N’avez-vous pas déjà eu une de ces journées où vous courez du matin au soir et quand vous vous arrêtez, finalement, vous vous demandez ce que vous avez bien pu accomplir ? Ou peut-être une de ces journées où votre liste de choses-à-faire est largement négligée pour laisser place à des choses moins importantes mais qui, d’une certaine façon, paraissent des distractions attirantes ?
Peut-être est-ce juste le choc d’avoir eu trop de temps déstructuré après cinq ans d’un 9-17h constant et routinier, mais mes semaines depuis que j’ai commencé l’université, se sont soldées par des jours trop frustrants comme ceux-là – ce qui m’amena à beaucoup penser à la gestion du temps.
Ces derniers temps, il n’y a que quelques heures dans la semaine où mon temps est absolument justifié. Autrement, c’est une ardoise vierge sur laquelle j’ai la responsabilité de tout organiser, de mes devoirs, à mes jobs en free-lance et mes exercices pour mon étude des écritures. Organisant tout cela, j’étais optimiste quant au moyen utilisé pour réussir à gérer ce concept qui parait si simple en théorie. A peu près un mois plus tard, c’est toujours une constante lutte pour le mettre en pratique.
Inspirée par la conférence générale donnée plus tôt ce mois-ci, j’ai fait une liste accrochée près de mon lit où se trouve toutes les choses que je dois accomplir tous les jours et pourtant, je me sens comme ce que disait Elder B. Wirthlin, du collège des douze apôtres, dans son livre intitulé ‘Trouver la paix dans notre vie’ : « Je suis toujours entrain de gérer ma vie selon les crises. »
Ce que disait Elder Wirthlin est que ceci n’est vraiment pas l’idéal. Au lieu d’être « guidé par des évènements et des circonstances extérieurs » dit-il « les gestionnaires de temps efficaces ne se concentrent pas sur les problèmes. Ils se concentrent sur les opportunités. »
Comment fait-on ? Elder Wirthlin offrit la formule : établir des priorités, s’organiser pour accomplir ces priorités et faire ses tâches. « En d’autres termes » dit-il « préparez-vous et ensuite faites (vos) tâches pour améliorer (votre) temps. » (Elder Wirthlin mourut décembre dernier).
Mais la plupart d’entre nous auront appris par expérience cependant que toutes les listes et les priorités au monde ne nous aideront pas sans discipline pour les suivre. C’est là qu’à mon avis, l’habitude doit s’installer. Malgré le peu de foi que j’ai en ma capacité à prendre une décision consciencieuse chaque jour de m’en tenir à un emploi du temps occupé et judicieusement efficace, je pense vraiment être capable de développer de bonnes habitudes. Et comme Horace Mann a dit : « Une habitude est un câble ; nous en tissons un fil chaque jour de notre vie et bientôt il ne pourra plus se casser. »
Et si, par exemple, je prenais l’habitude de me coucher tôt et de me lever tôt alors, je pourrais, par habitude, combler ces heures matinales par l’étude des écritures et faire du sport ? On dirait que la bataille serait à moitié gagnée rien qu’en faisant cela. Et naturellement, il restera toute la journée mais un début et une fin structurée auront la capacité impressionnante d’imbriquer le reste.
Je ne dis pas que tous les jours doivent se ressembler, ni qu’une façon de travailler fonctionnera pour tous mais plus je vois les jours passer – pleins d’heures où je me dis qu’elles auraient pu être utilisées plus efficacement – plus le temps me glisse entre les doigts et plus mon intention augmente d’avoir une meilleure emprise dessus.
Au train où vont les choses, je passe beaucoup de temps maintenant à regarder les montres – que ce soit en classe, essayant de respecter mon emploi du temps ou que ce soit pour respecter les délais – comptant les minutes qui, implacablement, s’enfuient. Le temps, selon moi, est mon ennemi. C’est probablement pour cela que c’est si saisissant de lire la description d’Elder Wirthlin d’une femme qui était une bonne gestionnaire de son temps, à un tel point qu’elle l’aimait. « Le temps, » dit Elder Wirthlin « est bon pour elle. ».
