Message du 10 Juin 2010

Des équipes de prise de vue mormones capturent l’histoire

A travers le monde, chaque jour sauf le samedi, dans 45 pays différents, des missionnaires de film mormons travaillent avec ferveur.
Armés d’appareils photos numériques « dernier cri », de projecteurs et de petits ordinateurs portables, 185 équipes de photographes amateurs dressent des pages de registres et d’archives. Ils travaillent pour les archives de l’église, les archives funéraires, les mairies et les archives paroissiales.


Il en résulte des millions d’images vitales enregistrées chaque semaine.
Ce sont des missionnaires à plein temps pour l’église de Jésus-Christ des saints des derniers jours qui ---------les efforts de l’histoire familiale en capturant des images d’anciens registres à travers le globe.

Les appareils sont rapides, et les images haute définition sont précises. Un large registre d’annales classique peut être photographié en moins d’une demie heure.
«  C’est à peu près aussi rapide que de tourner la page, » explique un membre de l’équipe de FamilySearch Larry N. Telford, qui a montré l’équipement dans le récent hall de démonstration de la société généalogique nationale.
Les images sont alors données à des volontaires pour les classer, permettant aux généalogistes de rechercher un ancêtre sans quitter sa maison. Certaines des images sont mises en ligne presqu’immédiatement pour les regarder sans être classées.
Les registres peuvent être consultés en ligne (sur FamilySearch.org sous « Record search pilot, » ou sur beta.familysearch.org) et dans les 4600 centres de généalogie de l’église dans 132 pays. « Nous filmons un million d’images par semaine, » dit Paul Nauta, directeur des affaires publiques pour FamilySearch. « ca va très vite. »
Un couple d’Idaho prend 35000 images par semaine à partir de cartes classées et d’actes de naissance, ajoute Nauta. La plupart tournent autour de 7500 à 10000 images par semaine.
Des équipes spéciales se rendent à un endroit et négocient des contrats avec des fonctionnaires pour des périodes de temps spécifiques, explique Nauta. Beaucoup de villes, d’églises et de communes sont heureuses d’autoriser l’accès en l’échange d’une copie des registres. Alors, s’il y a un incendie ou une inondation, les registres sont saufs. Plus d’une fois, les municipalités ou les représentants officiels de l’église sont revenus vers l’église des saints des derniers jours espérant qu’elle possède des images de registres- aujourd’hui abîmés.

Les missionnaires photographes sont appelés pour un an à 18 mois dans différentes parties du monde. Ils doivent avoir une bonne vue, une bonne santé et des compétences de base en informatique. Ils reçoivent une formation spéciale en préparation et l’entretien du matériel avant de pouvoir filmer. Alors, ils sont constamment en contact avec une personne qui les aide sur place.

Du fait qu’ils travaillent avec du vieux, et précieux matériel, ils doivent être soigneux, professionnels et méthodiques. Ils travaillent dur et avec abnégation. Ceux qui possèdent des compétences linguistiques sont généralement envoyés là où ces compétences permettront de renforcer le travail. « Nos couples vivent la plus belle expérience. Ils deviennent populaires auprès du personnel des archives, » dit Telford. « Nous recevons beaucoup de retours. Un couple qui a travaillé à Boston se trouve maintenant à Washington D.C. »

Nauta raconte qu’ils attendent actuellement des missionnaires photographes pour la République Dominicaine, Washington D.C., et la Géorgie. Et le besoin augmente du fait que plus de zones sont ouverts pour le tournage.
« Nous ne pouvons pas numériser et conserver assez vite, » dit-il. C’est une situation idéale pour les personnes âgées seules, dit Nauta.
Pour les membres de l’église qui font leur généalogie, le travail des missionnaires est un cadeau de précieuses informations.
« C’est gagnant-gagnant pour le public et pour les conservateurs des registres, » ajoute Nauta.

(Publié par MormonTimes – Traduit par Delphine)

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Une pensée des écritures

« Et maintenant, mes frères bien-aimés, je vous ai dit ces choses afin de vous éveiller au sentiement de votre devoir envers Dieu, afin que vous marchiez innocents devant lui, afin que vous marchiez selon le saint ordre de Dieu, selon lequel vous avez été reçus. » Alma 7 : 22.

« Le devoir dont je parle est ce que nous sommes censés faire et être. » a dit l’Eveque Keith B. McMullin de l’épiscopat président pendant la conférence générale d’avril 2010.

« C’est un impératif moral qui exige de tout individu et de toute communauté ce qui est juste, vrai et honorable. Il n’exige pas la perfection, mais il exige la diligence. Ce n’est pas simplement ce qui est légal ; c’est ce qui est vertueux. Il n’est pas réservé aux puissants ni aux grands de ce monde ; c’est au contraire un fondement de responsabilité personnelle, d’intégrité et de courage. Faire son devoir est une manifestation de la foi. (…)

« Pour les membres de l’Église de Jésus Christ, le chemin du devoir consiste à respecter leurs alliances tous les jours de leur vie. (…)

« Lorsque les hommes, les femmes, les garçons et les filles remplissent leur devoir envers Dieu, ils se sentent poussés à remplir leur devoir l’un envers l’autre, leur famille, leur Église, leur pays et tout ce qui leur a été confié. Ils sont tenus de magnifier leurs talents et d’être bons et respectueux de la loi. Ils deviennent humbles, soumis et faciles à supplier. La modération remplace le laisser-aller, l’obéissance guide leur diligence. La paix se distille en eux. Les citoyens deviennent honnêtes, les collectivités deviennent bienveillantes et les voisins deviennent des amis. Le Dieu des cieux est satisfait, la terre est pacifiée et le monde devient un endroit meilleur. »
(Publié par LDS Church News – Traduit par Deb)

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