers jours reître les principes relatifs aux baptêmes par procuration.
Le baptême pour nos ancêtres défunts est une pratique sacrée pour nous, et il est contre les principes de l’église qu’un membre soumette pour le baptême le nom de personnes avec lesquelles il n’a pas de lien de parenté a précisé Scott Trotter, porte parole de l’église.
« L’église est en train de rechercher les informations sur les circonstances selon lesquelles cela a pu se produire, sans toutefois avoir déjà tous les éléments »a-t-il dit. « Cependant, cela est une affaire sérieuse, et nous la traitons comme telle ».
Les ordonnances du temple, incluant les baptêmes pour les morts ont été accomplies pour la mère d’Obama -Stanley Ann Durham, décédée en 1995- en 2008 au temple de Provo, Utah, selon Helen Radkey, une habitante de Salt Lake City, également chercheur, qui dit avoir trouvé une trace de l’ordonnance alors qu’elle faisait des recherches à la librairie d’histoire de la famille de l’église.
Sur les 179 ans que compte l’histoire de l’église, ses membres ont accomplis des ordonnances en faveur de leurs ancêtres décédés. Alors qu’elle enseigne que le baptême et d’autres ordonnances sont nécessaires pour être accepté dans les cieux, les membres de l’église croient également qu’un dieu juste donnera une chance à toute personne qui a vécu sur terre de recevoir les enseignements de l’évangile ainsi que ses ordonnances, que ce soit au cours de cette vie, ou de celle qui lui succèdera.
En ce qui concerne le second cas de figure, la doctrine de l’église établie que l’âme d’un être qui est passé dans l’autre monde se voit donner la chance d’accepter ou de rejeter ces ordonnances accomplies par procuration, qui sont accomplies et reçues en toute liberté.
Toute doctrine de conversion ou d’adhésion forcée après cette vie est contraire à la doctrine de l’église, et les noms de ceux qui sont impliqués dans le baptême par procuration incriminé n’ont pas été retrouvés dans les registres de membres de l’église.
L’église a également recommandé à ses membres de ne soumettre au baptême pour les morts que les membres de leur propre famille, ou de leurs propres ancêtres. Elle reconnaît toutefois qu’il arrive parfois que des membres bien intentionnés passent outre cette règle, et soumettent des noms de personnes auxquelles ils ne sont pas biologiquement affiliés.
L’église reconnaît également qu’a cause de distraction ou de manque de soin, les noms d’individus réputés en bien ou mal, ou même fictifs, se voient soumis pour les ordonnances du temple, et ce en contradiction directe avec les principes édictés en la matière, ce qui a souvent pour conséquence douleur et embarras.
En prenant en compte que des millions de membres soumettent des noms pour les ordonnances par procuration à travers le monde, l’église reconnaît ses difficultés à prévenir ce genre d’incident, et se voit même informée de leur déroulement après que ceux-ci se soient produits. Le baptême de la mère d’Obama est le dernier de trois incidents qui se sont produits au cours des dernières années impliquant le travail par procuration de l’église.
Au mois de mai de l’année dernière, l’église catholique a interdit l’accès de ses registres paroissiaux aux mormons, en invoquant la raison des baptêmes pour les morts
Et au mois de novembre de la même année, un groupe de rescapé de l’holocauste juif a subitement annoncé qu’il ne coopérerait plus avec l’église dans le but d’empêcher des baptêmes posthumes non autorisées de victimes de l’holocauste.
En 1995 des dirigeants juifs ainsi que de l’église des SDJ ont signé un accord selon lequel les membres de l’église, lorsqu’ils soumettaient le nom de personnes victimes de l’Holocauste, ne pouvaient soumettre de tels noms que s’ils avaient un lien de parenté avec la personne décédée. L’église a également accepté de retirer quelques 260 000 noms de victimes de l’Holocauste déjà inclus dans les bases de données généalogiques.
