Message d'inspiration - Dimanche 16 Novembre 2008


Elder Oaks partage cinq points important concernant la Sainte-Cène dont nous devons nous souvenir. Aujourd’hui, nous partageons le deuxième point.


« Je vais commencer par la façon dont les membres de l’Église doivent se préparer à participer à l’ordonnance de la Sainte-Cène. Il y a cinq ans, lors d’une réunion de formation mondiale des dirigeants, Russell M. Nelson, du Collège des douze apôtres, a enseigné aux dirigeants de la prêtrise de l’Église comment planifier et diriger les réunions de Sainte-Cène. Il a dit : « Nous commémorons l’Expiation du Seigneur d’une manière très personnelle. Nous venons à notre réunion de Sainte-Cène le cœur brisé et l’esprit contrit. C’est le point culminant de notre observance du jour du sabbat » (voir « Le culte à la réunion de Sainte-Cène », Le Liahona, août 2004, p. 12).
Nous sommes assis bien avant le début de la réunion. « Pendant ce moment de quiétude, le prélude musical ne doit pas être joué trop fort. Ce moment n’est pas fait pour les conversations ou la transmission de messages, mais pour la prière et la méditation ; c’est un moment où dirigeants et membres se préparent spirituellement pour la Sainte-Cène » (Le Liahona, août 2004, p. 13).
Lorsqu’il est apparu aux Néphites après sa résurrection, le Sauveur leur a enseigné qu’ils devaient mettre fin à la pratique des sacrifices par effusion de sang. À la place, il leur a commandé : « Vous m’offrirez en sacrifice un cœur brisé et un esprit contrit » (3 Néphi 9:20). Ce commandement, réitéré dans la révélation moderne qui nous demande de prendre la Sainte-Cène chaque semaine, nous dit comment nous devons nous préparer. Comme frère Nelson l’a enseigné : « Chaque membre a la responsabilité de l’enrichissement spirituel que peut procurer une réunion de Sainte-Cène » (Le Liahona, août 2004, p. 14).
Dans ses écrits sur la doctrine du salut, Joseph Fielding Smith enseigne que nous prenons la Sainte-Cène pour commémorer la mort et les souffrances du Sauveur pour la rédemption du monde. Cette ordonnance a été instituée pour que nous renouvelions notre alliance de le servir, de lui obéir et de toujours nous souvenir de lui. Le président Smith ajoute : « Nous ne pouvons pas conserver l’Esprit du Seigneur si nous ne nous conformons pas d’une manière suivie à ce commandement » (Doctrine du salut, comp. Bruce R. McConkie, 3 vols, 1954-1956, vol. 2, p. 318).


La rédaction