Message du 21 Octobre 2009

Le modèle missionnaire à bicyclette utilisé dans une manifestation

Les dirigeants taïwanais ont invité les elders et les sœurs en raison de leurs valeurs positives.

Pour souligner le fait d’économiser de l’énergie dans le comté de Taipei, le gouvernement du comté a récemment soutenu le ‘Jour sans voiture’ international en sponsorisant une promenade à vélo dans Taipei comprenant 55 000 cyclistes.

Une zone entière de missionnaires de la mission Taïwan de Taipei a été invitée par le gouvernement à se joindre à la promenade.

A travers Taïwan, les jeunes missionnaires de l’église sont facilement reconnaissables puisqu’ils vont à leurs rendez-vous en pédalant – typiquement, les elders dans leur pantalon sombre, chemise blanche et cravate et les sœurs vêtues joliment en jupe et chemise. Tous portent la plaque noire distinctive des missionnaires.

« Certains des missionnaires de la zone se sont levés tôt et ont roulé une heure avant d’atteindre le point de départ à 7 heure du matin. » a dit Elder John Macfarlane de Fruit Heights, Utah, dirigeant de zone de la zone de Taipei Ouest. Tous les 18 elders et sœurs de la zone ont fait le trajet.

Lorsque les dirigeants de l’église visitèrent le président de Taïwan Ying-Jeou Ma en 2008, il fit les éloges des missionnaires mormons servant dans le pays, disant qu’ils avaient aidé à installer des valeurs et un esprit positifs auprès du public. Un article dans le ‘China Post’, un journal anglais important citait Président Ma parlant des missionnaires : « Leur image propre suscite de bons sentiments et ils promeuvent la conservation de l’énergie puisque leur moyen de transport principal est le vélo. »

« C’est notre honneur que d’avoir vos cyclistes à cette manifestation. » a dit Gong-Shin Fei, un représentant du comté de Taipei, qui invita la mission à participer.

(Publié par LDS Church News – Tarduit par Deb)


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Bonne communication, quand les intentions équivalent à ce qui est perçu

La communication, ou plutôt le manque de communication, est une des trois raisons principales pour lesquelles des couples consultent le docteur Michael Adams.
« Si vous pensez que vous n’aurez jamais de désaccord au cours d’une relation, détrompez-vous » a mentionné le docteur Adams, lors d’un discours prononcé au cours d’une conférence sur les fréquentations, à l’université Brigham Young. « Cela arrive, même dans le meilleur des mariages.

Le docteur Adams est enseignant et thérapeute au centre de conseils de BYU, et voit des couples mariés, ou qui sortent ensemble. Il nous a dit que des personnes qui ont été élevées dans les mêmes circonstances, parlant la même langue, les cultures familiales qu’ils ont connues sont complètement différentes l’une de l’autre, comme leur façon de comprendre l’autre.
Certaines personnes s’accommodent de disputes, tandis de d’autres les évitent soigneusement, ce qui dans les deux cas conduit à des conflits plus sérieux. La seule solution, selon le docteur Adams, consiste en le fait de travailler sur une bonne communication.

« La bonne communication est présente lorsque vos intentions sont en accord avec votre expression » dit-il. Donc quand une personne A dit à la personne B « tu es très belle aujourd’hui, et que la personne B perçoit le message « mon partenaire me trouve belle », la bonne communication est en œuvre.
Les choses ne sont pas aussi évidentes lorsque la personne B interprète mal le compliment comme par exemple une remarque qui souligne sa tenue les autres jours. Dans ce cas, l’effet désiré n’est pas ressenti par la personne B, car le filtre à travers lequel passe le message, ou bien la façon dont le cerveau interprète le message, est soumis à une forme d’insécurité.

Le docteur Adams a parlé de différentes façons de développer ses capacités de communication, en avertissant toutefois que si l’on ne peut pas faire preuve de plus d’amour et d’empathie, la relation peut ne pas évoluer. « Si votre cœur ne change pas… tout ce que j’ai réussis à ce soir a été de faire de vous de meilleurs compétiteurs ». dit-il.
Abandonner le besoin d’avoir raison est une étape vers ce changement de cœur, car il place le besoin de relation de son partenaire au dessus du sien propre.