Ce sont ensuite 43 000 autres noms de victimes de l’Holocauste qui furent retirés, quasiment tous identifiés par les soins de l’église, qui maintenant marque tous les noms identifiables de victimes de l’Holocauste intégrés dans sa base de données, avec la mention : « non disponible pour les ordonnances du temple ».
(Publié par MormonTimes – Traduit par Cédric)
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Pensée du jour
Se préparer aux changements de la vie
Quelle est donc la meilleure façon de nous préparer aux changements que nous devons inévitablement affronter dans notre parcours terrestre ?
Premièrement, suivez les prophètes. Écoutez et suivez les conseils des Frères. Les prophètes élèvent souvent une voix d’avertissement mais ils donnent aussi des conseils sûrs et pragmatiques pour nous aider à surmonter les crises de la vie. (…)
Deuxièmement, gardez une perspective éternelle. Comprenez que le changement et les défis font partie du plan de Dieu. Dieu a voulu que la vie sur terre soit une période de mise à l’épreuve, une période « pour voir [si les hommes] feront tout ce que le Seigneur, leur Dieu, leur commandera » (Abraham 3:25). (…)
Troisièmement, ayez la foi. Gordon B. Hinckley a toujours recommandé aux membres de l’Église d’aller de l’avant avec foi (voir « God Hath Not Given Us the Spirit of Fear », Ensign, oct. 1984, p. 4). Dans notre affrontement quotidien avec un monde plein de négativisme, le doute, la peur et même l’angoisse peuvent s’infiltrer dans notre cœur. Thomas S. Monson nous a dit que « la foi et le doute ne peuvent pas exister dans le même esprit en même temps, car l’un chasse l’autre » (…)
Quatrièmement, prenez courage. Beaucoup de nos membres à travers le monde font face à des épreuves, économiques ou autres. En de pareils moments, il est facile de se sentir découragé et oublié. Durant les premiers jours de l’Église, devant les difficultés, le Seigneur a recommandé aux saints d’être heureux : « Prenez courage, petits enfants, car je suis au milieu de vous et je ne vous ai pas abandonnés » (D&A 61:36).
Steven E. Snow de la présidence des soixante-dix
Se préparer aux changements de la vie
Quelle est donc la meilleure façon de nous préparer aux changements que nous devons inévitablement affronter dans notre parcours terrestre ?Premièrement, suivez les prophètes. Écoutez et suivez les conseils des Frères. Les prophètes élèvent souvent une voix d’avertissement mais ils donnent aussi des conseils sûrs et pragmatiques pour nous aider à surmonter les crises de la vie. (…)
Deuxièmement, gardez une perspective éternelle. Comprenez que le changement et les défis font partie du plan de Dieu. Dieu a voulu que la vie sur terre soit une période de mise à l’épreuve, une période « pour voir [si les hommes] feront tout ce que le Seigneur, leur Dieu, leur commandera » (Abraham 3:25). (…)
Troisièmement, ayez la foi. Gordon B. Hinckley a toujours recommandé aux membres de l’Église d’aller de l’avant avec foi (voir « God Hath Not Given Us the Spirit of Fear », Ensign, oct. 1984, p. 4). Dans notre affrontement quotidien avec un monde plein de négativisme, le doute, la peur et même l’angoisse peuvent s’infiltrer dans notre cœur. Thomas S. Monson nous a dit que « la foi et le doute ne peuvent pas exister dans le même esprit en même temps, car l’un chasse l’autre » (…)
Quatrièmement, prenez courage. Beaucoup de nos membres à travers le monde font face à des épreuves, économiques ou autres. En de pareils moments, il est facile de se sentir découragé et oublié. Durant les premiers jours de l’Église, devant les difficultés, le Seigneur a recommandé aux saints d’être heureux : « Prenez courage, petits enfants, car je suis au milieu de vous et je ne vous ai pas abandonnés » (D&A 61:36).
Steven E. Snow de la présidence des soixante-dix
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