C’est quelqu’un qui a réussi à passer du mode ‘crise’ au mode ‘opportunité’, à remplacer les mauvaises habitudes par des bonnes et à arrêter de se battre contre le temps. Je parierais qu’elle a aussi intégrée une notion exprimée dans Mosiah : « Et veillez à ce que tout cela se fasse avec sagesse et ordre ; car il n’est pas requis que l’homme [ou la femme] court plus vite qu’il [ou elle] n’a de force. »
A la fin de la journée, en fait, il semblerait que ma quête à réussir de gérer le temps est essentiellement une quête pour obtenir une balance délicate entre les bonnes priorités, les bonnes habitudes, sagesse et ordre.
Et bien, en ajoutant à ceci, reconnaissons combien est précieux – et pertinent – ce dernier petit conseil d’Elder Wirthlin qui est : « Protégez bien vos moments de libre. » écrivit-il.
« Emerson a une fois écrit que les moments libres sont comme des diamants non-taillés. Abandonne-les et leur valeur ne sera jamais connue. Améliore-les et ils deviendront les pierreries les plus brillantes dans une vie bien utilisée. »
(Publié par MormonTimes – Traduit par Deb)
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Le président Monson a été nommé octogénaire éminent
En plus de guider plus de 13 millions de membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, Thomas S. Monson est maintenant en tête de la liste annuelle des octogénaires les plus puissants du pays des Etats-Unis, éditée par Slate.com.
Le magazine actuel des affaires en ligne a classé le président Monson en tête de sa liste des « 80 parmi 80 », établie par Slate par ordre de pouvoir et d’importance et publiée cette semaine.
Le président Monson a été classé devant les anciens présidents des États-Unis Jimmy Carter et George H. W. Bush, l’ancien secrétaire d’état Henry Kissinger et Andy Rooney, personnalité célèbre de l’émission « 60 minutes ».
La biographie du président Monson dit : « Comme président, il est considéré, par plus de 13 millions de Mormons dans le monde, comme prophète de Dieu, ‘au même titre qu’Abraham, Moïse, Ésaïe et les apôtres du temps de Jésus’.
« Il a été au centre de la controverse entourant le soutien de l’Église à la proposition N°8 de la Californie, qui a proscrit le mariage entre personnes de même sexe.
« Depuis qu’il est devenu président de l’Église, il a consacré six nouveaux temples et en a annoncé neuf de plus. »
En plus de guider plus de 13 millions de membres de l’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, Thomas S. Monson est maintenant en tête de la liste annuelle des octogénaires les plus puissants du pays des Etats-Unis, éditée par Slate.com.
Le magazine actuel des affaires en ligne a classé le président Monson en tête de sa liste des « 80 parmi 80 », établie par Slate par ordre de pouvoir et d’importance et publiée cette semaine.
Le président Monson a été classé devant les anciens présidents des États-Unis Jimmy Carter et George H. W. Bush, l’ancien secrétaire d’état Henry Kissinger et Andy Rooney, personnalité célèbre de l’émission « 60 minutes ».
La biographie du président Monson dit : « Comme président, il est considéré, par plus de 13 millions de Mormons dans le monde, comme prophète de Dieu, ‘au même titre qu’Abraham, Moïse, Ésaïe et les apôtres du temps de Jésus’.
« Il a été au centre de la controverse entourant le soutien de l’Église à la proposition N°8 de la Californie, qui a proscrit le mariage entre personnes de même sexe.
« Depuis qu’il est devenu président de l’Église, il a consacré six nouveaux temples et en a annoncé neuf de plus. »
En fait, l’Église a annoncé un total de 14 temples depuis que le président Monson est devenu le président de l’Église, le 2 février 2008. Mais cela n’est pas la plus grosse erreur que ce magazine en ligne ait faite.
Slate a initialement publié une photo de Neil L. Andersen du Collège des douze apôtres de l’Église à la place de celle du président Monson, dans une galerie de photos des personnes honorées. Frère Andersen, appelé apôtre de l’Église en avril dernier, a 58 ans.
Au second rang derrière le président Monson, se trouve le juge de la cour suprême des États-Unis, Paul Stevens, 89 ans. Stevens se trouvait tout en haut de la liste, l’année dernière, lorsque le président Monson ne s’y trouvait pas.
Slate vient au quatre cent douzième rang en popularité aux États-Unis, selon alexa.com. Le magazine en ligne a été lancé en 1995 par Microsoft et est maintenant la propriété du Washington Post.
