Message du 16 Septembre 2010

Messages d'inspiration du Président Monson

Gardez le pas

Votre futur présentera des problèmes insurmontables seulement quand vous les considérez insurmontables. Votre défi est de garder la foi avec le passé tandis que vous suivez le futur.
- « Hier, aujourd'hui, et demain, » Commencement de Brigham Young University, 22 avril 1999

Une boussole personnelle

Votre bénédiction patriarcale seule est à vous et à vous seul. Elle peut être brève ou longue, simple ou profonde. La longueur et la langue ne font pas une bénédiction patriarcale. C'est l'Esprit qui donne la vraie signification. Votre bénédiction ne doit pas être pliée d'une manière ordonnée et être cachée. Elle ne doit pas être encadrée ou publiée. En revanche, elle doit être lue. Elle doit être aimée. Elle doit être suivie. Votre bénédiction patriarcale vous verra par la nuit la plus sombre. Elle vous guidera par les dangers de la vie. … Votre bénédiction patriarcale est pour vous une boussole personnelle pour planifier votre parcours votre cours et pour guider votre chemin.

La patience peut être exigée pendant que nous observons, attendons, et travaillons une bénédiction promise à accomplir.

- « Votre bénédiction patriarcale : Une boussole de lumière, » Ensign, novembre 1986, P. 66


Le Concepteur de l'univers

S'il y a une conception dans ce monde dans lequel nous vivons, il doit y avoir un Concepteur. Qui peut voir les nombreuses merveilles de l'univers sans croire qu'il y a une conception pour toute l'humanité ? Qui peut douter de qu'il y a un Concepteur ?
- « Il s'est levé ! , » Ensign, mai 2010, P. 87-90

(Publié par LDS Church News – Traduit par Pat)


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Le don de la loyauté

Le Schnauzer noir qui accueille l'homme à la porte chaque soir ne recevra jamais le prix «Best of Show ». Il ne finira pas non plus parmi les premiers de sa classe à l'école d'obéissance pour chiens.

En vérité, cette créature passe dans les zones grises qui divisent les «bons» chiens des «mauvais» chiens. Il grimpe sur les meubles, chasse les oiseaux chanteurs et aboie après les Instructeurs au Foyer. Une fois il s’est glissé dans le garde-manger et a englouti un sac entier de guimauves. Il a accepté d’être grondé bouche bée avec un regard coquin - un avertissement, peut-être, que ses coquineries sont loin d'être terminées.

Pourtant, quand le jour commence à décliner, le chien abandonne ses jouets et sa place au chaud au soleil et se dresse comme une pierre face à la porte, attendant le retour de l'homme. Enfin, la porte s'ouvre. L'homme est à la maison. Le chien célèbre son retour, comme si son maître avait été absent pendant des mois, il danse et remue sa queue avec une joie si vigoureuse qu'il perd parfois son équilibre.
Malgré ses défauts, ce petit chien possède un caractère rédempteur qui le rend cher à l'homme: une loyauté constante et inconditionnelle.

L'homme connaît ses propres faiblesses en tant que propriétaire de l'animal. Parfois, il oublie de remplir le bol de croquettes et quelquefois la journée passe sans que la laisse ne soit touchée. Il met le chien heureux de côté quand les soucis du monde pèsent lourd sur son esprit. Mais le chien aime son maître imparfait. Il anticipe patiemment son retour chaque jour et savoure chaque instant en sa compagnie et l'affection que celui-ci lui offre.

Combien plus grande est la loyauté constante d'une autre personne? Appréciez cet ami rare et précieux sur lequel vous pouvez compter dans les moments les plus difficiles et éprouvants. Les « amis de beau temps » sont nombreux quand il y a la fête et que le soleil brille. Mais sur qui pouvons-nous compter quand les nuages de la vie s’assombrissent, deviennent menaçants et envoient le déluge? Sommes-nous considérés comme un tel ami? La loyauté, fait-elle partie de nos traits de rachat?
Comme Proverbes enseigne: "L’ami aime en tout temps" (Proverbes 17:17).

