Deux missionnaires blessés à TahitiDeux missionnaires à plein temps de l'Eglise de Jésus-Christ des Saints des derniers jours ont été blessés durant un accident provoqué par un conducteur qui a pris la fuite dimanche soir. Ils étaient sur leurs vélos et ont été frappés par un conducteur qui a pris la fuite.
Les missionnaires, l'un d’Orem, Utah et l’autre de Tahiti, ont chacun souffert d’une jambe cassée, une porte-parole de l'église a dit. Ils ont été apparemment frappés par derrière alors que deux voitures semblaient faire une course sur un pont. Ils ont été soignés dans un hôpital local, puis relâché. Les deux devraient se rétablir complètement. La police tente toujours de retrouver les conducteurs. Aucun autre détail supplémentaire n’est disponible pour le moment.
(Publié par MormonTimes)
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La course de la vie
« La course de la vie est de… courir mais dans un sens, et un seul » (Cicero, dans les temps anciens).
Nous vivons au présent mais puisque le temps ne reste pas en place, nous avançons constamment vers le futur. Nous pourrions transcrire les enseignements de Cicero dans un langage vernaculaire moderne : notre voyage de la vie est une rue à sens unique et la mort, littéralement, est une expérience qu’on ne vit qu’une fois.
« La course de la vie est de… courir mais dans un sens, et un seul » (Cicero, dans les temps anciens).
Nous vivons au présent mais puisque le temps ne reste pas en place, nous avançons constamment vers le futur. Nous pourrions transcrire les enseignements de Cicero dans un langage vernaculaire moderne : notre voyage de la vie est une rue à sens unique et la mort, littéralement, est une expérience qu’on ne vit qu’une fois.
Il nous arrive de vouloir retourner en arrière mais il n’existe pas de route qui mène à hier.
Les souvenirs sont là comme des cartes postales : rappel des endroits où nous étions ou de ce que nous avons fait, des évènements, grands ou petits et, plus important, des gens qui ont fait parti de notre vie. Nous réfléchissons aux aspects positifs, édifiants et inspirants de notre passé. Les faits restent : nous pouvons revoir notre vie mais nous ne pouvons pas la revivre.
En tant qu’humain faible et imparfait, nous avons des choses que nous aimerions changer si nous le pouvions. Cependant, ceci ne fait que très peu, voir pas du tout, de bien de s’admonester ou de se punir des erreurs, des mauvaises décisions, des transgressions ou des échecs faits.
Nous pouvons en payer le prix, amender nos fautes, se repentir de nos transgressions et corriger nos erreurs. Puis nous allons de l’avant. Nous pouvons apprendre du passé mais ne jamais le ressasser.
Président Thomas S. Monson a donné ce sage conseil : « Le passé est derrière ; tirez-en des leçons. Le futur est devant ; préparez-vous pour cela. Le présent est ici ; vivez-le. ». (Rentrée à l’université du Sud de l’Utah, Church News, 9 mai 2009).
Dans sa compassion aimante, notre Père céleste nous a donné un grand plan du Bonheur dont le cœur en est le sacrifice expiatoire de son unique Fils, notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ. A travers le sacrifice expiatoire du Sauveur, nous avons le privilège d’expérimenter le processus du repentir qui comprend bien plus qu’un simple sentiment de regret, de souffrance et de honte.
Le sacrifice expiatoire du Sauveur rend possible le fait d’avoir un nouveau départ, de vivre joyeusement le moment présent tout en attendant avec impatience le futur et en laissant le passé derrière nous.
Dans son discours pendant la conférence générale d’octobre 2000, Elder Richard G. Scott, du collège des douze apôtres a dit : « Le plan de bonheur de notre Père céleste comporte un élément essentiel qui est souvent négligé même s’il apporte immanquablement la paix et la joie. Le Sauveur a donné sa vie pour que cet élément puisse apporter des bénédictions à chaque enfant de notre Père céleste. C’est un sujet qui est très mal compris et qui inspire souvent la crainte. Certains pensent qu’on ne doit y recourir que pour les transgressions graves alors que le Seigneur voulait que chacun de ses enfants s’en serve constamment. Il n’a pas cessé de commander à ses prophètes et à ses dirigeants de le prêcher et de peu parler d’autres choses. Il s’agit de la bénédiction du vrai repentir sincère et continu, le chemin qui conduit à la paix et à la joie. Il permet au Seigneur d’appliquer son pouvoir de nous changer et c’est un allié précieux lorsqu’on le comprend et que l’on s’en sert. »
Dans le processus de repentance, nous devons reconnaître nos péchés et éprouvez du remord ou de la souffrance pieuse. Les confesser à notre Père céleste et, si la transgression le justifie, à un dirigeant de la prêtrise autorisé, nous permet d’enlever nos sentiments de remord et de chagrin. Demander pardon, faire tout ce que nous pouvons pour réparer, s’éloigner de la transgression et vivre les commandements sont des étapes du processus de repentir.
Le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ, lorsque tout est dit et fait, concerne notre bonheur. Léhi a déclaré cette vérité profonde :
« Mais voici, tout a été fait dans la sagesse de celui qui sait tout. Adam tomba pour que les hommes fussent, et les hommes sont pour avoir la joie. » (2 Néphi 2 :24-25). Le prophète Joseph Smith a dit : « Le bonheur est l’objet et le dessin de notre existence ; et en conséquence, en sera la fin si nous continuons sur le chemin qui y mène. » (History of the Church, 5 :134).