Au nombre des personnes présentes dans la liste se trouvent le culturiste Jack LaLanne, le magnat de Texas Oil T. Boone Pickens, le co-créateur de Spiderman et de Hulk Stan Lee, les artistes B.B. King, Tony Bennett et Pete Seeger, les activistes Maya Angelou et Phyllis Schlaffy, l’évangéliste Billy Graham, l’auteur Maurice Sendak, l’entraineur de football, Joe Paterno et le fondateur de Playboy Hugh Hefner.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Muriel)
Slate a initialement publié une photo de Neil L. Andersen du Collège des douze apôtres de l’Église à la place de celle du président Monson, dans une galerie de photos des personnes honorées. Frère Andersen, appelé apôtre de l’Église en avril dernier, a 58 ans.
Au second rang derrière le président Monson, se trouve le juge de la cour suprême des États-Unis, Paul Stevens, 89 ans. Stevens se trouvait tout en haut de la liste, l’année dernière, lorsque le président Monson ne s’y trouvait pas.
Slate vient au quatre cent douzième rang en popularité aux États-Unis, selon alexa.com. Le magazine en ligne a été lancé en 1995 par Microsoft et est maintenant la propriété du Washington Post.
Au nombre des personnes présentes dans la liste se trouvent le culturiste Jack LaLanne, le magnat de Texas Oil T. Boone Pickens, le co-créateur de Spiderman et de Hulk Stan Lee, les artistes B.B. King, Tony Bennett et Pete Seeger, les activistes Maya Angelou et Phyllis Schlaffy, l’évangéliste Billy Graham, l’auteur Maurice Sendak, l’entraineur de football, Joe Paterno et le fondateur de Playboy Hugh Hefner.
(Publié par MormonTimes – Traduit par Muriel)
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L’Eglise dans les news…
Le temple Mormon – (Article publié par Planète Quebec)
Le temple Mormon – (Article publié par Planète Quebec)
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Les discours en Français de la 179ieme conférence générale d’Octobre 2009 sont maintenant disponibles en ligne
Cliquez pour retrouver les discours
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Pensée du jour
Plus diligent et plus occupé chez soi
« Nous pouvons commencer à devenir plus diligents et plus occupés chez nous en disant à nos êtres chers que nous les aimons. Il n’est pas nécessaire de faire des déclarations fleuries ou longues. Nous devons simplement exprimer sincèrement et souvent notre amour.
Mes frères et sœurs, quand pour la dernière fois avez-vous pris votre conjoint éternel dans vos bras et lui avez-vous dit : « Je t’aime » ? Parents, quand pour la dernière fois avez-vous exprimé sincèrement votre amour à vos enfants ? Enfants, quand pour la dernière fois avez-vous dit à vos parents que vous les aimez ?
Chacun de nous sait déjà que nous devrions dire à nos êtres chers que nous les aimons. Mais ce que nous savons ne se traduit pas toujours par des actes. Peut-être sommes-nous peu sûrs de nous, gauches ou même peut-être un peu gênés.
Comme disciples du Sauveur, nous ne nous efforçons pas seulement d’en savoir plus ; nous devons aussi constamment faire davantage ce que nous savons être juste et devenir meilleurs. »
David A. Bednar Du Collège des douze apôtres
Plus diligent et plus occupé chez soi
« Nous pouvons commencer à devenir plus diligents et plus occupés chez nous en disant à nos êtres chers que nous les aimons. Il n’est pas nécessaire de faire des déclarations fleuries ou longues. Nous devons simplement exprimer sincèrement et souvent notre amour.Mes frères et sœurs, quand pour la dernière fois avez-vous pris votre conjoint éternel dans vos bras et lui avez-vous dit : « Je t’aime » ? Parents, quand pour la dernière fois avez-vous exprimé sincèrement votre amour à vos enfants ? Enfants, quand pour la dernière fois avez-vous dit à vos parents que vous les aimez ?
Chacun de nous sait déjà que nous devrions dire à nos êtres chers que nous les aimons. Mais ce que nous savons ne se traduit pas toujours par des actes. Peut-être sommes-nous peu sûrs de nous, gauches ou même peut-être un peu gênés.
Comme disciples du Sauveur, nous ne nous efforçons pas seulement d’en savoir plus ; nous devons aussi constamment faire davantage ce que nous savons être juste et devenir meilleurs. »
David A. Bednar Du Collège des douze apôtres
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