Adams a dit que dans sa propre vie, le fait d’établir une priorité sur sa relation a permis de renverser des situation autrement tendues. Il se réfère au lien tissé par deux individus comme « le fait d’être nous ». Et c’est ce fait d’être nous qui rend une relation si particulière.
Il a cité par exemple une situation : bien que n’étant pas un fan de Disneyland, il a tout de même accompagné de bonne grâce son épouse, qui adore ce lieu. Le fait de s’y rendre ensemble lui a permis de voir cette lumière dans ses yeux alors qu’ils passaient les grilles du parc. « « Nous » aime Disneyland », dit-il. « « Nous » pense que c’est la plus belle chose sur terre ». Au delà du fait de montrer de l’amour, il y a beaucoup d’autres manières de développer sa communication, et notamment être plus attentif au langage corporel émis par son partenaire.

« Alors que le stress issu du travail et que la façon d’éduquer les enfants peuvent mettre en évidence les différences, des conversations à première vue insignifiantes peuvent rapidement s’envenimer, en cas de confrontation ou d’une négligence totale du langage corporel » précise le docteur Adams.
C’est en particulier les hommes qui doivent faire attention à leurs réactions « non verbales », dit –il, en précisant que la communication non verbale constitue 65% de la communication totale. Si un partenaire sens que l’autre est énervé, et lui demande ce qui ne va pas. S’il obtient en réponse un « tout va bien » alors que le partenaire hausse les épaules en regardant ailleurs, ils y a une dissonance entre la communication verbale et non verbale.

Un autre moyen de développer ses capacités à communiquer est de savoir si votre partenaire pense les choses, ou s’il les ressent.
Bien qu’il y a des exceptions, les hommes sont dans la plupart des cas des « penseurs », et leur partenaire devrait toujours s’assurer qu’elle leur demande « ce qu’ils pensent », et non pas « ce qu’ils sentent ». De même les femmes ont une tendance plus nette à « ressentir ». On doit donc leur demander ce qu’elles ressentent. A défaut, la discussion risque de tourner court. Il est de même particulièrement frustrant pour des « ressenteurs » de ne recevoir pour réponse à leur énervement qu’une liste rationnelle de solutions possibles débitées par leur « penseur « de mari.
Dans la plupart des cas, les « ressenteurs »connaissent déjà la solution. Ils veulent juste que quelqu’un d’autre puisse comprendre ce par quoi ils doivent passer.

De la même manière, un « penseur » qui exprime sa frustration au cours d’une situation ne doit faire penser à un « ressenteur » que c’est une critique qui leur est personnellement adressée. . Quand leur partenaire disent qu’ils ne se sentent pas bien, les ressenteurs ont tendance à se soucier de la force de leur relation. Les ressenteurs doivent apprendre à ne pas intégrer ou assimiler les sentiments de leur partenaire.

Un autre point mentionné par Adams consiste à lutter contre l’idée d’aller se coucher en étant fâché.
« Je lutte de tout cœur contre ce conseil » précise –t’il « Dans la plupart des cas, tout ce qu’il va se produire va être uns dispute qui s’étend jusque tard dans la nuit. Il est peu probable que l’on trouve une solution à un problème quand il est 1 ou 2 heures du matin. Il vaut donc mieux parfois prendre une bonne nuit de repos, et de discuter du point conflictuel le lendemain matin. La nuit porte conseil.

« Finalement, c’est l’amour entre deux personnes qui aidera les couples à traverser les moments difficiles. C’est la façon dont on se voit l’un l’autre qui modifie notre communication ».

(Publié par MormonTimes – Traduit par Cédric)

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Nouvelles locales….

Rassemblement œcuménique à Toata (L’Eglise a Tahiti)

Voulez-vous assister à la conférence générale en Octobre 2011 ? (Cliquez pour savoir comment…)

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Pensée du jour

Bénéficiaires des tendres miséricordes du Seigneur

« Nous, saints fidèles, avons été fortifiés par l’adversité et sommes les bénéficiaires des tendres miséricordes du Seigneur. Nous sommes allés de l’avant, avec la promesse suivante du Seigneur : « Je ne souffrirai pas [que mes ennemis] détruisent mon œuvre ; oui, je leur montrerai que ma sagesse est plus grande que la ruse du diable (D&A 10:43). »

David A. Bednar du Collège des douze apôtres



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