Ce chemin est devant nous, pas derrière. Nous ne pouvons pas trouver le bonheur que notre Père céleste nous souhaite si notre regard est un coup d’œil sur notre passé.
Grâce au sacrifice expiatoire de Jésus-Christ, nos vies peuvent être en ordre – le passé, le présent et le futur.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Deb)
Les souvenirs sont là comme des cartes postales : rappel des endroits où nous étions ou de ce que nous avons fait, des évènements, grands ou petits et, plus important, des gens qui ont fait parti de notre vie. Nous réfléchissons aux aspects positifs, édifiants et inspirants de notre passé. Les faits restent : nous pouvons revoir notre vie mais nous ne pouvons pas la revivre.
En tant qu’humain faible et imparfait, nous avons des choses que nous aimerions changer si nous le pouvions. Cependant, ceci ne fait que très peu, voir pas du tout, de bien de s’admonester ou de se punir des erreurs, des mauvaises décisions, des transgressions ou des échecs faits.
Nous pouvons en payer le prix, amender nos fautes, se repentir de nos transgressions et corriger nos erreurs. Puis nous allons de l’avant. Nous pouvons apprendre du passé mais ne jamais le ressasser.
Président Thomas S. Monson a donné ce sage conseil : « Le passé est derrière ; tirez-en des leçons. Le futur est devant ; préparez-vous pour cela. Le présent est ici ; vivez-le. ». (Rentrée à l’université du Sud de l’Utah, Church News, 9 mai 2009).
Dans sa compassion aimante, notre Père céleste nous a donné un grand plan du Bonheur dont le cœur en est le sacrifice expiatoire de son unique Fils, notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ. A travers le sacrifice expiatoire du Sauveur, nous avons le privilège d’expérimenter le processus du repentir qui comprend bien plus qu’un simple sentiment de regret, de souffrance et de honte.
Le sacrifice expiatoire du Sauveur rend possible le fait d’avoir un nouveau départ, de vivre joyeusement le moment présent tout en attendant avec impatience le futur et en laissant le passé derrière nous.
Dans son discours pendant la conférence générale d’octobre 2000, Elder Richard G. Scott, du collège des douze apôtres a dit : « Le plan de bonheur de notre Père céleste comporte un élément essentiel qui est souvent négligé même s’il apporte immanquablement la paix et la joie. Le Sauveur a donné sa vie pour que cet élément puisse apporter des bénédictions à chaque enfant de notre Père céleste. C’est un sujet qui est très mal compris et qui inspire souvent la crainte. Certains pensent qu’on ne doit y recourir que pour les transgressions graves alors que le Seigneur voulait que chacun de ses enfants s’en serve constamment. Il n’a pas cessé de commander à ses prophètes et à ses dirigeants de le prêcher et de peu parler d’autres choses. Il s’agit de la bénédiction du vrai repentir sincère et continu, le chemin qui conduit à la paix et à la joie. Il permet au Seigneur d’appliquer son pouvoir de nous changer et c’est un allié précieux lorsqu’on le comprend et que l’on s’en sert. »
Dans le processus de repentance, nous devons reconnaître nos péchés et éprouvez du remord ou de la souffrance pieuse. Les confesser à notre Père céleste et, si la transgression le justifie, à un dirigeant de la prêtrise autorisé, nous permet d’enlever nos sentiments de remord et de chagrin. Demander pardon, faire tout ce que nous pouvons pour réparer, s’éloigner de la transgression et vivre les commandements sont des étapes du processus de repentir.
Le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ, lorsque tout est dit et fait, concerne notre bonheur. Léhi a déclaré cette vérité profonde :
« Mais voici, tout a été fait dans la sagesse de celui qui sait tout. Adam tomba pour que les hommes fussent, et les hommes sont pour avoir la joie. » (2 Néphi 2 :24-25). Le prophète Joseph Smith a dit : « Le bonheur est l’objet et le dessin de notre existence ; et en conséquence, en sera la fin si nous continuons sur le chemin qui y mène. » (History of the Church, 5 :134).
Ce chemin est devant nous, pas derrière. Nous ne pouvons pas trouver le bonheur que notre Père céleste nous souhaite si notre regard est un coup d’œil sur notre passé.
Grâce au sacrifice expiatoire de Jésus-Christ, nos vies peuvent être en ordre – le passé, le présent et le futur.
(Publié par LDS Church News – Traduit par Deb)
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Nouvelles locales….
179 ème conférence générale pour les membres de Tahiti et des îles (Site officiel Tahiti)
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Pensée du jour
Faim des choses de l’Esprit
« Le président Clark a dit que les jeunes « ont faim des choses de l’Esprit ». Il a ajouté : « Ils sont désireux d’apprendre l’Évangile. Ils le veulent tel qu’il est, non dilué. Ils veulent connaître… nos croyances ; ils veulent acquérir le témoignage de leur vérité. Ils ne sont pas sceptiques, mais en quête de la vérité. »
Boyd K. Packer Président du Collège des douze apôtres
Faim des choses de l’Esprit
« Le président Clark a dit que les jeunes « ont faim des choses de l’Esprit ». Il a ajouté : « Ils sont désireux d’apprendre l’Évangile. Ils le veulent tel qu’il est, non dilué. Ils veulent connaître… nos croyances ; ils veulent acquérir le témoignage de leur vérité. Ils ne sont pas sceptiques, mais en quête de la vérité. »Boyd K. Packer Président du Collège des douze apôtres
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