David de l'Ancien Testament est parmi les hommes imparfaits que l’on trouve dans les Écritures. Compte tenu de son ambition et redoutable manque de jugement, ses soit-disant nombreux "amis" l’abandonnent. Mais David est béni avec un compagnon fidèle, Jonathan, fils de Saül, un homme qui «l'aima comme son âme. » (1 Samuel 18 :1)
Le roi Saül était si jaloux du succès de son serviteur David et de sa popularité en Israël qu’il a conspiré à lui oter sa vie. Malgré les mauvais désirs de son père puissant et impulsif, Jonathan a pris la défense de son ami et l’a protégé. Il a été un avocat auprès de David et lui a prouvé sa loyauté à un moment qui aurait pu lui coûter aussi la vie.
« Et Jonathan parla favorablement de David à Saül, son père : Que le roi dit-il, ne commette pas un péché à l’égard de son serviteur David, car il n’en a point commis envers toi, au contraire il a agi pour ton bien.

« Il a exposé sa vie, il a tué le Philistin, et l’Eternel a opéré une grande délivrance pour tout Israël; tu l’as vues, et tu t’en es réjoui. Pourquoi pécherais-tu contre le sang innocent, et ferais-tu sans raison mourir David?
« Saül écouta la voix de Jonathan, et il jura, disant : l’Eternel est vivant, David ne mourra pas » (1 Samuel 19:4-7).

La jalousie du roi Saül revint et il chercha de nouveau a oter la vie de David. Une fois de plus, Jonathan a révélé sa loyauté en avertissant son ami. « Dans le cas où mon père trouverait bon de te faire du mal, je t’informerai aussi et je te laisserai partir afin que tu t’en ailles en paix, et que l’Eternel soit avec toi, comme il a été avec mon père » (1 Samuel 20 : 13).

Thomas S. Monson a dit que la loyauté démontrée dans l'Ancien Testament par Ruth à sa belle-mère et amie, Naomi, définit le modèle même de la femme idéale.
«Sensible à la douleur de sa belle-mère, Naomi, endeuillée par la perte de ses deux fils, ressentant peut-être le désespoir et la solitude qui affligeaient l'âme même de Naomi, Ruth a prononcé ce qui est devenu une déclaration de loyauté bien connue : ‘Ne me presse pas de te laisser, de retourner loin de toi ! Où tu iras j'irai, où tu demeureras je demeurerai ; ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu sera mon Dieu.’ » (Ruth 1:16, Conférence générale d’octobre 2002).

Le prédécesseur prophétique de président Monson, le président Gordon B. Hinckley, a parlé « d’être fidèles à ce qu’il y a de meilleur en nous »
« Pour moi, être loyal, c’est être fidèle à soi-même. Pour moi, c’est être absolument fidèle à l’épouse que l’on a choisie. Pour moi, c’est être absolument loyal à l’Église et aux nombreuses facettes de son activité. Pour moi, c’est être, sans aucune équivoque possible, fidèle au Dieu du ciel, notre Père éternel, et à son Fils bien-aimé, notre Rédempteur, le Seigneur Jésus-Christ. » (avril 2003 Conférence générale).

(Publié par LDS Church News – Traduit par Ambre)

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Pensée du jour

L’espérance vient de la foi en Jésus-Christ

« L’espérance vient de la foi en Jésus-Christ. Il a déjà vaincu le monde et a promis qu’il essuierait nos larmes du moment que nous nous tournons vers lui, croyons en lui et le suivons
.


Certains qui, en ce moment, sont désespérés ou découragés se demandent peut-être comment ils pourraient bien retrouver l’espérance. Si c’est votre cas, rappelez-vous que l’espérance vient en résultat de la foi. Si nous voulons avoir plus d’espérance, nous devons développer notre foi. »

Wilford W. Andersen des soixante-dix


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